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Le SG du FLN s'explique sur certains sujets
Hier, sur les ondes de la Radio nationale
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 10 - 2011

Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), M. Abdelaziz Belkhadem, a réaffirmé, hier, que la vraie réforme est celle du pouvoir local. Intervenant sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, le représentant personnel du président de la République dira que la question de la décentralisation ne veut pas signifier déconcentration, fédéralisme ou encore moins régionalisme. D'après lui, cela veut dire donner plus d'attributions aux élus locaux et garder un pouvoir de tutelle pour contrôler la gestion financière des communes. Pour Belkhadem, la vraie réforme est celle du pouvoir local, car, a-t-il dit, c'est elle qui est au contact direct avec le citoyen. «Il faut régler ces problèmes à ce niveau par l'élaboration de textes de loi, l'assouplissement des procédures et, surtout, par la mise à disposition des autorités locales de moyens humains et financiers», a-t-il assuré. Sur le volet humain, il a estimé que les collectivités locales ne disposaient pas de ressources humaines nécessaires leur permettant de gérer leurs besoins quotidiens, encore moins de moyens financiers et matériels. S'agissant du code communal adopté dernièrement, le SG du FLN a tenu à affirmer que les changements ayant été apportés dans ses textes n'ont pas dépouillé les élus locaux de certaines attributions. Selon lui, c'est bien le contraire, car, a-t-il dit, «le code communal a renforcé l'élu et a voulu le réhabiliter. Ses pouvoirs de tutelles administratives concernent le contrôle des finances locales».
Pour ce qui est du nomadisme politique, il dira que, comme tous les responsables des partis politiques, «je ne peux qu'être contre ce nomadisme», affirmant, toutefois, que la question est de savoir comment le gérer. «Les gens votent une liste, il faut respecter leur volonté», a-t-il dit. Et d'ajouter : «Il est vrai qu'on ne peut pas demander des comptes à quelqu'un qui papillonne, qui aujourd'hui est ici et demain ailleurs.» La démocratie, a-t-il relevé, réside dans l'acceptation de la diversité et l'opinion différente : «Nous sommes pour les réformes initiées par le président de la République.» Il soutiendra, cependant, que si un député venait à changer de parti politique, le parti qui l'accueille n'a pas le droit d'obtenir la quote-part financière réservée à ce député. «On prend des mesures pour limiter le nomadisme politique», a-t-il dit. Au sujet de la limitation des mandats présidentiels, il fera savoir qu'au sein de son parti,«nous n'avons pas pris de position au comité central. J'ai proposé qu'on revienne à la base et je leur ai demandé de faire des propositions à ce sujet». Interrogé sur l'éventualité de le voir se présenter en tant que candidat aux prochaines élections présidentielles, en 2014, Abdelaziz Belkhadem se contentera d'y répondre par : «En tant que parti, oui !», sans pour autant donner d'autres commentaires sur cette éventualité.
Revenant sur l'actualité nationale récente, à savoir les inondations meurtrières ayant frappé l'intérieur du pays, il soutiendra que les autorités n'ont pas échoué sur ce point, parce que le renforcement des infrastructures existantes et la nécessité de renforcer les digues ont été au centre des préoccupations de l'Etat. «Pendant une période, il y a eu beaucoup de laxisme», a-t-il reconnu, en laissant, notamment, proliférer les habitations de fortunes construites sur les nids des oueds. La meilleure solution, a-t-il indiqué, consiste à «opter pour une politique de réaménagement de nos villes et du territoire, de manière à décongestionner cette frange très réduite de sol fertile du littoral et au même temps amener nos autorités à s'intéresser de manière plus soutenue à la croissance de nos villes et la manière dont sont réalisés nos villes».
A huit mois des élections législatives, M. Belkhadem, rappelons-le, a procédé, vendredi dernier, à la mise en place de la commission nationale de préparation des élections locales et législatives de 2012. La commission de préparation des élections sera scindée en 16 sous-commissions qui seront chargées du volet technique.
