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Entrepreneurs et techniciens à la recherche de partenariat
6e Salon international des énergies renouvelables, conventionnelles, de l'efficacité énergétique, de l'électrotechnique, de l'automation et de l'éclairage
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 05 - 2012

«Je suis venu spécialement d'Annaba pour visiter le Salon international des énergies renouvelables, des énergies conventionnelles, de l'efficacité énergétique, de l'électrotechnique, de l'automation et de l'éclairage. Pour moi, il s'agit de m'imprégner des récentes innovations technologiques et nouer des contacts en vue d'une collaboration scientifique et technique avec des opérateurs économiques et des industriels étrangers », nous déclaré, hier, Mohamed A., ingénieur en génie électrique, dont les ambitions pour l'acquisition de savoir-faire sont vivaces.
«Je suis venu spécialement d'Annaba pour visiter le Salon international des énergies renouvelables, des énergies conventionnelles, de l'efficacité énergétique, de l'électrotechnique, de l'automation et de l'éclairage. Pour moi, il s'agit de m'imprégner des récentes innovations technologiques et nouer des contacts en vue d'une collaboration scientifique et technique avec des opérateurs économiques et des industriels étrangers », nous déclaré, hier, Mohamed A., ingénieur en génie électrique, dont les ambitions pour l'acquisition de savoir-faire sont vivaces.
Cet ingénieur estime «qu'il est primordial de se mettre à la page et de rester en permanence collé aux évolutions technologiques, car les pays industrialisés avancés découvrent beaucoup de choses dont il faut être au courant pour ne pas être dépassé sur le plan des progrès scientifiques. Aussi, la recherche scientifique est capitale pour maintenir les chercheurs en état d'imagination». Ouverte samedi dernier au Palais des expositions de la Safex, cette manifestation économique et commerciale a vu la participation de 33 entreprises et 12 pays ont présenté leurs découvertes technologiques et leurs instrumentations aux nombreux visiteurs et professionnels de ces métiers qui ont un avenir certain en Algérie, car les industries requièrent toutes ces spécialités pour le développement durable. Tous les exposants nationaux et étrangers sont animés par l'intention de trouver des partenaires afin de développer des formes de joint-venture, que ce soit pour la commercialisation des produits sur le marché Algérie, ou pour une collaboration technologique et une représentation locale pour les entreprises étrangères.
Il convient de préciser que l'Algérie a concocté un ambitieux programme de production d'électricité à base des énergies renouvelables (notamment le solaire et le photovoltaïque) pour couvrir une partie importante de ses besoins internes en électricité, mais également pour dégager un surplus pour l'exportation. Ainsi, les promoteurs de cet évènement soulignent que
"l'Algérie a lancé son programme des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique en mars 2011, tandis que le ministère de l'Energie et des mines ouvre la voie pour l'Algérie de devenir un leader dynamique de l'énergie verte".
En effet, les organisateurs de ce salon ajoutent que, pas moins de « 22 000 MW d'une puissance d'origine renouvelable entre 2011 et 2030 dont 12 000 MW sont dédiés à couvrir la demande nationale en électricité et 10 000 MW à l'exportation. Aussi, à l'horizon 2030, 40% de la production d'électricité destinée à la consommation nationale sera d'origine renouvelable ».
La stratégie nationale en matière d'énergies renouvelables a nécessité d'importants investissements car, il s'agit de promouvoir ces énergies d'avenir et propres destinées, notamment, à pallier les énergies fossiles tarissables, sachant que les cours du baril de pétrole connaissent des hauts et des bas, en fonction des fluctuations du marché et des pressions des pays consommateurs. Les promoteurs de ce salon notent que «pour atteindre ces objectifs, l'Algérie a besoin d'investir jusqu'à 120 milliards de dollars dans les énergies renouvelables d'ici 2030. Les investissements proviendront à la fois du secteur public et privé, ainsi que des partenaires étrangers. La nouvelle politique énergétique sera soutenue par le développement d'une industrie de sous-traitance locale, ce qui devrait permettre de créer environ 100 000 emplois ».
Ayant des milliers d'heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est bien, donc, bien placée pour réussir sa politique de génération d'énergie électrique à partir des énergies vertes.
150 milliards dollars
pour la période 2010-2014
Les tenants de la politique des énergies renouvelables insistent sur les infrastructures en précisant que «le lancement de nombreux projets de réalisation de fermes éoliennes et la mise en œuvre de projets expérimentaux en biomasse et en géothermie font aussi partie du programme. Le programme inclut la réalisation, d'ici 2020, d'une soixantaine de centrales solaires photovoltaïques et solaires thermiques, de fermes éoliennes et de centrales hybrides. Sonelgaz, qui a déjà lancé un projet pour développer une centrale hybride (gaz-solaire) à Hassi R'mel d'une capacité de 150 MW et séparément un parc éolien de 10 MW à Adrar, se chargera de l'achèvement de plusieurs projets des énergies renouvelables».
Par ailleurs, «des investissements sont prévus pour décoller entre 2015 et 2030, avec une production d'électricité s'élevant à 22 000 MW, le double de la capacité de production actuelle. La plupart de ces énergies proviendra du gaz naturel et permettra d'économiser environ 600 000 millions de mètres cubes de gaz sur 25 ans », poursuivent les organisateurs.
