Le MSP réitère son appel à un changement pacifique qui épargnerait au pays de replonger dans la tragédie dont il vient à peine de se relever. Le changement, voulu par la formation politique de Bouguerra Soltani, s'inspire d'un ensemble de réformes institutionnelles loin des bruits de rue et des démonstrations populaires susceptibles de dérapages et d'incidents malencontreux. En effet, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) est pour des réformes "sereines" et "progressives" et "non pour le changement brutal", a déclaré jeudi dernier a Bechar son président Bouguerra Soltani. S'exprimant en ouverture des travaux de la 6e université de son parti à Bechar, sous le thème : «La jeunesse et les méthodes du changement, principes et outils», Soltani a indiqué que sa formation politique militait pour que ces réformes soient «limitées dans le temps tout en déterminant les priorités». «Notre pays n'est pas disposé à replonger de nouveau dans un bain de sang et à revivre la tragédie nationale, mais nous ne pouvons plus continuer à vivre dans ces mêmes conditions et réalités nationales», a-t-il déclaré. Pour le président du MSP, la jeunesse, qui constitue l'immense richesse du pays, doit avoir sa place et être consultée sur les différentes questions politiques, économiques et sociales, et doit être prise en charge pour qu'elle contribue au développement et à la stabilité du pays. «Cette jeunesse doit prendre part activement aux différents débats concernant l'avenir politique du pays», a estimé le président du MSP en soulignant le «devoir de prendre en considération les nouvelles réalités et besoins de cette catégorie de la population». Clôturant son intervention, Bouguerra Soltani a plaidé pour «des débats sur des programmes politiques, économiques et sociaux entre les différents partis et non pour la stagnation et le confinement dans des positions qui n'apportent rien au pays». Le MSP réitère son appel à un changement pacifique qui épargnerait au pays de replonger dans la tragédie dont il vient à peine de se relever. Le changement, voulu par la formation politique de Bouguerra Soltani, s'inspire d'un ensemble de réformes institutionnelles loin des bruits de rue et des démonstrations populaires susceptibles de dérapages et d'incidents malencontreux. En effet, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) est pour des réformes "sereines" et "progressives" et "non pour le changement brutal", a déclaré jeudi dernier a Bechar son président Bouguerra Soltani. S'exprimant en ouverture des travaux de la 6e université de son parti à Bechar, sous le thème : «La jeunesse et les méthodes du changement, principes et outils», Soltani a indiqué que sa formation politique militait pour que ces réformes soient «limitées dans le temps tout en déterminant les priorités». «Notre pays n'est pas disposé à replonger de nouveau dans un bain de sang et à revivre la tragédie nationale, mais nous ne pouvons plus continuer à vivre dans ces mêmes conditions et réalités nationales», a-t-il déclaré. Pour le président du MSP, la jeunesse, qui constitue l'immense richesse du pays, doit avoir sa place et être consultée sur les différentes questions politiques, économiques et sociales, et doit être prise en charge pour qu'elle contribue au développement et à la stabilité du pays. «Cette jeunesse doit prendre part activement aux différents débats concernant l'avenir politique du pays», a estimé le président du MSP en soulignant le «devoir de prendre en considération les nouvelles réalités et besoins de cette catégorie de la population». Clôturant son intervention, Bouguerra Soltani a plaidé pour «des débats sur des programmes politiques, économiques et sociaux entre les différents partis et non pour la stagnation et le confinement dans des positions qui n'apportent rien au pays».