Le collectif des travailleurs du BETECOM (Bureau d'études techniques et économiques) de Bouira est en colère envers sa direction. Et pour cause, les 22 techniciens, ingénieurs et administratifs ayant une longue expérience dans le domaine ont été licenciés en juillet 2007. Rencontrés hier à la Maison de la presse, les délégués du collectif des travailleurs du BETECOM nous ont indiqué que «la décision de licencier ces travailleurs a été prise uniquement par le directeur général qui la justifie par la raison économique». Un argument difficilement acceptable par le collectif des travailleurs qui précise que «le bureau d'études dispose de ressources suffisantes pour payer l'ensemble des travailleurs». Selon l'un des représentants de ce bureau d'études «le DG a déjà procédé, en 2003, à la compression des effectifs mais avec l'aval du partenaire social». Mais, cette fois, c'est la goutte qui a fait déborder le vase puisque les délégués nous ont indiqué que «les 22 travailleurs ont obtenu gain de cause auprès de la justice». Dans un document on pouvait lire : «Le verdict de la justice est définitif avec compensation des préjudices moraux et matériels». Dans ce cas de figure, les délégués de BETECOM sont rassurés quant à la sentence de la justice, mais exigent «la réhabilitation de ces travailleurs conformément aux dispositions légales». Les délégués exigent également «le départ du DG et des sanctions à son encontre pour mauvaise gestion». Ce collectif fustige le cumul de fonctions par ce directeur qui assume les fonctions de directeur financier. Par ailleurs, la délégation n'a pas apprécié le fait «de ne pas avoir été reçue par le président de la SGP, car il nous a signifié que notre affaire concerne l'entreprise uniquement». L'un des représentants chargés du recouvrement nous a déclaré que «3 milliards de centimes de créance peuvent facilement être engrangés dans nos caisses». Toutefois, les représentants du bureau d'études restent convaincus que «le changement de la direction ne peut être que bénéfique pour l'ensemble du personnel». Ils espèrent déboucher vers une issue favorable à leur affaire. Le collectif des travailleurs du BETECOM (Bureau d'études techniques et économiques) de Bouira est en colère envers sa direction. Et pour cause, les 22 techniciens, ingénieurs et administratifs ayant une longue expérience dans le domaine ont été licenciés en juillet 2007. Rencontrés hier à la Maison de la presse, les délégués du collectif des travailleurs du BETECOM nous ont indiqué que «la décision de licencier ces travailleurs a été prise uniquement par le directeur général qui la justifie par la raison économique». Un argument difficilement acceptable par le collectif des travailleurs qui précise que «le bureau d'études dispose de ressources suffisantes pour payer l'ensemble des travailleurs». Selon l'un des représentants de ce bureau d'études «le DG a déjà procédé, en 2003, à la compression des effectifs mais avec l'aval du partenaire social». Mais, cette fois, c'est la goutte qui a fait déborder le vase puisque les délégués nous ont indiqué que «les 22 travailleurs ont obtenu gain de cause auprès de la justice». Dans un document on pouvait lire : «Le verdict de la justice est définitif avec compensation des préjudices moraux et matériels». Dans ce cas de figure, les délégués de BETECOM sont rassurés quant à la sentence de la justice, mais exigent «la réhabilitation de ces travailleurs conformément aux dispositions légales». Les délégués exigent également «le départ du DG et des sanctions à son encontre pour mauvaise gestion». Ce collectif fustige le cumul de fonctions par ce directeur qui assume les fonctions de directeur financier. Par ailleurs, la délégation n'a pas apprécié le fait «de ne pas avoir été reçue par le président de la SGP, car il nous a signifié que notre affaire concerne l'entreprise uniquement». L'un des représentants chargés du recouvrement nous a déclaré que «3 milliards de centimes de créance peuvent facilement être engrangés dans nos caisses». Toutefois, les représentants du bureau d'études restent convaincus que «le changement de la direction ne peut être que bénéfique pour l'ensemble du personnel». Ils espèrent déboucher vers une issue favorable à leur affaire.