Les chiffres contenus dans le rapport annuel du gouverneurde la Banque d'Algérie (BA),qu'il présenteraprochainement devant leParlement, sont toutsimplement, décoiffants Les chiffres contenus dans le rapport annuel du gouverneurde la Banque d'Algérie (BA),qu'il présenteraprochainement devant leParlement, sont toutsimplement, décoiffants En effet, selon quelques extraits publiés par un confrère arabophone,le taux de chômage en Algérie atteintun million 44 mille personnes, soit11,7% de la population active durant l'année2017. Ce chiffre alarmant marque unenette hausse, par rapport au taux enregistréen 2016, et qui était de 10,5%.Le rapport de la B.A, qui brosse la situationde la conjoncture économique etfinancière du pays, note en effet que lacroissance de l'activité économique horshydrocarbures, dont parle souvent le gouvernement,n'a aucunement impacté, positivementcela s'entend, le marché de l'emploi.Le plus inquiétant dans les chiffres dela Banque d'Algérie, est le fait que le tauxde chômage grossisse en milieu desjeunes. Il y est précisé ainsi, que le taux dechômage parmi les jeunes dont l'âgeoscille entre 16 et 24 ans, culmine à28,3% contre 26,7%, une année auparavant.Autrement dit, le chômage gagne duterrain, au sein de cette catégorie.Le rapport du Gouverneur pointe la "mollesse" de l'activité économique, dont le Produit intérieur brut (PIB), n'a évolué en 2017 que d'un modeste taux de 1, 6% contre 3,3% en 2016, soit 18.906,6 milliards dinars. Le document de la Banque d'Algérie souligne également, que le secteur de l'Agriculture, qui est le principal pourvoyeur d'emploi avec un million cent deuxmille, soit 10,1% de la population enregistre une réduction significative de sa croissance. Son apport en valeur ajoutée ne représente lit-on, que 1,2% du PIB en 2017, contre 1,8% en 2016 et même 6% en 2015. Ces chiffres de la Banque d'Algérie ont le mérite de dresser un tableau réaliste de la situation économique et financière du pays, loin du discours triomphaliste de l'Exécutif. Sans doute que ces données ne feront pas plaisir au Premier ministre qui tente de rassurer que la situation n'est pas aussi préoccupante, alors qu'il est régulièrement attaqué sur le recours à la planche a billets, dont on ne voit pas les "fruits", en terme derelance économique. En effet, selon quelques extraits publiés par un confrère arabophone,le taux de chômage en Algérie atteintun million 44 mille personnes, soit11,7% de la population active durant l'année2017. Ce chiffre alarmant marque unenette hausse, par rapport au taux enregistréen 2016, et qui était de 10,5%.Le rapport de la B.A, qui brosse la situationde la conjoncture économique etfinancière du pays, note en effet que lacroissance de l'activité économique horshydrocarbures, dont parle souvent le gouvernement,n'a aucunement impacté, positivementcela s'entend, le marché de l'emploi.Le plus inquiétant dans les chiffres dela Banque d'Algérie, est le fait que le tauxde chômage grossisse en milieu desjeunes. Il y est précisé ainsi, que le taux dechômage parmi les jeunes dont l'âgeoscille entre 16 et 24 ans, culmine à28,3% contre 26,7%, une année auparavant.Autrement dit, le chômage gagne duterrain, au sein de cette catégorie.Le rapport du Gouverneur pointe la "mollesse" de l'activité économique, dont le Produit intérieur brut (PIB), n'a évolué en 2017 que d'un modeste taux de 1, 6% contre 3,3% en 2016, soit 18.906,6 milliards dinars. Le document de la Banque d'Algérie souligne également, que le secteur de l'Agriculture, qui est le principal pourvoyeur d'emploi avec un million cent deuxmille, soit 10,1% de la population enregistre une réduction significative de sa croissance. Son apport en valeur ajoutée ne représente lit-on, que 1,2% du PIB en 2017, contre 1,8% en 2016 et même 6% en 2015. Ces chiffres de la Banque d'Algérie ont le mérite de dresser un tableau réaliste de la situation économique et financière du pays, loin du discours triomphaliste de l'Exécutif. Sans doute que ces données ne feront pas plaisir au Premier ministre qui tente de rassurer que la situation n'est pas aussi préoccupante, alors qu'il est régulièrement attaqué sur le recours à la planche a billets, dont on ne voit pas les "fruits", en terme derelance économique.