Les tensions entre les Etats-Unis et l'Iran sont montées d'un cran cette semaine après que les Etats-Unis aient accusé l'Iran d'être responsabled'attaques non revendiquées contre deuxnavires pétroliers en mer d'Oman, faisant craindreune escalade de tensions dans la volatile région duGolfe, Les tensions entre les Etats-Unis et l'Iran sont montées d'un cran cette semaine après que les Etats-Unis aient accusé l'Iran d'être responsabled'attaques non revendiquées contre deuxnavires pétroliers en mer d'Oman, faisant craindreune escalade de tensions dans la volatile région duGolfe, rapportent plusieurs médias.Un tanker norvégien et un tanker japonais ont étéce jeudi la cible d'attaques d'origine indéterminéealors qu'ils naviguaient près du détroit d'Ormuz,un passage maritime stratégique à l'échelle mondialeoù transite un cinquième de la productionmondiale de pétrole. Très rapidement le gouvernementaméricain, à sa tête le Président DonaldTrump, a accusé l'Iran être à l'origine de cetteattaque, rejetant le démenti de l'Iran et affirmantque l'attaque était "signée".Pour étayer leur affirmation, les Etats-Unis ontdiffusé par le biais de l'US Navy une vidéo supposéemontrer une vedette de patrouille des Gardiensde la Révolution accoster l'un des deux naviresafin de retirer un "mine ventouse non explosée" dela coque du pétrolier. Pour le Président Trump, lesGardiens de la Révolution " ne voulaient pas laisserde preuves derrière eux", a-t-il soutenu.L'Arabie saoudite a dans ce cadre fait part de sa "grande inquiétude", tandis que les Emirats ontdénoncé une "dangereuse escalade".L'Iran a cependant démenti toute implication,jugeant les accusations américaines "sans fondement",tandis que la Russie a condamné "sévèrement"les attaques non revendiquées et a demandéaux Etats-Unis de ne pas "tirer des conclusionshâtives". Même son de cloche du côté de la diplomatieallemande. "La vidéo n'est pas suffisante.Nous pouvons bien sûr comprendre ce qu'on nousmontre mais, pour tirer des conclusions, ce n'estselon moi pas suffisant", a déclaré le ministre desAffaires étrangères allemand, Heiko Maas.Le ministre de la Défense américain PatrickShanahan, n'a quant à lui pas écarté la possibilitéde renforcer encore la présence militaire américainedans la région, après l'annonce le mois dernierde l'envoi de 1.500 soldats supplémentaires etd'avions de combat et de reconnaissance auMoyen-Orient. C'est dans ce contexte que laChine a appelé au "dialogue" tandis que l'Irak aprôné "l'apaisement". La Ligue arabe a pour sapart mis en garde contre "une confrontation qui nelaissera personne en sécurité". rapportent plusieurs médias.Un tanker norvégien et un tanker japonais ont étéce jeudi la cible d'attaques d'origine indéterminéealors qu'ils naviguaient près du détroit d'Ormuz,un passage maritime stratégique à l'échelle mondialeoù transite un cinquième de la productionmondiale de pétrole. Très rapidement le gouvernementaméricain, à sa tête le Président DonaldTrump, a accusé l'Iran être à l'origine de cetteattaque, rejetant le démenti de l'Iran et affirmantque l'attaque était "signée".Pour étayer leur affirmation, les Etats-Unis ontdiffusé par le biais de l'US Navy une vidéo supposéemontrer une vedette de patrouille des Gardiensde la Révolution accoster l'un des deux naviresafin de retirer un "mine ventouse non explosée" dela coque du pétrolier. Pour le Président Trump, lesGardiens de la Révolution " ne voulaient pas laisserde preuves derrière eux", a-t-il soutenu.L'Arabie saoudite a dans ce cadre fait part de sa "grande inquiétude", tandis que les Emirats ontdénoncé une "dangereuse escalade".L'Iran a cependant démenti toute implication,jugeant les accusations américaines "sans fondement",tandis que la Russie a condamné "sévèrement"les attaques non revendiquées et a demandéaux Etats-Unis de ne pas "tirer des conclusionshâtives". Même son de cloche du côté de la diplomatieallemande. "La vidéo n'est pas suffisante.Nous pouvons bien sûr comprendre ce qu'on nousmontre mais, pour tirer des conclusions, ce n'estselon moi pas suffisant", a déclaré le ministre desAffaires étrangères allemand, Heiko Maas.Le ministre de la Défense américain PatrickShanahan, n'a quant à lui pas écarté la possibilitéde renforcer encore la présence militaire américainedans la région, après l'annonce le mois dernierde l'envoi de 1.500 soldats supplémentaires etd'avions de combat et de reconnaissance auMoyen-Orient. C'est dans ce contexte que laChine a appelé au "dialogue" tandis que l'Irak aprôné "l'apaisement". La Ligue arabe a pour sapart mis en garde contre "une confrontation qui nelaissera personne en sécurité".