«Voir ses bonnes actions et ses bonnes intentions aboutir est la meilleure récompense qu'on puisse attendre. Dessiner un sourire sur les lèvres d'un enfant est le but de toute personne charitable. Notre association est là justement pour exaucer les souhaits de deux catégories de personnes : celle qui a besoin d'aide et celle qui ne sait pas comment porter son aide aux personnes qui le méritent vraiment. Le vrai handicap est lorsqu'on n'arrive pas à donner malgré qu'on peut bien le faire. L'enfant algérien a besoin de beaucoup de chose, ne serait-ce que d'attirer l'attention des grands, de divertissement, d'aide financière, psychologique et bien d'autres choses encore, Et là, je parle d'un enfant normal, en bonne santé. Alors que dire des enfants handicapés ! Eux, ils ont besoin d'une compréhension spéciale, d'un amour spécial, pourtant très simple et à la portée de tout le monde. Il faut juste leur faire confiance pour qu'ils aient confiance en eux. Il faut les aimer pour qu'ils s'aiment eux-mêmes. Il faut croire en eux pour qu'ils arrivent à croire en leurs capacités et leur pouvoir faire. C'est tout ce que nous leur apportons dans notre association ; un amour spécial, de la volonté et une parfaite confiance. Je profite de cet espace que vous m'avez accordé pour prier les gens, non pas à aider financièrement cette catégorie, pourtant cela aussi est important, mais surtout, et en premier lieu, à avoir un autre regard sur cette frange si importante de la société, l'aider à apprendre et faire apprendre, notamment à nos enfants, comment respecter nos enfants handicapés et leur donner ce qui leur manque le plus : la confiance et l'amour, et non pas la pitié.» S. T. * Président de l'association Espoir d'enfant «Voir ses bonnes actions et ses bonnes intentions aboutir est la meilleure récompense qu'on puisse attendre. Dessiner un sourire sur les lèvres d'un enfant est le but de toute personne charitable. Notre association est là justement pour exaucer les souhaits de deux catégories de personnes : celle qui a besoin d'aide et celle qui ne sait pas comment porter son aide aux personnes qui le méritent vraiment. Le vrai handicap est lorsqu'on n'arrive pas à donner malgré qu'on peut bien le faire. L'enfant algérien a besoin de beaucoup de chose, ne serait-ce que d'attirer l'attention des grands, de divertissement, d'aide financière, psychologique et bien d'autres choses encore, Et là, je parle d'un enfant normal, en bonne santé. Alors que dire des enfants handicapés ! Eux, ils ont besoin d'une compréhension spéciale, d'un amour spécial, pourtant très simple et à la portée de tout le monde. Il faut juste leur faire confiance pour qu'ils aient confiance en eux. Il faut les aimer pour qu'ils s'aiment eux-mêmes. Il faut croire en eux pour qu'ils arrivent à croire en leurs capacités et leur pouvoir faire. C'est tout ce que nous leur apportons dans notre association ; un amour spécial, de la volonté et une parfaite confiance. Je profite de cet espace que vous m'avez accordé pour prier les gens, non pas à aider financièrement cette catégorie, pourtant cela aussi est important, mais surtout, et en premier lieu, à avoir un autre regard sur cette frange si importante de la société, l'aider à apprendre et faire apprendre, notamment à nos enfants, comment respecter nos enfants handicapés et leur donner ce qui leur manque le plus : la confiance et l'amour, et non pas la pitié.» S. T. * Président de l'association Espoir d'enfant