Ils étaient très nombreux à répondre par leur présence à célébrer Yennayer. Après un couscous offert par les participants du huitième salon du couscous, les organisateurs, ont rajouté une cerise sur ce dernier en offrant un concert animé par un ensemble d'artiste dont la grande affiche, n'est autre que la chanteuse adulée Yasmina. Ils étaient très nombreux à répondre par leur présence à célébrer Yennayer. Après un couscous offert par les participants du huitième salon du couscous, les organisateurs, ont rajouté une cerise sur ce dernier en offrant un concert animé par un ensemble d'artiste dont la grande affiche, n'est autre que la chanteuse adulée Yasmina. Nous sommes sûrs que ni les organisateurs ni les chanteurs euxmêmes, ne s'attendaient à une telle réussite de l'événement qui entre, disons-le, dans le cadre de la « célébration du Nouvel An berbère». Avant même l'heure du gala, la salle était archicomble. Une heure bien avant le début du spectacle, la quasi-totalité des sièges étaient occupés. Les services de sécurité et les organisateurs ont eu beaucoup de mal à canaliser le flux d'admirateurs. Il y avait autant de monde à l'intérieur qu'à l'extérieur. C'est un véritable show, digne des grandes stars. Yasmina, y est réservée pour la deuxième partie. Après le passage de quelques artistes de la région. Le moment attendu par toute l'assistance est arrivé. Son entrée sur scène, en robe kabyle traditionnelle, a provoqué un tonnerre d ́acclamations. Yasmina ouvre le bal de son répertoire avec une chanson d'amour au titre évocateur: Kerhegh tin itihemlen (je déteste celle qui l'aime), puis Ur Zhigh di dunit iw. Dans cette chanson, Yasmina revient sur le regard sévère porté par notre société à l ́égard d ́une artiste. Les autres textes s ́égrènent : Ayen it khedmed at ghelted, Muqlegh gher wayen iedan où il est question de trahison amoureuse. L'artiste dit dans ses vers combien la vie n ́a pas de goût sans amour. Yasmina évoque aussi les regrets du temps passé et de l ́avenir incertain. L'ambiance était bon enfant. Le public s'est régalé jusque tard dans l'après-midi. La salle n'a commencé à se désemplir qu'à la fin de la dernière chanson du rebelle que Yasmina a interprété. Devenue la chanteuse kabyle la plus populaire et la plus prolifique. Ce statut n'est pas un fruit du hasard si elle s'impose ainsi sur la scène artistique kabyle qui connaît un vide criant dans le domaine de la chanson en général et féminine en particulier. Selon tous ces mélomanes, Yasmina est la digne héritière de H'nifa et Nouara. De son vrai nom Skakni Ouiza, Yasmina est originaire de Zerrouda en Kabylie. La majorité des sujets traités dans ses chansons sont puisés et inspirés de son vécu, notamment son enfance très dure. A l'âge de quinze ans, elle se marie. Ce mariage a donné à la naissance d'enfants. Son désir pour la musique est né lorsqu'elle était tout petite. En 1987, après son divorce, elle part à Paris, France. Elle y rencontre plusieurs artistes dont Akli Yahiatène, Youcef Abdjaoui... Ce dernier lui permet de monter sur scène pour interpréter une chanson, c'est en cette occasion que Allaoua Bahlouli l'a remarqué pour sa belle voix et lui propose de préparer son premier album. Yasmina sort son premier album en 1989, intitulé Lqadi (le juge). Depuis, elle a sorti plusieurs albums tels que : C'Tah iy eblan (Danse au rythme des soucis), Lâakal aderwic, La colère de la vie, Le coeur a ses raisons, etc. Les chansons de Yasmina sont tristes, et évoquent toujours les souffrances qu'elle a vécu dans son enfance et sa jeunesse. En 2010, Yasmina sort l'album Yemma Hnini, un hommage au chanteur Rahim disparu la même année d'une crise cardiaque. La nouveauté dans cet album est la chanson Fekkuli kyudiz ; c'est en effet la première fois, depuis le début de sa carrière, que Yasmina compose et chante une chanson en langue arabe. Nous sommes sûrs que ni les organisateurs ni les chanteurs euxmêmes, ne s'attendaient à une telle réussite de l'événement qui entre, disons-le, dans le cadre de la « célébration du Nouvel An berbère». Avant même l'heure du gala, la salle était archicomble. Une heure bien avant le début du spectacle, la quasi-totalité des sièges étaient occupés. Les services de sécurité et les organisateurs ont eu beaucoup de mal à canaliser le flux d'admirateurs. Il y avait autant de monde à l'intérieur qu'à l'extérieur. C'est un véritable show, digne des grandes stars. Yasmina, y est réservée pour la deuxième partie. Après le passage de quelques artistes de la région. Le moment attendu par toute l'assistance est arrivé. Son entrée sur scène, en robe kabyle traditionnelle, a provoqué un tonnerre d ́acclamations. Yasmina ouvre le bal de son répertoire avec une chanson d'amour au titre évocateur: Kerhegh tin itihemlen (je déteste celle qui l'aime), puis Ur Zhigh di dunit iw. Dans cette chanson, Yasmina revient sur le regard sévère porté par notre société à l ́égard d ́une artiste. Les autres textes s ́égrènent : Ayen it khedmed at ghelted, Muqlegh gher wayen iedan où il est question de trahison amoureuse. L'artiste dit dans ses vers combien la vie n ́a pas de goût sans amour. Yasmina évoque aussi les regrets du temps passé et de l ́avenir incertain. L'ambiance était bon enfant. Le public s'est régalé jusque tard dans l'après-midi. La salle n'a commencé à se désemplir qu'à la fin de la dernière chanson du rebelle que Yasmina a interprété. Devenue la chanteuse kabyle la plus populaire et la plus prolifique. Ce statut n'est pas un fruit du hasard si elle s'impose ainsi sur la scène artistique kabyle qui connaît un vide criant dans le domaine de la chanson en général et féminine en particulier. Selon tous ces mélomanes, Yasmina est la digne héritière de H'nifa et Nouara. De son vrai nom Skakni Ouiza, Yasmina est originaire de Zerrouda en Kabylie. La majorité des sujets traités dans ses chansons sont puisés et inspirés de son vécu, notamment son enfance très dure. A l'âge de quinze ans, elle se marie. Ce mariage a donné à la naissance d'enfants. Son désir pour la musique est né lorsqu'elle était tout petite. En 1987, après son divorce, elle part à Paris, France. Elle y rencontre plusieurs artistes dont Akli Yahiatène, Youcef Abdjaoui... Ce dernier lui permet de monter sur scène pour interpréter une chanson, c'est en cette occasion que Allaoua Bahlouli l'a remarqué pour sa belle voix et lui propose de préparer son premier album. Yasmina sort son premier album en 1989, intitulé Lqadi (le juge). Depuis, elle a sorti plusieurs albums tels que : C'Tah iy eblan (Danse au rythme des soucis), Lâakal aderwic, La colère de la vie, Le coeur a ses raisons, etc. Les chansons de Yasmina sont tristes, et évoquent toujours les souffrances qu'elle a vécu dans son enfance et sa jeunesse. En 2010, Yasmina sort l'album Yemma Hnini, un hommage au chanteur Rahim disparu la même année d'une crise cardiaque. La nouveauté dans cet album est la chanson Fekkuli kyudiz ; c'est en effet la première fois, depuis le début de sa carrière, que Yasmina compose et chante une chanson en langue arabe.