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De nouvelles révélations embarrassantes, François Fillon continue son chemin de croix
Publié dans La Nouvelle République le 16 - 03 - 2017

Le candidat de la droite pour l'élection présidentielle, François Fillon, fait face à de nouvelles révélations «embarrassantes» sur l'enquête judiciaire rapportées mardi par la presse française, à la veille de sa convocation hier devant la justice.
Ecartant toute idée de se retirer de la course en maintenant son «passage en force», le candidat de la droite, pourtant parti favori il y a quelques mois pour conquérir l'Elysée, semble s'engager «avec détermination» dans un chemin de croix, en dépit de nouvelles révélations qui viennent grossir son dossier, donc hypothéquer sa probité et l'image qu'il a voulu toujours renvoyer. C'est ce qui pousse nombre d'observateurs politiques à dire que la campagne électorale présidentielle a été «confisquée» par le candidat de la droite que les sondages l'ont fait chuté, à six semaines du premier tour du scrutin présidentiel, à la troisième place après Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Selon les dernières révélations relayées par la presse, ses enfants, employés par lui comme assistants parlementaires, lui reversaient une partie de leurs salaires et un mystérieux «bienfaiteur» lui a offert de costumes très onéreux. Lundi, Le Parisien a rapporté rapporte que Marie et Charles, deux de ses enfants qu'il avait employés comme collaborateurs parlementaires, «ont reversé à leurs parents une partie des revenus qu'ils avaient touchés à cette occasion». Citant des éléments en possession de la police judiciaire, le journal a indiqué que Marie Fillon a reversé 33 000 euros sur le compte joint de ses parents à l'occasion de plusieurs virements effectués à échéance régulière, ajoutant que le fils Charles Fillon a lui aussi effectué des virements à ses parents à compter de janvier 2007 pour environ 30 % de son salaire net. Pour sa part, Le Journal du dimanche avait aussi révélé, dans les détails, comment le candidat à l'élection présidentielle s'est fait offrir, depuis 2012, pour un montant de 48 500 euros de vêtements dans une chique boutique parisienne. Lundi soir, le déontologue de l'Assemblée nationale a annoncé qu'il se saisissait de l'affaire, après avoir été interpellé par des députés socialistes. Il devra donc vérifier, dans ce dossier, s'il y a eu un manquement ou pas au code de déontologie des députés ou d'éventuels conflits d'intérêts dans ces cadeaux. François Fillon doit se présenter mercredi matin devant les trois juges d'instruction, saisis pour l'affaire des emplois présumés fictifs de son épouse et de deux de ses enfants, révélée par l'hebdomadaire satirique Le Canard Enchaîné. Le 24 février dernier, rappelle-t-on, une information judiciaire contre X a été ouverte pour «détournements de fonds publics et recel, abus de biens sociaux et recel, trafic d'influence et manquement aux obligations déclaratives à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique». Il devra ou bien être mis en examen ou traité comme témoin assisté, mais selon des informations filtrées par la presse, les jugent semblent renoncer à la première possibilité pour lui faire valoir le statut de témoin assisté. Ce qui lui permettra de continuer sa course à la présidentielle avec un «soulagement» temporel, à la bonheur de ses soutiens.
François Fillon mis en examen dans l'enquête sur des emplois présumés fictifs
Le candidat de la droite à l'élection présidentielle française, François Fillon, a été mis en examen mardi dans l'enquête sur des emplois présumés fictifs en faveur de sa femme et deux de ses enfants. Prévu initialement mercredi, les trois juges d'instruction de l'affaire ont décidé mardi matin, contrairement à certaines informations qui se sont avérées fausses, de mettre en examen le candidat (Les Républicains) qui avait annoncé, il y a quelques semaines, qu'il renoncerait à la course présidentielle s'il était mis en examen. D'après son avocat, l'audition a été avancée pour qu'elle se déroule dans des «onditions de sérénité» François Fillon a été mis en examen, à quarante jours du premier tour de la présidentielle, pour «détournement de fonds publics» «recel et complicité d'abus de biens sociaux» et «manquement aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique». Dans sa déclaration liminaire à sa mise en examen, il a indiqué aux juges qu'il «ne demande ni dérogation, ni faveur, mais simplement le respect du droit», affirmant qu'il a employé son épouse et «la réalité de son travail est indéniable». Jugeant qu'il a été convoqué de «façon précipitée» pour «des faits remontant pour certains à près de vingt ans», le grand favori de la présidentielle, qui a perdu tout son aura depuis l'éclatement de l'affaire, a demandé d'être traité «sans précipitation» et avec le seul souci que «la justice soit rendue en toute impartialité». Le candidat de la droite ne semble sorti de l'auberge dans la mesure où de nouvelles révélations sont venues s'ajouter à cette affaire d'emplois fictifs. Ces révélations font état du versement d'une partie des salaires de ses enfants, employés par lui comme assistants parlementaires, au compte de leurs parents et d'un mystérieux «bienfaiteur» qui lui a offert de costumes très onéreux. Le quotidien Le Parisien a rapporté lundi que Marie et Charles Fillon «ont reversé à leurs parents une partie des revenus qu'ils avaient touchés à cette occasion». Citant des éléments en possession de la police judiciaire, le journal a indiqué que Marie Fillon a reversé 33 000 euros sur le compte joint de ses parents à l'occasion de plusieurs virements effectués à échéance régulière, ajoutant que le fils Charles Fillon a lui aussi effectué des virements à ses parents à compter de janvier 2007 pour environ 30% de son salaire net. Pour sa part, Le Journal du dimanche (JDD) avait aussi révélé, dans les détails, comment le candidat à l'élection présidentielle s'est fait offrir, depuis 2012, pour un montant de 48 500 euros de vêtements dans une chique boutique parisienne. Ce qui a poussé lundi soir le déontologue de l'Assemblée nationale à annoncer qu'il se saisissait de l'affaire, après avoir été interpellé par des députés socialistes. Il devra donc vérifier, dans ce dossier, s'il y a eu un manquement ou pas au code de déontologie des députés ou d'éventuels conflits d'intérêts dans ces cadeaux.


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