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A propos de la détention préventive du journaliste Abdessamii Abdelhai
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 24 - 08 - 2015


Larbi Zouaimia Analyste Economique et Politique
Publication: 24/08/2015 15h28
http://www.huffpostmaghreb.com/larbi-zouaimia
Depuis le 18 Aout 2013 , le journaliste Abdessamii Abdelhai croupit dans la prison de Bir El Ater, 90 km de Tebessa, bien loin de la régence d'Alger. Deux années, qui l'eut cru , deux années et la planète est suspendue a un motif lié a un a un fragmentaire d' accusation selon laquelle , le concerné aurait participé a l'exfiltration vers la Tunisie, de son employeur, le directeur du journal Jarridati.
De quelle façon il l'a fait, a quel titre il l'a fait , ne l'a t-il pas fait ou il fut juste mêlé gratuitement, a cette affaire pour les besoins du scénario. La situation reste confuse. Dans cette marmelade frontalière, nous ne disposons d'aucun élément matériel a charge ou a décharge, pour lancer nos quolibets contre une accusation en processus de voyage-ment (comme disent les canadiens ) entre Alger et Tebessa.
On aurait souhaite' arriver a une anti-thèse sur la base d'une évaluation de la preuve matérielle pour s'acquitter de notre devoir ethico-journalistique et vociférer en haut et en bas , et ce n'est pas le ministre le justice Algérien qui va nous faire la leçon sur l'art et la manière.
Lui et son premier ministre Sellal, si inspires' dans le patriotisme, la probité' et scholastisme à répétition, auraient du pousser illico presto, vers le terminus pour qu'un tribunal conclut a la causalité dans des questions de faits et du droit. Waalach? Limatha? Pourquoi ? Why ? Warum ?por qué?
Comment Abdessamii Abdelhai a exfiltre' son employeur? Avait -il une autorité' sur un officier ?
Etait-il l'ami d'un agent frontalier ? Lui a t-il montre' un sentier du coté de Bouchebka. Ou Son employeur aurait-il bénéficié d'un Legal-Crossing et qu'on s'est rendu compte par la suite avec un Ouf et on a voulu par arrogance mondaine, se venger sur le paysan qui reste.
Toutes les interrogations sont permises dans une affaire toujours en cocotte, en phase antérieure a un procès qui Tarde a venir. A -t-on arrêté Abdessamii sur les lieux , car le public est en droit de connaitre l'intitulé et un résumé de 4 détails fondamentaux comme font toutes les polices du Monde. On est pas en Roumanie des années 70 la … car en tout état de cause, il demeure parfois invraisemblable,qu'un policier prenne cette liberté et laisser passer un voyageur frappe' par une note policière suite a une décision d'un juge?
C'est quoi ces ombres chinoises, tout compte fait , quoi ! All things considered dans la langue de Chakib khelil ?
Si le directeur du Journal Jarridati était en phase d'instruction judiciaire , le juge avait toute l'autorité' de lui demander son passeport et de l'informer oralement et par écrit qu'il ne doit pas quitter le territoire national jusqu'à finalisation de l'instruction. Y a t-il une décision en ce sens? on le sait pas .
Maintenant la « déraisonnabilité » de la période de détention du journaliste de Tebessa par rapport au crime commis , même si crime y est , relevé purement est simplement d'une grave atteinte au droit de la personne, et elle ne peut être soustraite a la critique et a la dénonciation.
L'abus de procédure, la lenteur de la procédure ne peuvent tenir devant la primauté' du droit et de la loi. Si l'administration judiciaire, a différents paliers, est incapable de donner une date pour que Abdelahai Abdessamii puisse passer devant un juge investi de pouvoir de sanction , avec une défense pleine et entière pour l'accuse' , que la demande de liberté soit accordée. C'est comme cela que doit fonctionner un pays .
Or Il existe un problème dans la gestion du dossier , et ce n'est pas encore le ministre de la justice qui décide de la destinée de l'Algérie en matière juridique … le droit reste du ressort d'un juge dans une audience et en fin d'un jugement prononcé. Il est impensable, scandaleux de surcroît , de garder une personne toute cette durée avec les dommages que cela peut causer a toute sa famille .
Répétons le, l'homme vient de clore deux années en détention préventive sur la base d'une accusation. Même si on essaye de meubler l'argumentaire selon lequel il ne s'agit pas d'atteinte a la liberté' d'expression, mais la multiplication des épithètes, laisse penser une manipulation administrative qui charrie en son sein un comportement gravement lacunaire. .
Que les choses doivent être tirées au clair puisqu' il est fort probable l'existence d' une autre personne en détention .
Universellement connues, les décisions de détentions excessives qui sortent hors du caractère raisonnable du délai, se classent en spécificités manifestes lesquels caractérisent un abus dans l'application du droit , un abus d'autorité' et un abus de pouvoir. Dans tous les pays démocratiques , n'importe quel juge qui s'en tient a la preuve , peut conclure a une atteinte au droits fondamentaux constitutionnels comme législatifs, a l'encontre d'un citoyen et par association a l'encontre de toute sa famille.
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