Ne « Mélenchons » pas tout, puisque Sophia Chikirou, la « coche » dulcinée du « Che », connait très bien la musique de l'orchestre de la politique maudite de la « Race » de René Basset, portée par Bernard Lugan, le penseur fasciste-royaliste de l'Action Française, et emballée joliment dans le laboratoire sioniste du cannabis d'André Azoulay, au moyen du fanion-toilette décoré avec la fourchette de Jacques Benêt (réalisée en 1971 par le chaudronnier Hocine Zekri) pour les lombrics assignés à résidence ethnique par l'armée française qui leur a préfabriqué un arbre généalogique sur plus de 20 siècles, dans les sombres galeries tribales de l'histoire. Il s'agit aussi de détourner le regard des multiples crises (institutionnelle, politique, sociale, économique, ...etc.) qui secouent leur métropole coloniale, menées par le putschiste de l'Elysée, en compagnie de la junte connu du CRIF. Athmane Azouz et ses amis, sont les bons élèves du raciste Xavier Driencourt, celui qui avait écrit à l'envers, le 9 janvier 2023 : «La France s'effondre, entraînera-t-elle l'Algérie dans sa chute?». N'oublions pas que Xavier Driencourt a fait le bonheur le bonheur de la chaîne TV « BRTV » du complot berbériste au moyen de la génétique. La tribune du berbériste Athmane Mazouz et de sa troupe politico-folklorique, est non seulement une revendication clairement « indigène » de « Harkas », puisqu'elle reprend les slogans creux coloniaux, mais aussi et surtout qu'elle reproduit presque entièrement les résolutions du sinistre fasciste Bruno Rotailleau, et des cruels nostalgiques de l'Algérie-Française, toujours en embuscade. Ils s'adressent au peuple algérien, en lui demandant carrément de brûler sa maison, pour sauver leur métropole d'Eric Zemmour et celle de leur maître idéologique de l'Action Française, le royaliste-fasciste Bernard Lugan, avec lequel ils partagent plus que la « fourchette de Jacques Benêt ». Ces politi-chiens indigènes au service de la France coloniale, avec des prétentions de démocrates, ce sont précisément ceux qui ont empêché violemment des patriotes algériens de s'exprimer lors de leur meeting « indigène », en date du 21 décembre 2024, à la Bourse du Travail de Paris (boulevard du Temple), interdite pour les mouvements en rupture avec le système de la colonie israélienne, qui a encerclé le peuple avec sa Gestapo sioniste. En effet, le RCD (Rouge-Chemaa-Doukhane), à qui la France coloniale a octroyé une salle de réunion à Paris (au moment même où des mouvements et des partis politiques qui dénonçaient le génocide du peuple palestinien étaient interdits d'expression publique), avait attiré une centaine de personnes, dont une bonne partie appartenait au groupe terroriste-berbériste du MAK. En plus d'avoir boycotté l'hymne national algérien (les MAKaks sont restés assis, et l'hymne national a été interrompu au deuxième couplet), ces comploteurs ont organisé une minute de silence, non pas en honneur aux résistants « Chouhadas », qui les ont libérés du joug colonial, mais aux soi-disant victimes de « la démocratie » en Algérie. La feuille de route du régime de la colonie israélienne avait été parfaitement respectée, puisque des « ratons » laveurs de Papon, triés sur le volet, étaient les seuls autorisés à s'exprimer à la tribune bancale, pour porter la parole des généraux coloniaux français, qui ont illuminé la Tour Eiffel aux couleurs de l'état génocidaire israé-Heilien. C'est ce que Athmane Mazouz, le « démoctateur » du RCD (Rouge-Chema-Doukhane), appelle la « démocratie », puisqu'il a promis de faire la guerre judiciaire au peuple algérien au niveau des instances internationales, pour blanchir les terroristes incendiaires MAKaks, et les assassins qui ont cramé Djamel Ben Smail. Durant cette séance de lapidation du peuple algérien, les invités (le PADA -parti des collabos indigènes, les MAKaks, Riposte International du fasciste Ali Aït Djoudi, les informateurs islmao-berbéristes d'Al Maghribia, Jil Jadid, la