Les lycées vont être en grève. Pas de veine pour ceux qui ont le bac à passer et qui vont perdre un temps précieux sur un programme le plus souvent écourté par manque de temps. Les potaches vont se retrouver de nouveau dans la rue par la faute de revendications qui ne sont pas prises en compte malgré les promesses de la tutelle. De sempiternelles promesses qui font des dégâts collatéraux d'autant que le Cnapest est bien déterminé à faire grève jusqu'à l'obtention de toutes ses revendications. La tutelle, elle, ne manquera pas de crier au scandale des élèves pris en otages. Il ne fait pas de doute que la stabilité du secteur de l' éducation passe par la satisfaction des revendications posées. Certes la décision du Cnapest de lancer un mouvement de grève illimitée est une décision extrême. Mais beaucoup de problèmes sont restés en suspens, comme le statut qui est sur le bureau de la Fonction publique dans lequel les syndicats n'ont pas été conviés. Le syndicat réclame également : l'intégration des professeurs du secondaire dans des postes supérieurs sur la base de l'ancienneté, l'intégration des professeurs ingénieurs dans des postes supérieurs sans aucune condition, d'autant que le Premier ministère leur a réservé des postes budgétaires, la suppression des postes en voie d'extinction dans le cycle primaire et leur intégration dans de nouveaux postes ainsi que l'intégration des professeurs certifiés exerçant dans des lycées. Ces revendications ont déjà fait l'objet d'un examen aussi bien par la tutelle, que la Fonction publique et le ministère des Finances. Mais pour obtenir le sésame, il faut passer par la commission ad hoc et c'est là toute la problématique. Qui va céder, la, tutelle, le syndicat ? Ou est-ce la voix de la raison qui va l'emporter ? C'est la dernière solution qui devrait primer sur toute autre considération. Il y va de l'avenir des élèves en général et des futurs bacheliers en particulier. Dont acte Les lycées vont être en grève. Pas de veine pour ceux qui ont le bac à passer et qui vont perdre un temps précieux sur un programme le plus souvent écourté par manque de temps. Les potaches vont se retrouver de nouveau dans la rue par la faute de revendications qui ne sont pas prises en compte malgré les promesses de la tutelle. De sempiternelles promesses qui font des dégâts collatéraux d'autant que le Cnapest est bien déterminé à faire grève jusqu'à l'obtention de toutes ses revendications. La tutelle, elle, ne manquera pas de crier au scandale des élèves pris en otages. Il ne fait pas de doute que la stabilité du secteur de l' éducation passe par la satisfaction des revendications posées. Certes la décision du Cnapest de lancer un mouvement de grève illimitée est une décision extrême. Mais beaucoup de problèmes sont restés en suspens, comme le statut qui est sur le bureau de la Fonction publique dans lequel les syndicats n'ont pas été conviés. Le syndicat réclame également : l'intégration des professeurs du secondaire dans des postes supérieurs sur la base de l'ancienneté, l'intégration des professeurs ingénieurs dans des postes supérieurs sans aucune condition, d'autant que le Premier ministère leur a réservé des postes budgétaires, la suppression des postes en voie d'extinction dans le cycle primaire et leur intégration dans de nouveaux postes ainsi que l'intégration des professeurs certifiés exerçant dans des lycées. Ces revendications ont déjà fait l'objet d'un examen aussi bien par la tutelle, que la Fonction publique et le ministère des Finances. Mais pour obtenir le sésame, il faut passer par la commission ad hoc et c'est là toute la problématique. Qui va céder, la, tutelle, le syndicat ? Ou est-ce la voix de la raison qui va l'emporter ? C'est la dernière solution qui devrait primer sur toute autre considération. Il y va de l'avenir des élèves en général et des futurs bacheliers en particulier. Dont acte