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), M. Abdelaziz Belkhadem, a réaffirmé, hier, que la vraie réforme est celle du pouvoir local. Intervenant sur les ondes de la Radio nationale Chaîne III, le représentant personnel du président de la République dira que la question de la décentralisation ne veut pas signifier déconcentration, fédéralisme ou encore moins régionalisme. D'après lui, cela veut dire donner plus d'attributions aux élus locaux et garder un pouvoir de tutelle pour contrôler la gestion financière des communes. Pour Belkhadem, la vraie réforme est celle du pouvoir local, car, a-t-il dit, c'est elle qui est au contact direct avec le citoyen. «Il faut régler ces problèmes à ce niveau par l'élaboration de textes de loi, l'assouplissement des procédures et, surtout, par la mise à disposition des autorités locales de moyens humains et financiers», a-t-il assuré. Sur le volet humain, il a estimé que les collectivités locales ne disposaient pas de ressources humaines nécessaires leur permettant de gérer leurs besoins quotidiens, encore moins de moyens financiers et matériels. S'agissant du code communal adopté dernièrement, le SG du FLN a tenu à affirmer que les changements ayant été apportés dans ses textes n'ont pas dépouillé les élus locaux de certaines attributions. Selon lui, c'est bien le contraire, car, a-t-il dit, «le code communal a renforcé l'élu et a voulu le réhabiliter. Ses pouvoirs de tutelles administratives concernent le contrôle des finances locales».
Pour ce qui est du nomadisme politique, il dira que, comme tous les responsables des partis politiques, «je ne peux qu'être contre ce nomadisme», affirmant, toutefois, que la question est de savoir comment le gérer. «Les gens votent une liste, il faut respecter leur volonté», a-t-il dit. Et d'ajouter : «Il est vrai qu'on ne peut pas demander des comptes à quelqu'un qui papillonne, qui aujourd'hui est ici et demain ailleurs.» La démocratie, a-t-il relevé, réside dans l'acceptation de la diversité et l'opinion différente : «Nous sommes pour les réformes initiées par le président de la République.» Il soutiendra, cependant, que si un député venait à changer de parti politique, le parti qui l'accueille n'a pas le droit d'obtenir la quote-part financière réservée à ce député. «On prend des mesures pour limiter le nomadisme politique», a-t-il dit. Au sujet de la limitation des mandats présidentiels, il fera savoir qu'au sein de son parti,«nous n'avons pas pris de position au comité central. J'ai proposé qu'on revienne à la base et je leur ai demandé de faire des propositions à ce sujet». Interrogé sur l'éventualité de le voir se présenter en tant que candidat aux prochaines élections présidentielles, en 2014, Abdelaziz Belkhadem se contentera d'y répondre par : «En tant que parti, oui !», sans pour autant donner d'autres commentaires sur cette éventualité.
Revenant sur l'actualité nationale récente, à savoir les inondations meurtrières ayant frappé l'intérieur du pays, il soutiendra que les autorités n'ont pas échoué sur ce point, parce que le renforcement des infrastructures existantes et la nécessité de renforcer les digues ont été au centre des préoccupations de l'Etat. «Pendant une période, il y a eu beaucoup de laxisme», a-t-il reconnu, en laissant, notamment, proliférer les habitations de fortunes construites sur les nids des oueds. La meilleure solution, a-t-il indiqué, consiste à «opter pour une politique de réaménagement de nos villes et du territoire, de manière à décongestionner cette frange très réduite de sol fertile du littoral et au même temps amener nos autorités à s'intéresser de manière plus soutenue à la croissance de nos villes et la manière dont sont réalisés nos villes».
A huit mois des élections législatives, M. Belkhadem, rappelons-le, a procédé, vendredi dernier, à la mise en place de la commission nationale de préparation des élections locales et législatives de 2012. La commission de préparation des élections sera scindée en 16 sous-commissions qui seront chargées du volet technique.


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