Farouk Ksentini, président de la commission ad hoc chargée de traiter le dossier des disparus, devrait rencontrer aujourd´hui les représentants des familles de ces derniers. Les familles, qui ne refusent pas le principe de cette entrevue, contestent toutefois la manière dont Ksentini cherche à clore ce dossier. Nul règlement, à leurs yeux, ne saurait se cristalliser sans vérité et justice, quitte à ce qu´il y ait amnistie consensuelle par la suite.