Ce ne sont pas moins de trente-six productions cinématographiques qui défileront sur l'écran au TR Béjaïa Malek-Bouguermouh où se déroule la 9e édition des rencontres cinématographiques organisées, pour rappel, par “Project'heurts”. Des séances programmées aussi bien en matinée qu'en soirée. En effet, il est des projections commençant à 11h, d'autres à 14h30, 17h, puis enfin à 20h. Après donc Dans le silence, je sens rouler la terre (un doc de 52' signé Tati M. Lakhdar) qui a marqué la soirée d'ouverture samedi 11 juin, le public cinéphile résidant, en séjour ou seulement de passage à Béjaïa aura l'embarras du choix (films de divers types) et celui des horaires. Ainsi, pour la journée de dimanche 12 juin, il aura été projeté Afric Hotel (52') de N. Djedouani et H. Ferhani, cinéma algérien : Un second souffle (52') de M. Meddour à 11h, alors qu'à partir de 14h30 c'était Li-La (29') de M. Hmili et Adieu à tout cela (45') de E. Parraud, puis Les noces de Larbi (52') de R. Benizel et Blague à part (54') de V. Rousselot à 17h, Garagouz (22') de I. Zahzah, Khouya (22') de Y. Koussim, On ne mourra pas (20') de A. Kateb, Djou de D. Beloucif, Apnée (10') de M. Elhachadi et Album (15') de S. Fradi, tout cela dès 20h. Lundi 13 juin, à 11h, ce fut le cycle Ghassan Salhab : Brève rencontre avec Jean-Luc Godard (40') 1958/66 (posthume), à 14h30 Un ange passe (15') de L. Bouzid, Moonlight lover de A. Guilhem, Les larmes blanches de G. Rateau, Le naufrage (24') de G. Brac, et à 17h Alger, demain, série de courts métrages produite par Thala productions, en attendant 20h pour voir Donoma (135') de D. Carrenard. Pour rappel, aujourd'hui sera une “journée spéciale cinéma syrien” mais mercredi 15 juin, jeudi 16 et vendredi 17 juin (2011), dernier jour des rencontres, le public aura au menu (ou à la carte) et ce durant les quatre séances (11h, 14h30, 17h et 20h) Les larmes de l'émigration (80') de A. Diago, Comment recadrer un hors-la-loi en tirant sur un fil (21') de Lammar Khodja, Le dernier homme (100' cycle Ghassan Salhab), une rencontre-débat sur le thème “Où va le cinéma ?” (Nouvelles formes et dynamismes dans le cinéma), La mosquée (85') de D. Aoulad-Syad, Sur la terre de Bertha, Boxcar (25') de S. Adel et A. Terrail, Mokhtar (16') de H. Ouardari, Joe Ouakam de D. Wassip, La Métaphore du Manioc (15') de L. Meta, Le Stade (23') de A. Slim, Beyrouth fantôme, Mafrouza de E. Demoris, Vivre (18') de W. Tayaa, Bochra de S. Jilani et, enfin pour la journée septième, le vendredi 17 juin, Transmaghreb, une série de courts métrages réalisés dans le cadre de l'atelier Transmaghreb, que bouclera, en cérémonie de clôture, Un transport en commun (48') de D. Gaye. À satiété, et un franc succès dans une totale détente et affectivement sans … heurts, même avec “Project'heurts”.