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Relizane, si le métier de journaliste m'étais conté
UNE EPREUVE DIFFICILE CONJUGUEE A UN EFFORT CALOMNIATEUR SANS PITIE
Publié dans Réflexion le 29 - 05 - 2012

Cette pénible épreuve de la vie que je traverse malgré moi due d'abord à ma chronique maladie et mon souci avec la BDL, aggravée par des calomnies et machinations tramées par ceux qui ne craignent nullement Dieu et qui ne sont que des amis, que j'ai connu, m'a permit de faire une évaluation de ma longue carrière de journaliste, ayant servi avec dévouement mon pays soit à la radio algérienne à laquelle j'ai donné toute ma jeunesse, en produisant et présentant des dizaines d'émissions à Alger et Oran et en habitant dans des hôtels, ainsi qu'à la télévision et la presse écrite et d'apprécier également ceux que je comptais comme des hommes des moments cruciaux particulièrement parmi les amis et la famille mais hélas ma surprise fut grande de vivre une indifférence totale et une absence absolue de ceux que je considérais amis, collègues et proches.
Certes, je traverse une étape difficile comme tous les grands Messieurs de ce monde, une étape qui suscite en principe la solidarité, le soutien et la compassion de mes amis, collègues et proches qui sont dans une situation plus meilleur et de loin que la mienne (Allah ybarek), que dit-on de cousins mercantiles, de neveux et nièces aisés, d'amis et collègues bien placés et qui pouvaient largement me faire sortir de cette situation qui me rend malade davantage notamment ceux que j'ai aidé soit en ma qualité de journaliste ou en ma qualité d'ancien membre du conseil national de la centrale syndicale, ceux qui ont profité de ma naïveté et de ma bonne foi et mon enthousiasme à servir autrui mais malheureusement je n'ai aucun droit d'apprendre aux gens la bravoure et la gratitude. Cette épreuve m'a démontré clairement que la clémence de Dieu l'unique, il n'ya d'eternel que lui ou peut provenir des gens qu'on a jamais servi, des amis et connaissances dont on s'attendait pas le moindre soutien pour la simple raison que je ne les ai jamais servi. Je citerai à ce titre d'exemple notre Directeur général du journal Réflexion en l'occurrence Monsieur Belkacem Belhamideche qui s'est déplacé spécialement et en personne à Relizane, accompagné de mes collègues, Benyahia, Rym, Charef et Samia pour me venir en aide. En effet, mon Directeur Mr Belhamideche s'est engagé par écrit auprès de la BDL d'assurer un versement d'une somme mensuelle pour résorber ce crédit tout en leur remettant 20% de la créance principale qui est en tout de 36 millions de centimes comme il m'est venu en aide en m'allouant une somme pour subvenir à mes besoins. De son coté, notre ancien wali de Relizane, Monsieur Djamel Omar Benchaabane, premier wali de Relizane en 1984 et avec lequel j'ai eu l'honneur et le plaisir de travailler et qui est connu de tout temps par son esprit humaniste, m'a fortement soutenu hier en prenant une bonne partie de mon transfert et mes soins à l'étranger et en mobilisant son propre fils, vivant à Paris d'assurer mon séjour à l'hôpital et de ne pas me quitter d'un moment comme il ne cesse de s‘enquérir quotidiennement de ma santé par téléphone comme j'ai eu l'honneur d'apprendre la disponibilité de l'un de nos anciens walis en retraite et dont je préfère taire le nom sur sa demande qui s'est déplacé en personne pour me rendre visite et me consoler. Dieu seul saura récompenser tout un chacun. Durant ma maladie qui a débuté légèrement en 2004, je ne peux en aucun cas nier que des responsables locaux, ont répondu à mon appel, néanmoins, cette maudite maladie qui est chronique et de longue durée nécessite soit une aide importante une fois pour toute pour une prise en charge définitive ou des aides symboliques à chaque rechute comme a été le cas ces dernières années et je les remercie pour ça car je n'ai à qui me plaindre qu'à l'Etat Algérien. Je profite de cette occasion pour lever tout équivoque et surenchère à mon sujet colportés malheureusement par des amis souvent anonymes ou par personne interposées, car après plusieurs années de travail à l'ex RTA d'Alger et Oran, j'ai regagné Relizane où j'ai rejoins une compagnie d'assurances pour quelques mois seulement. Tombé malade, j'étais admis en invalidité de première catégorie qui me permets selon la loi 83/11 du 2 juillet 1983 relatives aux assurances sociales (Jo N0 28 DU 05 JUILLET 83) et dans son article 36 et la circulaire générale d'application des lois de la sécurité sociale du 10/11/1991 de trouver un autre travail pour assurer le salaire initial, la dite indemnité d'invalidité était de 4500Da pendant de longues années (de 1995 jusqu'à 2005) et après revalorisation est devenue à dix mille dinars. Partant de cette loi, j'ai accepté la proposition qui m'a été faite par le wali à l'époque Monsieur Abdelouhab Laroussi et son chef du cabinet en 1995, j'insiste à cela avec un corroboratif fort, une proposition qui m'a été faite et les deux responsables sont toujours en vie pour lancer une revue propre à la wilaya de Relizane appelée « Relizane actualités » où le wali d'antan m'a affecté par décision interne pour entamer cette mission et assurer la responsabilité de la cellule de communication de la wilaya. Cette revue de wilaya dont j'étais le rédacteur en chef se vendait même dans les librairies de toute la wilaya à vu le jour, donc, et a duré pendant 6 ans et ce durant la décennie noire, seulement pour parer à la lenteur administrative, le dit wali m'avait proposé une forme de recrutement et un poste pour assurer le salaire dans des délais cours, seulement cette situation administrative et ce qualificatif professionnel et cette forme de recrutement a duré jusqu'à ce jour et cela ne me dérangeait nullement, du moment que ce salaire ajouté à la maigre indemnité d'invalidité faisait en tout dans les dix neuf milles dinars pendant fort longtemps et ça me permettait aussi de subvenir aux besoins de mes enfants en essayant de joindre difficilement les deux bouts. En dehors de ce salaire insignifiant que je perçois jusqu'à maintenant, moi, père de 5 enfants, je m'engage à dire que je n'ai jamais eu une autre source de richesse et les journaux avec lesquels j'ai travaillé ne m'ont assuré aucun salaire.
Je n'ai aucune honte de parler de ma misère et ce avec fierté et tout à mon honneur. Je réitère mes remerciements à ces gens et mes collègues de réflexion qui n'ont pas prêté l'oreille aux calomniateurs qui ne sont autres que mes amis, natifs de Relizane comme moi et que je vois tous les jours et je rencontre quotidiennement et que je connais parfaitement comme étant des spécialistes de la calomnie, du mensonge et leur pratique quotidienne depuis longtemps, c'est de salir l'image des autres et faire des faux témoignages (chahadat zor) sans aucune pudeur ni crainte de Dieu et ils n'épargnent personne, même les morts et les malades n'ont pas échappé à leurs dénigrements souvent anonymes et préjudiciables et qui n'auront jamais malheureusement le courage de me le dire en face. J'inscris ici toute ma gratitude et ma reconnaissance à mon directeur Mr Belhamideche qui m'a évité une expulsion de ma maison et il a manifesté à mon égard une solidarité hors paire et inconditionnelle comme je remercie tous ceux qui sont solidaires avec moi soit par le contact direct ou à travers leurs passages dans les journaux.


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