Il convient de préciser, selon les experts que «le pays investit fortement, et à juste titre, dans les secteurs de l'énergie, la construction et l'industrie afin de consolider les bases de l'industrialisation du pays. En effet, le deuxième programme massif d'investissement de 150 milliards de dollars entre 2010 et 2014 comprend 30 milliards de dollars pour l'expansion du secteur de l'électricité, 63 milliards de dollars pour le secteur pétrolier et gazier ainsi que 1 milliard de dollars pour la construction de centrales solaires hybrides et de centrales éoliennes ».
Les résultats et le bilan seront quantifiables et palpables à moyen et long terme, donc, et les conséquences seront perceptibles dans le développent durable et l'expansion des régions où les déséquilibres pourraient être réduits.
Cet ingénieur estime «qu'il est primordial de se mettre à la page et de rester en permanence collé aux évolutions technologiques, car les pays industrialisés avancés découvrent beaucoup de choses dont il faut être au courant pour ne pas être dépassé sur le plan des progrès scientifiques. Aussi, la recherche scientifique est capitale pour maintenir les chercheurs en état d'imagination». Ouverte samedi dernier au Palais des expositions de la Safex, cette manifestation économique et commerciale a vu la participation de 33 entreprises et 12 pays ont présenté leurs découvertes technologiques et leurs instrumentations aux nombreux visiteurs et professionnels de ces métiers qui ont un avenir certain en Algérie, car les industries requièrent toutes ces spécialités pour le développement durable. Tous les exposants nationaux et étrangers sont animés par l'intention de trouver des partenaires afin de développer des formes de joint-venture, que ce soit pour la commercialisation des produits sur le marché Algérie, ou pour une collaboration technologique et une représentation locale pour les entreprises étrangères.
Il convient de préciser que l'Algérie a concocté un ambitieux programme de production d'électricité à base des énergies renouvelables (notamment le solaire et le photovoltaïque) pour couvrir une partie importante de ses besoins internes en électricité, mais également pour dégager un surplus pour l'exportation. Ainsi, les promoteurs de cet évènement soulignent que
"l'Algérie a lancé son programme des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique en mars 2011, tandis que le ministère de l'Energie et des mines ouvre la voie pour l'Algérie de devenir un leader dynamique de l'énergie verte".
En effet, les organisateurs de ce salon ajoutent que, pas moins de « 22 000 MW d'une puissance d'origine renouvelable entre 2011 et 2030 dont 12 000 MW sont dédiés à couvrir la demande nationale en électricité et 10 000 MW à l'exportation. Aussi, à l'horizon 2030, 40% de la production d'électricité destinée à la consommation nationale sera d'origine renouvelable ».
La stratégie nationale en matière d'énergies renouvelables a nécessité d'importants investissements car, il s'agit de promouvoir ces énergies d'avenir et propres destinées, notamment, à pallier les énergies fossiles tarissables, sachant que les cours du baril de pétrole connaissent des hauts et des bas, en fonction des fluctuations du marché et des pressions des pays consommateurs. Les promoteurs de ce salon notent que «pour atteindre ces objectifs, l'Algérie a besoin d'investir jusqu'à 120 milliards de dollars dans les énergies renouvelables d'ici 2030. Les investissements proviendront à la fois du secteur public et privé, ainsi que des partenaires étrangers. La nouvelle politique énergétique sera soutenue par le développement d'une industrie de sous-traitance locale, ce qui devrait permettre de créer environ 100 000 emplois ».
Ayant des milliers d'heures d'ensoleillement par an, l'Algérie est bien, donc, bien placée pour réussir sa politique de génération d'énergie électrique à partir des énergies vertes.
150 milliards dollars
pour la période 2010-2014
Les tenants de la politique des énergies renouvelables insistent sur les infrastructures en précisant que «le lancement de nombreux projets de réalisation de fermes éoliennes et la mise en œuvre de projets expérimentaux en biomasse et en géothermie font aussi partie du programme. Le programme inclut la réalisation, d'ici 2020, d'une soixantaine de centrales solaires photovoltaïques et solaires thermiques, de fermes éoliennes et de centrales hybrides. Sonelgaz, qui a déjà lancé un projet pour développer une centrale hybride (gaz-solaire) à Hassi R'mel d'une capacité de 150 MW et séparément un parc éolien de 10 MW à Adrar, se chargera de l'achèvement de plusieurs projets des énergies renouvelables».
Par ailleurs, «des investissements sont prévus pour décoller entre 2015 et 2030, avec une production d'électricité s'élevant à 22 000 MW, le double de la capacité de production actuelle. La plupart de ces énergies proviendra du gaz naturel et permettra d'économiser environ 600 000 millions de mètres cubes de gaz sur 25 ans », poursuivent les organisateurs.
Il convient de préciser, selon les experts que «le pays investit fortement, et à juste titre, dans les secteurs de l'énergie, la construction et l'industrie afin de consolider les bases de l'industrialisation du pays. En effet, le deuxième programme massif d'investissement de 150 milliards de dollars entre 2010 et 2014 comprend 30 milliards de dollars pour l'expansion du secteur de l'électricité, 63 milliards de dollars pour le secteur pétrolier et gazier ainsi que 1 milliard de dollars pour la construction de centrales solaires hybrides et de centrales éoliennes ».
Les résultats et le bilan seront quantifiables et palpables à moyen et long terme, donc, et les conséquences seront perceptibles dans le développent durable et l'expansion des régions où les déséquilibres pourraient être réduits.


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