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La bassesse n'a plus de limite ...
Publié dans Réflexion le 07 - 04 - 2018


No limit, no limit, comme l'on dit dans la chanson américaine. Rien n'a de limite désormais. Mais pour un bled n'ayant aucune noble histoire pour tout son racisme à l'égard des autochtones d'un pays occupé par le feu et le sang, avant d'avoir fait des noirs déportés une raison d'esclavagisme, ses limites du diable ne font plus un sujet d'actualité, après avoir bombardé les enfants de Bagdad, de Damas, etc., et tout dernièrement les enfants d'une école coranique à Kaboul. Les limites dépassent les bornes, aujourd'hui qu'il nous gaze par ses chemtrails, et nous ensorcelle par Haarp dont les indigènes du nouvel ordre mondial doutent à peine l'existence diabolique. Seulement les limites d'un pays aussi gauche qu'il soit comme le pays de la guerre des étoiles, demeure toutefois bien limitées parfois par rapport à celles du tiers monde où système et populace excellent en encensements. Antoine Léonard Thomas écrivait dans son livre « Esprit, maximes et principes de Thomas » cette citation qui résume parfaitement une récente vidéo filmée récemment à propos d'une personnalité descendu aux enfers par le pouvoir même le décriant comme voleur lorsque le baril coutait un pot de 198 $, tout comme l'Italie et Interpol, avant d'être repêché par la même faculté et sans explication d'ailleurs pour ceux qu'ils nomment citoyens : « Le pouvoir d'un côté et la bassesse de l'autre firent le plus souvent naître les panégyriques, que les uns eurent le courage d'entendre, et que les autres eurent l'audace de prononcer ». Outre les plus vils panégyriques, il y a aussi les baises mains qui sont de retour à moins qu'ils étaient toujours là. Mais pour leurs dames, les bises étaient les bienvenues. Les Algériens adorent les hommes á scandales, il faut le reconnaitre. Ils sont à chaque coin de rue et d'assemblée populaire. Même quand ils sortent de prison pour détournement de fonds, ou des déshonneurs sociétaux, ils ou leurs mères organisent même des journées de réception. Ce qui ne fut pas le cas il y a 50 ans. Des gens mêlés á de petits scandales, rasaient les murs une fois qu'ils furent libérés. Autre temps autres mœurs. Le clientélisme, le ould bladisme, la corruption, le besoin d'un chef providentiel amènent à ce genre de situation. De quoi affirmer en ces temps sans repères que les gens ne feront pas fonctionner ce qu'il leur reste de cerveau. Le culte de la personnalité qui se cultive chez les gens bas et vils est une religion en soi ! Et vendre son honneur ou carrément son âme despotique au diable, ne choque plus.

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