Abdelawahab Farsaoui, président de l'association RAJ, a été arrêté avant-hier par des membres des services de sécurité, alors qu'il participait à un rassemblement au tribunal de Sidi Mhamed d'Alger. Abdelawahab Farsaoui, président de l'association RAJ, a été arrêté avant-hier par des membres des services de sécurité, alors qu'il participait à un rassemblement au tribunal de Sidi Mhamed d'Alger. Cette arrestation a fait réagir l'alliance de la société civile, dont il est membre qui, dans un communiqué, a reçu à notre rédaction, constate la poursuite des pressions sur le RAJ et son président qui est un militant des droits de l'Homme, un activiste politique et une figure connue du Hirak. "Nous condamnons et dénonçons vigoureusement l'arrestation arbitraire de notre collègue Abdelouahab Fersaoui, et exigeons sa libération immédiate et sans conditions", lit-on dans le communiqué. Pour l'Alliance de la société civile, l'arrestation du président de RAJ constitue une "violation des engagements internationaux de l'Algérie, en vertu du Traité international relatif aux droits civils et politiques". De même qu'elle représente une "violation" de la déclaration sur la protection des défenseurs des droits de l'Homme. Le collectif en profite pour réclamer "la libération de tous les détenus d'opinion en Algérie" dont le nombre, est-il précisé, dépasse la centaine, et parmi eux sept militants du RAJ. Cette arrestation a fait réagir l'alliance de la société civile, dont il est membre qui, dans un communiqué, a reçu à notre rédaction, constate la poursuite des pressions sur le RAJ et son président qui est un militant des droits de l'Homme, un activiste politique et une figure connue du Hirak. "Nous condamnons et dénonçons vigoureusement l'arrestation arbitraire de notre collègue Abdelouahab Fersaoui, et exigeons sa libération immédiate et sans conditions", lit-on dans le communiqué. Pour l'Alliance de la société civile, l'arrestation du président de RAJ constitue une "violation des engagements internationaux de l'Algérie, en vertu du Traité international relatif aux droits civils et politiques". De même qu'elle représente une "violation" de la déclaration sur la protection des défenseurs des droits de l'Homme. Le collectif en profite pour réclamer "la libération de tous les détenus d'opinion en Algérie" dont le nombre, est-il précisé, dépasse la centaine, et parmi eux sept militants du RAJ.