Lors d'un point de presse, le wali a évoqué un point noir qui persiste, celui du manque d'hygiène, une pollution offrant une image de désolation dans les quartiers à forte densité d'habitations et dans les principales artères des villes de Naâma, Aïn Sefra et de Mecheria où, dit-il, des décharges sauvages, des eaux usées stagnantes et des amas de déchets divers altèrent considérablement l'environnement des riverains, sans que cela inquiète les responsables concernés. Pourtant, a-t-il indiqué, les autorités locales ont tous les moyens et les capacités pour y faire face.