De nouvelles violences ont fait au moins onze tués, dont cinq civils, dans Baghdad, alors que les combats connaissaient une pause hier, dans un bastion chiite de la capitale irakienne. Sadr City, bastion de l'armée du Mahdi, la milice de Moqtada Sadr, a été le théâtre d'affrontements avec les forces de sécurité irakiennes, appuyées par des unités américaines. Les violents combats à Sadr City, qui avaient éclaté le 6 avril, ont baissé d'intensité ces derniers jours. Ils ont fait quelque 90 tués et sont intervenus après une confrontation meurtrière fin mars entre forces irakiennes et l'armée du Mahdi, la milice sadriste, dans le sud du pays et à Baghdad. La veille, le gouvernement irakien avait répété sa détermination à combattre les miliciens chiites jusqu'à ce qu'ils aient été chassés de Sadr City. Toutefois, les sadristes accusent le Premier ministre Nouri al-Maliki de vouloir les affaiblir avant des élections régionales prévues en octobre, au profit de son grand rival chiite, le Conseil suprême islamique d'Irak d'Abdel Aziz Hakim. De nouvelles violences ont fait au moins onze tués, dont cinq civils, dans Baghdad, alors que les combats connaissaient une pause hier, dans un bastion chiite de la capitale irakienne. Sadr City, bastion de l'armée du Mahdi, la milice de Moqtada Sadr, a été le théâtre d'affrontements avec les forces de sécurité irakiennes, appuyées par des unités américaines. Les violents combats à Sadr City, qui avaient éclaté le 6 avril, ont baissé d'intensité ces derniers jours. Ils ont fait quelque 90 tués et sont intervenus après une confrontation meurtrière fin mars entre forces irakiennes et l'armée du Mahdi, la milice sadriste, dans le sud du pays et à Baghdad. La veille, le gouvernement irakien avait répété sa détermination à combattre les miliciens chiites jusqu'à ce qu'ils aient été chassés de Sadr City. Toutefois, les sadristes accusent le Premier ministre Nouri al-Maliki de vouloir les affaiblir avant des élections régionales prévues en octobre, au profit de son grand rival chiite, le Conseil suprême islamique d'Irak d'Abdel Aziz Hakim.