Le latéral droit de la JS Kabylie, Ahmed Aït Abdeslam, manquera les deux premiers matchs de la saison, respectivement, contre le CA Bordj Bou Arréridj et le MC Oran, car souffrant d'une blessure, a annoncé le club du Djurdjura. «La blessure dont souffre Aït Abdeslam n'est pas très grave, mais le staff technique a préféré éviter de prendre tout risque qui pourrait compliquer ce problème davantage. Il a donc mis ce joueur au repos pendant dix jours, ce qui lui fera manquer les deux prochains matchs, respectivement, contre le CABBA et le MCO», a indiqué la direction des Canaris dans un bref communiqué, sans préciser la nature exacte de la blessure dont souffre l'enfant d'Iferhounène. Le coach tunisien Yamen Zelfani et ses poulains commenceront par recevoir les Criquets du CABBA, le vendredi 27 novembre courant à Tizi-Ouzou, puis se déplaceront, à Oran, le 4 ou le 5 décembre prochain. Les droits TV de la saison écoulée réclamés La direction de la JS Kabylie s'est «insurgée», mardi, contre le fait de ne pas avoir perçu sa quote-part des droits TV de la saison écoulée (2019-2020), malgré «plusieurs rappels restés infructueux». A la veille de l'entame de la nouvelle saison 2020-2021, «la JSK s'insurge contre le fait de ne pas avoir reçu sa quote-part des droits TV de la saison «2019-2020, et ce, malgré l'arrêt du Championnat depuis le mois de mars dernier et en dépit de (nos) nombreux rappels restés infructueux jusqu'à ce jour», a écrit le club dans un communiqué publié sur sa page Facebook. «La JSK, plus que motivée à relever les challenges sportifs de la nouvelle saison sur le (double) plan national et continental, se retrouve aujourd'hui amputée d'une manne financière considérable qui lui revient de droit. A cela, il faudra ajouter (le fait) que tous les prochains matchs seront disputés à huis clos, ce qui implique que le plus gros des rentrées financières du club cette saison seront les droits TV», ajoute-t-on de même source. Afin d'obtenir gain de cause, la direction de la JSK «interpelle les responsables de la compétition pour régler sans délais les paiements en suspens», s'interrogeant si lesdits responsables font dans la «fuite en avant».