Le président de l'Union générale des chambres du commerce, de l'industrie et de l'agriculture des pays arabes, M. Adnane El Kessar estime que le libre échange entre les pays arabes peut favoriser la création d'un marché économique commun. Que signifie pour vous la tenue de ce 3ème forum économique à Alger ? Il s'agit surtout d'explorer les voies et moyens et de saisir les différentes opportunités d'investissement qu'offre l'Algérie grâce à l'amélioration du climat d'affaires, confortée du reste par la stabilité politique retrouvée et les réformes économiques engagées par l'Etat. Quels sont, selon vous, les secteurs qui attirent le plus les investisseurs arabes ? Je pense que le tourisme doit être un secteur prioritaire pour les investisseurs arabes et non arabes, compte tenu du potentiel énorme qu'il recèle et qui demeure encore inexploité. En plus de cela, il y a d'autres secteurs comme l'agriculture, l'agroalimentaire, l'industrie, les mines, le bâtiment et le transport qui offrent des opportunités génératrices de valeur ajoutée. Que pensez-vous de la réticence de certains investisseurs étrangers à venir s'installer en Algérie ? Je pense qu'il n'y a aucun risque à craindre. Au contraire, le climat d'investissement est excellent et la conjoncture actuelle, marquée par la flambée des cours du pétrole, a permis d'investir une part des recettes du pétrole dans la réalisation des infrastructures et créer un climat propice et très favorable à l'investissement. Les investissements arabes en Algérie sont estimés à quelque 6 milliards de dollars en 2007. Que signifie pour vous ce chiffre ? C'est un chiffre qui reste en deça des opportunités existantes, d'où l'intérêt de faire la promotion du marché algérien auprès des investisseurs potentiels, et je suis persuadé que la tenue de la troisième édition du forum économique d'Alger s'inscrit justement dans cette optique. Comment voyez-vous l'avenir de la coopération économique interarabe ? Personnellement, je suis très optimiste avec l'ouverture économique prônée par l'ensemble des pays arabes. Le plus important maintenant est d'encourager l'émergence du libre échange qui peut, à moyen terme, favoriser la création du marché économique arabe qui demeure un rêve pour tous les pays arabes. Le président de l'Union générale des chambres du commerce, de l'industrie et de l'agriculture des pays arabes, M. Adnane El Kessar estime que le libre échange entre les pays arabes peut favoriser la création d'un marché économique commun. Que signifie pour vous la tenue de ce 3ème forum économique à Alger ? Il s'agit surtout d'explorer les voies et moyens et de saisir les différentes opportunités d'investissement qu'offre l'Algérie grâce à l'amélioration du climat d'affaires, confortée du reste par la stabilité politique retrouvée et les réformes économiques engagées par l'Etat. Quels sont, selon vous, les secteurs qui attirent le plus les investisseurs arabes ? Je pense que le tourisme doit être un secteur prioritaire pour les investisseurs arabes et non arabes, compte tenu du potentiel énorme qu'il recèle et qui demeure encore inexploité. En plus de cela, il y a d'autres secteurs comme l'agriculture, l'agroalimentaire, l'industrie, les mines, le bâtiment et le transport qui offrent des opportunités génératrices de valeur ajoutée. Que pensez-vous de la réticence de certains investisseurs étrangers à venir s'installer en Algérie ? Je pense qu'il n'y a aucun risque à craindre. Au contraire, le climat d'investissement est excellent et la conjoncture actuelle, marquée par la flambée des cours du pétrole, a permis d'investir une part des recettes du pétrole dans la réalisation des infrastructures et créer un climat propice et très favorable à l'investissement. Les investissements arabes en Algérie sont estimés à quelque 6 milliards de dollars en 2007. Que signifie pour vous ce chiffre ? C'est un chiffre qui reste en deça des opportunités existantes, d'où l'intérêt de faire la promotion du marché algérien auprès des investisseurs potentiels, et je suis persuadé que la tenue de la troisième édition du forum économique d'Alger s'inscrit justement dans cette optique. Comment voyez-vous l'avenir de la coopération économique interarabe ? Personnellement, je suis très optimiste avec l'ouverture économique prônée par l'ensemble des pays arabes. Le plus important maintenant est d'encourager l'émergence du libre échange qui peut, à moyen terme, favoriser la création du marché économique arabe qui demeure un rêve pour tous les pays arabes.