Les médecins résidents décident de reprendre la protestation. Leur collectif, leCamra, a indiqué hier qu'ils commenceront leur nouveauround de protestations par unsit-in au niveau de l'hopital Mustapha-Bacha, samedi 14 juillet 2018, à partir de 10h. Les médecins résidents décident de reprendre la protestation. Leur collectif, leCamra, a indiqué hier qu'ils commenceront leur nouveauround de protestations par unsit-in au niveau de l'hopital Mustapha-Bacha, samedi 14 juillet 2018, à partir de 10h. La trêve aura finalement été de très courte durée. Le Camra en a décidé ainsi pour protester contre le silence"incompréhensible" des deux tutelles, à savoir les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur. Depuis le gel de leur grève, les medecins residentsn'ont en effet absolument aucune nouvelle, ni n'ont eu de contact avec leurstutelles malgré les nombreuses demendes d'"audiences formulées et receptionnées par le ministere !" lit-on sur le communiqué du collectif. Il "nousest impossible de trouver une explicationsatisfaisante et logique à cet état defait, car il nous apparait que la paroled'un ministre devrait faire foi", déplorele même document. Le Collectifexplique, en effet, qu'après avoir apportéla preuve de sa bonne volonté, il s'attendaità une réaction plus prompte dudépartement de Hasbellaoui. A peineaprès la suspension d'un mouvement quiavait paralysé les structures de santé,c'est le retour au point de départ alorsque la balle était dans le camp du ministèrede la Santé. Celui del'Enseignement supérieur qui avait faitla sourde oreille durant des mois, presse les présidents des comités pédagogiques d'organiser des cours de rattrapage. Une injonction refusée par beaucoup d'entre eux. Ils disent être dans l'incapacité devalider une année durant laquelle les résidents n'ont pratiquement pas eu d'activités pédagogiques. C'est dans ce contexte que le conflit ,qui avait atteint son paroxysme avec l'arrêt total des activités hospitalières, risque à nouveau de s'embraser face à un mutisme des plus incompréhensibles du ministre de la Santé. Le retour dans la rue est, selon le Camra, une preuve que les médecins résidents sont "déterminés» à poursuivre le combat jusqu'à satisfaction de leursrevendications socioprofessionnelles", indiquant que "seule une volonté réelle et responsable pourra apporter des solutions pérennes et concrètes à cette impasse", estimant que cette situation a "trop duré, mettant en péril la santé du citoyen et prenant en otage l'avenir de milliers de résidents". La trêve aura finalement été de très courte durée. Le Camra en a décidé ainsi pour protester contre le silence"incompréhensible" des deux tutelles, à savoir les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur. Depuis le gel de leur grève, les medecins residentsn'ont en effet absolument aucune nouvelle, ni n'ont eu de contact avec leurstutelles malgré les nombreuses demendes d'"audiences formulées et receptionnées par le ministere !" lit-on sur le communiqué du collectif. Il "nousest impossible de trouver une explicationsatisfaisante et logique à cet état defait, car il nous apparait que la paroled'un ministre devrait faire foi", déplorele même document. Le Collectifexplique, en effet, qu'après avoir apportéla preuve de sa bonne volonté, il s'attendaità une réaction plus prompte dudépartement de Hasbellaoui. A peineaprès la suspension d'un mouvement quiavait paralysé les structures de santé,c'est le retour au point de départ alorsque la balle était dans le camp du ministèrede la Santé. Celui del'Enseignement supérieur qui avait faitla sourde oreille durant des mois, presse les présidents des comités pédagogiques d'organiser des cours de rattrapage. Une injonction refusée par beaucoup d'entre eux. Ils disent être dans l'incapacité devalider une année durant laquelle les résidents n'ont pratiquement pas eu d'activités pédagogiques. C'est dans ce contexte que le conflit ,qui avait atteint son paroxysme avec l'arrêt total des activités hospitalières, risque à nouveau de s'embraser face à un mutisme des plus incompréhensibles du ministre de la Santé. Le retour dans la rue est, selon le Camra, une preuve que les médecins résidents sont "déterminés» à poursuivre le combat jusqu'à satisfaction de leursrevendications socioprofessionnelles", indiquant que "seule une volonté réelle et responsable pourra apporter des solutions pérennes et concrètes à cette impasse", estimant que cette situation a "trop duré, mettant en péril la santé du citoyen et prenant en otage l'avenir de milliers de résidents".