Après deux mois de fermeture, l'activité pourrait bientôt reprendre sur le site industriel de Kaesong, financé par la Corée du Sud et situé en Corée du Nord. Un accord de principe a été obtenu entre les deux pays. Après deux mois de fermeture, l'activité pourrait bientôt reprendre sur le site industriel de Kaesong, financé par la Corée du Sud et situé en Corée du Nord. Un accord de principe a été obtenu entre les deux pays. Les deux Corées sont tombées d'accord dimanche à l'issue de plus de 12 heures de délicates discussions sur le principe de la réouverture du site industriel commun de Kaesong, fermé en avril sur fond de vives tensions entre Séoul et Pyongyang. Les négociateurs, réunis dans le village de Panmunjom, sur la ligne de démarcation, ont décidé que les entreprises présentes sur ce complexe financé par la Corée du Sud et situé en Corée du Nord reprendraient leurs activités dès qu'elles seraient "prêtes" à le faire, d'après les termes de l'accord signé par les deux parties dans la matinée, ont annoncé les médias sud-coréens. Ils ont décidé d'à nouveau se rencontrer mercredi sur le site même de Kaesong pour trouver les moyens d'éviter à l'avenir une autre fermeture de ces installations et se sont mis d'accord sur leur inspection préalable par des hommes d'affaires sud-coréens. Ces pourparlers sont intervenus après deux mois d'une forte dégradation des relations entre le Nord et le Sud avec, notamment, des menaces de la part de la Corée du Nord, dont l'économie souffre d'un renforcement des sanctions infligées par les Nations unies après un essai nucléaire en février. Séoul et Pyongyang ont toujours affirmé vouloir rouvrir le complexe de Kaesong, lieu hautement symbolique qui a fait les frais de ces tensions et dont aucun des deux pays n'a voulu prendre la responsabilité de le déclarer officiellement fermé, se bornant à reconnaître un arrêt provisoire de son activité et à accuser l'autre partie d'être à l'origine de la suspension de ses activités. Les deux Corées sont tombées d'accord dimanche à l'issue de plus de 12 heures de délicates discussions sur le principe de la réouverture du site industriel commun de Kaesong, fermé en avril sur fond de vives tensions entre Séoul et Pyongyang. Les négociateurs, réunis dans le village de Panmunjom, sur la ligne de démarcation, ont décidé que les entreprises présentes sur ce complexe financé par la Corée du Sud et situé en Corée du Nord reprendraient leurs activités dès qu'elles seraient "prêtes" à le faire, d'après les termes de l'accord signé par les deux parties dans la matinée, ont annoncé les médias sud-coréens. Ils ont décidé d'à nouveau se rencontrer mercredi sur le site même de Kaesong pour trouver les moyens d'éviter à l'avenir une autre fermeture de ces installations et se sont mis d'accord sur leur inspection préalable par des hommes d'affaires sud-coréens. Ces pourparlers sont intervenus après deux mois d'une forte dégradation des relations entre le Nord et le Sud avec, notamment, des menaces de la part de la Corée du Nord, dont l'économie souffre d'un renforcement des sanctions infligées par les Nations unies après un essai nucléaire en février. Séoul et Pyongyang ont toujours affirmé vouloir rouvrir le complexe de Kaesong, lieu hautement symbolique qui a fait les frais de ces tensions et dont aucun des deux pays n'a voulu prendre la responsabilité de le déclarer officiellement fermé, se bornant à reconnaître un arrêt provisoire de son activité et à accuser l'autre partie d'être à l'origine de la suspension de ses activités.