Aux pires moments du terrorisme, il n'y avait pas autant de véhicules munis de gyrophares et autres avertisseurs sonores pour se frayer un chemin dans les embouteillages de la capitale. Qui est l'organisme chargé d'octroyer cet outil que certains utilisent comme un «jouet» ? Y a-t-il une réglementation stricte que l'utilisateur doit respecter ? Autant de questions qui méritent des réponses.