Des déséquilibrés mentaux et de nombreux vagabonds errent dans les grandes villes du pays, notamment à Alger où des drames sont causés par ces désaxés pourtant attirant quotidiennement l'attention des pouvoirs publics et des maires. Lundi matin, à la Place des Martyrs, un homme âgé environ de 45 ans, n'a pas cessé de hurler à haute voix et de gesticuler comme un véritable forcené, piquant une crise de nerfs, et suscitant la frayeur et l'inquiétude des passants et des femmes affolées craignant pour leur intégrité physique. La scène était tellement dangereuse que des gens ne quittaient pas des yeux ce fou qui a fini par attirer l'attention des policiers médusés et perplexes, en faction dans cette place publique constamment grouillante de monde. Heureusement qu'il y avait plus de peur que de mal ce jour là. Malheureusement, à cent mètres de la Place des Martyrs, sur l'avenue Che Guevara, sous les arcades, d'autres pauvres vagabonds, crasseux et dangereux, sont eux aussi susceptibles de passer à l'acte à la moindre crise. Il faut absolument que les autorités concernées prennent les dispositions nécessaires pour trouver une solution à ce problème qui constitue une menace pour la vie des habitants de la capitale, Par ailleurs souillée par les détritus. Ce qui décourage bien des touristes et même les Algérois, à emprunter certaines artères où le danger est omniprésent. La prise en charge sanitaire des malades mentaux est un leurre. La délinquance juvénile et l'agressivité sont monnaie courante. L'insécurité s'amplifie. Nous pouvons citer un tas d'exemples qui illustrent cette dégénérescence de la société algérienne qui compte plus de deux millions de malades mentaux, selon l'expertise d'un criminologue suisse réalisée en 2007. Pour illustrer cette situation, on peut citer celui d'un jeune homme égorgé sur un banc public par un vieillard en plein Place des martyrs, il y a quelque temps. Un autre cas de ce type a été perpétré par un autre vieillard à Tigzirt (wilaya de Tizi Ouzou) sur la personne d'un jeune émigré venu passer un mois de vacances dans cette ville balnéaire. Chaque année, notamment durant la saison estivale, nombre de tels drames de folie emportent des vies innocentes. Des cas sont signalés un peu partout dans les grandes cités où des femmes, des vielles dames et des vieillards sont victimes d'actes sauvages de jeunes sous l'effet des psychotropes et de drogues et d'aliénés mentaux irresponsables de leurs actes, car ils ne bénéficient d'aucune prise en charge sanitaire des autorités compétentes. Des déséquilibrés mentaux et de nombreux vagabonds errent dans les grandes villes du pays, notamment à Alger où des drames sont causés par ces désaxés pourtant attirant quotidiennement l'attention des pouvoirs publics et des maires. Lundi matin, à la Place des Martyrs, un homme âgé environ de 45 ans, n'a pas cessé de hurler à haute voix et de gesticuler comme un véritable forcené, piquant une crise de nerfs, et suscitant la frayeur et l'inquiétude des passants et des femmes affolées craignant pour leur intégrité physique. La scène était tellement dangereuse que des gens ne quittaient pas des yeux ce fou qui a fini par attirer l'attention des policiers médusés et perplexes, en faction dans cette place publique constamment grouillante de monde. Heureusement qu'il y avait plus de peur que de mal ce jour là. Malheureusement, à cent mètres de la Place des Martyrs, sur l'avenue Che Guevara, sous les arcades, d'autres pauvres vagabonds, crasseux et dangereux, sont eux aussi susceptibles de passer à l'acte à la moindre crise. Il faut absolument que les autorités concernées prennent les dispositions nécessaires pour trouver une solution à ce problème qui constitue une menace pour la vie des habitants de la capitale, Par ailleurs souillée par les détritus. Ce qui décourage bien des touristes et même les Algérois, à emprunter certaines artères où le danger est omniprésent. La prise en charge sanitaire des malades mentaux est un leurre. La délinquance juvénile et l'agressivité sont monnaie courante. L'insécurité s'amplifie. Nous pouvons citer un tas d'exemples qui illustrent cette dégénérescence de la société algérienne qui compte plus de deux millions de malades mentaux, selon l'expertise d'un criminologue suisse réalisée en 2007. Pour illustrer cette situation, on peut citer celui d'un jeune homme égorgé sur un banc public par un vieillard en plein Place des martyrs, il y a quelque temps. Un autre cas de ce type a été perpétré par un autre vieillard à Tigzirt (wilaya de Tizi Ouzou) sur la personne d'un jeune émigré venu passer un mois de vacances dans cette ville balnéaire. Chaque année, notamment durant la saison estivale, nombre de tels drames de folie emportent des vies innocentes. Des cas sont signalés un peu partout dans les grandes cités où des femmes, des vielles dames et des vieillards sont victimes d'actes sauvages de jeunes sous l'effet des psychotropes et de drogues et d'aliénés mentaux irresponsables de leurs actes, car ils ne bénéficient d'aucune prise en charge sanitaire des autorités compétentes.