FIDH de Aïssa Rahmoune -l'agent de l'Otan et de Patrick Baudouin-, …etc) d'horreur du RCD de Said « Samedi » se sont succédés sur les planches politiques pourries pour injurier l'Algérie, son peuple et ses institutions, tout en faisant l'éloge du fasciste Boualem « Sent Sale », l'expert du site d'extrême-droite « Frontières » et membres actif du cercle des « algérianistes » de l'OAS. Ces serviteurs du système colonial, qui ont choisi le peuple algérien comme exutoire de leur haine « indigène » viscérale, ont appelé à la libération des terroristes islamo-berbéristes (considérés comme des détenus « d'opinions ») afin d'orchestrer une guerre civile. Ils ont aussi revendiqué l'abolition de l'article de loi 87 bis sur la lutte contre le terrorisme en Algérie (depuis le siège du régime de la colonie isra-heilienne qui légifère depuis la loi N° 86-1020 du 9 septembre 1986, et qui organise des rafles à la Papon y compris des enfants). Pour se conformer à leur lettre de mission, il s'est même trouvé un plouc « printaniste», représentant de la « Révolution du Sourire», qui avait appelé à s'associer avec Daesch d'Al-Joulani (Ahmed Al-Charaa), pour faire exploser l'Algérie. Elle est belle leur démocratie coloniale ! Cette pièce de théâtre politique des néo-Harkis, avait donc été spécialement construite par le régime du putschiste de l'Elysée, pour Athmane Mazouz, la « tête de Turc » des colons, qui l'aurait validé et qui a même applaudi les discours de la série de « pingouins » indigènes alignés dans le sens du vent du FMI (France-Maroc-Israël). Ils ont repris en chœur le travail du colon Alain Peyrrefitte (prénommé Roger Antoine à sa naissance), celui qui à côté, de François Mitterrand, préconisait de morceler l'Algérie, et qui avait même écrit : « Le département de Tizi-Ouzou doit s'administrer comme le département du Lot-et-Garonne » (Tribune libre -Ed, Plon- 1961). Pour rappel, Alain Pierrefitte était l'ami du colonel Paul Schœn, chargé des Affaires Musulmanes (des « bougnoules ») du gouverneur général colonial, et le parrain officiel de Jacques Benêt (le père de la « fourchette ») l'un des concepteurs de la stratégie de la race « berbériste ». Jacques bénêt était l'ami intime de Mohand Arav-Bessaoud, le voyou-racketteur des brasseries parisiennes, qui a participé activement à l'élaboration du complot berbériste de 1980, depuis « l'académie berbère » coloniale parisienne, haut lieu de la construction de la mythologie portant le même nom. Athmane Azouz, la « tête de pont » du parti (RCD) du commerce de Saïd « Samedi » le « biskri » (originaire de Biskra) constitue donc la 5ème colonne vertébrale des colons (comme décrit par le berbérophile Charles-Robert Ageron, et Octave Depont, l'homme du système colonial) qui nous décrivaient comme des primitifs : « il y a, en effet, dans la psychologie des Berbères à la fois impulsifs et violents, arrogants et obséquieux, pillards redoutables, des contrastes et des contradictions, qui ne se révèlent partiellement qu'à ceux que de patientes observations et de profondes connaissances des dialectes mettent à même de pénétrer l'âme des Nord-Africains. ». Sinon comment comprendre que son parti est le seul à brandir publiquement la « fourchette de Jacques Bénêt » pour se démarquer du drapeau national, qu'il partage fièrement avec le fasciste-royaliste Bernard Lugan de l'Action Française? Le RCD (Rassemblement Contre la Démocratie), crée en 1989 par Said « Samedi», le biskri-psychopathe (qui s'est glissé dans la soutane du moine Lavigerie, pour faire le « Kabyle »), en compagnie de son ami Ferhat Mehenni, le gourou terroriste du MAK, a une longue histoire de complots « indigènes », pour servir le système du FMI (France-Maroc-Israël). Il a été désigné explicitement par Si L'Hafid (Yaha Abdelhafid), comme étant la mule des bobines de billets de banque, provenant du royaume du cannabis, pour financer le complot « berbériste » de 1980 (appelé printemps « berbère »). (A suivre…)