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Des partis politiques à la traine
Collecte des signatures pour les locales
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 09 - 2021

Les partis politiques engagés dans la course pour les élections locales anticipées du 27 novembre prochaines sont désormais en plein campagne. En effet la collecte de signatures bat son plein et ces partis ont mobilisés toutes leurs forces pour réussir ce cap.
Les partis politiques engagés dans la course pour les élections locales anticipées du 27 novembre prochaines sont désormais en plein campagne. En effet la collecte de signatures bat son plein et ces partis ont mobilisés toutes leurs forces pour réussir ce cap.
Un cap qui s'est avéré par trop difficile. En effet cette étape devant conduire directement à la confection des listes électorales est loin d'être une simple sinécure. Des partis ont ainsi appris à leurs dépens que cette procédure est très compliqué et semé de moult embuches. Leurs propos qui peuplent les colonnes des journaux, ou entends ça et là sur les plateaux de télévision, sont on ne peut plus révélateurs sur les difficultés rencontrées. Il s'agit principalement du nombre jugé très élevé, des signatures des citoyens.
Ainsi pour les assemblées populaires communales, il faut 35 signatures pour un siège. Ce nombre semble effectivement insurmontable pour nombre de formations politiques, notamment celles qui n'ont pas un grands nombre de militants ou qui n'ont pas une implantation conséquente sur l'ensemble du territoire national. De grands partis politiques, qui sont pratiquement à l'opposé des petites formations, se sont, eux aussi, plaints de cette condition qui semble être un véritable handicap. C'est le cas par exemple du mouvement de la société pour la paix (MSP). Son président, Abderazak Makri, l'a fait savoir a maintes reprises dans ses déclarations médiatiques ou dans ses posts sur facebook. Selon ses dires, un par qui désire se présenter dans l'ensemble des communes du pays devrait collecter pour ce faire pas moins de 800 000 signatures. Ce chiffre ahurissant qui donne en effet le vertige et qui atteste effectivement de la difficulté rencontré par les partis politiques, y compris ceux que l'on considère comme de grosses cylindrés. D'autres partis ont d'ailleurs fait la même observation et se sont eux aussi tonnés de cette disposition .
"Ce d'autant," ont -ils soutenu que "ce nombre est très excessif comparé à d'autres élections." Selon eux, en effet, il est juste exigé 50 000 signatures de citoyens lors des élections présidentielles et seulement 25 000 signatures pour les dernières élections législatives. Cet écueil et cette anomalie dans la loi électorale a durement été au centre des discussions entre les partis politiques et le président de l'Autorité national Indépendante des Elections (ANIE), MohamedCharfi. Cette rencontre, qui a eu lieu avant-hier a permis aux partis politiques de poser leurs problèmes. Mais il semble que les dispositions de la loi organique portant régime électoral qui constituent un handicap et de ce fait, Charfi ne peut rien faire. De nombreux partis politiques auront ainsi une présence timide lors du prochain scrutin puisque il leur serait très difficile de souscrire à cette disposition. Et même les grands partis risquent fort bien de ne pas pouvoir couvrir l'ensemble du territoire national par leurs listes électorales.
Un cap qui s'est avéré par trop difficile. En effet cette étape devant conduire directement à la confection des listes électorales est loin d'être une simple sinécure. Des partis ont ainsi appris à leurs dépens que cette procédure est très compliqué et semé de moult embuches. Leurs propos qui peuplent les colonnes des journaux, ou entends ça et là sur les plateaux de télévision, sont on ne peut plus révélateurs sur les difficultés rencontrées. Il s'agit principalement du nombre jugé très élevé, des signatures des citoyens.
Ainsi pour les assemblées populaires communales, il faut 35 signatures pour un siège. Ce nombre semble effectivement insurmontable pour nombre de formations politiques, notamment celles qui n'ont pas un grands nombre de militants ou qui n'ont pas une implantation conséquente sur l'ensemble du territoire national. De grands partis politiques, qui sont pratiquement à l'opposé des petites formations, se sont, eux aussi, plaints de cette condition qui semble être un véritable handicap. C'est le cas par exemple du mouvement de la société pour la paix (MSP). Son président, Abderazak Makri, l'a fait savoir a maintes reprises dans ses déclarations médiatiques ou dans ses posts sur facebook. Selon ses dires, un par qui désire se présenter dans l'ensemble des communes du pays devrait collecter pour ce faire pas moins de 800 000 signatures. Ce chiffre ahurissant qui donne en effet le vertige et qui atteste effectivement de la difficulté rencontré par les partis politiques, y compris ceux que l'on considère comme de grosses cylindrés. D'autres partis ont d'ailleurs fait la même observation et se sont eux aussi tonnés de cette disposition .
"Ce d'autant," ont -ils soutenu que "ce nombre est très excessif comparé à d'autres élections." Selon eux, en effet, il est juste exigé 50 000 signatures de citoyens lors des élections présidentielles et seulement 25 000 signatures pour les dernières élections législatives. Cet écueil et cette anomalie dans la loi électorale a durement été au centre des discussions entre les partis politiques et le président de l'Autorité national Indépendante des Elections (ANIE), MohamedCharfi. Cette rencontre, qui a eu lieu avant-hier a permis aux partis politiques de poser leurs problèmes. Mais il semble que les dispositions de la loi organique portant régime électoral qui constituent un handicap et de ce fait, Charfi ne peut rien faire. De nombreux partis politiques auront ainsi une présence timide lors du prochain scrutin puisque il leur serait très difficile de souscrire à cette disposition. Et même les grands partis risquent fort bien de ne pas pouvoir couvrir l'ensemble du territoire national par leurs listes électorales.


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