C'est demain que les syndicalistes de Dubaï Ports World (DPW), qui assure la gestion du terminal à conteneurs au Port d'Alger (EPAL), trancheront sur la suite à donner à leur mouvement de protestation. C'est ce qu'on apprend de source syndicale. Cette dernière nous a affirmé qu'une ultime réunion interne entre les travailleurs de DPW, prévue demain, discutera de la démarche à entreprendre auprès de l'administration pour faire aboutir leur plateforme de revendications. Donc, le recours à une grève illimitée reste une option plausible. Tout comme son gel d'ailleurs. Vraisemblablement, la réunion, tenue jeudi dernier, entre les travailleurs et l'administration de DPW n'a pas débouché sur une solution concrète. «Nous avons discuté de toutes les questions en suspens, c'est-à-dire les salaires, les indemnités et le volume des horaires de travail entre autres», s'est contenté de dire un membre dudit syndicat, sans donner de plus amples détails. Mais il paraît que les deux parties ne sont pas parvenues à trouver un terrain d'entente, d'où d'ailleurs la réunion de demain comme ultime concertation avant de trancher définitivement sur le maintien ou pas du mot d'ordre de grève. Ainsi, les multiples réunions, tenues depuis le début du mois entre les travailleurs et les responsables de Dubaï Ports World, n'ont pas donné de résultats concrets. Toutefois, la situation commence à se corser au sein du port d'Alger, à quelques jours seulement de l'avènement du mois de Ramadhan. Les responsables de DPW ne veulent pas céder face aux revendications des travailleurs, et les syndicalistes maintiennent la pression. Par ailleurs, il semblerait que le ministère du Commerce ait adressé des mises en garde récemment, après avoir constaté un ralentissement des activités au sein du port. Aussi, l'UGTA à laquelle les dockers sont affiliés, serait également de la partie dans une tentative d'apaiser la situation qui risque de dégénérer. En attendant la décision qui sanctionnera le conclave des dockers demain, la tendance semble plutôt à l'apaisement. Tout porte à croire que les syndicalistes vont surseoir à leur mot d'ordre de débrayage. L'approche du Ramadhan avec l'arrivée des importants flux de viande qui arriveront d'Inde ainsi que d'autres marchandises risquent tout simplement de pourrir sur place en cas de grève des dockers. Les pertes seraient incommensurables. Heureusement on n'en est pas encore là car sauf surprise, les dockers seraient, dans leur majorité, prêts à surseoir à leur décision de grève. C'est demain que les syndicalistes de Dubaï Ports World (DPW), qui assure la gestion du terminal à conteneurs au Port d'Alger (EPAL), trancheront sur la suite à donner à leur mouvement de protestation. C'est ce qu'on apprend de source syndicale. Cette dernière nous a affirmé qu'une ultime réunion interne entre les travailleurs de DPW, prévue demain, discutera de la démarche à entreprendre auprès de l'administration pour faire aboutir leur plateforme de revendications. Donc, le recours à une grève illimitée reste une option plausible. Tout comme son gel d'ailleurs. Vraisemblablement, la réunion, tenue jeudi dernier, entre les travailleurs et l'administration de DPW n'a pas débouché sur une solution concrète. «Nous avons discuté de toutes les questions en suspens, c'est-à-dire les salaires, les indemnités et le volume des horaires de travail entre autres», s'est contenté de dire un membre dudit syndicat, sans donner de plus amples détails. Mais il paraît que les deux parties ne sont pas parvenues à trouver un terrain d'entente, d'où d'ailleurs la réunion de demain comme ultime concertation avant de trancher définitivement sur le maintien ou pas du mot d'ordre de grève. Ainsi, les multiples réunions, tenues depuis le début du mois entre les travailleurs et les responsables de Dubaï Ports World, n'ont pas donné de résultats concrets. Toutefois, la situation commence à se corser au sein du port d'Alger, à quelques jours seulement de l'avènement du mois de Ramadhan. Les responsables de DPW ne veulent pas céder face aux revendications des travailleurs, et les syndicalistes maintiennent la pression. Par ailleurs, il semblerait que le ministère du Commerce ait adressé des mises en garde récemment, après avoir constaté un ralentissement des activités au sein du port. Aussi, l'UGTA à laquelle les dockers sont affiliés, serait également de la partie dans une tentative d'apaiser la situation qui risque de dégénérer. En attendant la décision qui sanctionnera le conclave des dockers demain, la tendance semble plutôt à l'apaisement. Tout porte à croire que les syndicalistes vont surseoir à leur mot d'ordre de débrayage. L'approche du Ramadhan avec l'arrivée des importants flux de viande qui arriveront d'Inde ainsi que d'autres marchandises risquent tout simplement de pourrir sur place en cas de grève des dockers. Les pertes seraient incommensurables. Heureusement on n'en est pas encore là car sauf surprise, les dockers seraient, dans leur majorité, prêts à surseoir à leur décision de grève.