Dans un communiqué rendu public, hier, le département de Saïd Barkat explique que les propositions attendues de cette équipe composée de spécialises et de représentants de divers autres secteurs, porteront sur «d'éventuelles mesures à prendre en termes de surveillance, de prévention et de dispositif de lutte». Dans un communiqué rendu public, hier, le département de Saïd Barkat explique que les propositions attendues de cette équipe composée de spécialises et de représentants de divers autres secteurs, porteront sur «d'éventuelles mesures à prendre en termes de surveillance, de prévention et de dispositif de lutte». Un comité ad hoc chargé de suivre l'évolution de la situation de la grippe porcine au niveau international et de proposer les mesures à prendre au niveau national, a été mis en place, hier, au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Dans un communiqué rendu public, hier, le département de Saïd Barkat explique que les propositions attendues de cette équipe composée de spécialises et de représentants de divers autres secteurs, porteront sur d' «éventuelles mesures à prendre en termes de surveillance, de prévention et de dispositif de lutte». Se voulant réconfortant, le communiqué ne manque pas de préciser que «l'Algérie dispose de tous les moyens nécessaires pour lutter contre cette maladie infectieuse». «Les moyens nécessaires à la lutte contre cette épidémie son disponibles en Algérie, et toutes les mesures nécessaires seront prises au moment opportun», insiste-t-on. Même si précise encore le communiqué, l'«évolution actuelle de cette maladie semble réduire le risque d'une extension mondiale pouvant toucher notre pays», le comité a pris, sur la base du principe de précaution, un certain nombre de mesures urgentes. Même si aucun détail n'est fourni quant à la nature de ces mesures, la missive relève toutefois que celles-ci, sont globalement relatives à «la surveillance épidémiologique et la préparation à la mobilisation si nécessaire». Et ce, «en fonction de l'évolution épidémiologique internationale».-L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'est, rappelons-le, mise en alerte suite à plusieurs cas d'infection humaine de la grippe porcine ayant entraîné la mort de plus de 150 personnes au Mexique. Depuis son apparition mi-mars dans ce pays, l'épidémie s'est étendue aux Etats-Unis, au Canada, à la Grande-Bretagne et en Espagne, suscitant l'inquiétude quant à une pandémie d'ampleur mondiale. Le virus de la grippe dénommé H1N1 est, chez le porc, responsable d'une maladie respiratoire aiguë très contagieuse, à l'origine d'une morbidité élevée. Ce virus peut être transmis à l'homme en cas de contact étroit avec les porcins. Toutefois, la distribution géographique de cette grippe n'est pas connue avec exactitude, dans la mesure où la maladie n'est pas soumise à une déclaration obligatoire. La grippe porcine est considérée endémique aux Etats-Unis et des épidémies sont régulièrement signalées à travers les cinq continents. Les signes cliniques sont ceux d'une grippe saisonnière banale, mais il existe aussi des formes asymptomatiques et des pneumopathies pouvant se solder par un décès dans certains cas. Les moyens de protection contre le virus consistent à respecter les règles d'hygiène élémentaires comme le lavage des mains et éviter les personnes présentant des signes respiratoires, grippaux, ou de fièvre. Hier encore, de nombreux pays ont pris des mesures de prévention. Une situation face à laquelle l'OMS a été contrainte d'élever son niveau d'alerte de 3 à 4 sur une échelle qui en compte 6, signifiant ainsi une «montée en puissance significative» du risque de pandémie. Un comité ad hoc chargé de suivre l'évolution de la situation de la grippe porcine au niveau international et de proposer les mesures à prendre au niveau national, a été mis en place, hier, au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Dans un communiqué rendu public, hier, le département de Saïd Barkat explique que les propositions attendues de cette équipe composée de spécialises et de représentants de divers autres secteurs, porteront sur d' «éventuelles mesures à prendre en termes de surveillance, de prévention et de dispositif de lutte». Se voulant réconfortant, le communiqué ne manque pas de préciser que «l'Algérie dispose de tous les moyens nécessaires pour lutter contre cette maladie infectieuse». «Les moyens nécessaires à la lutte contre cette épidémie son disponibles en Algérie, et toutes les mesures nécessaires seront prises au moment opportun», insiste-t-on. Même si précise encore le communiqué, l'«évolution actuelle de cette maladie semble réduire le risque d'une extension mondiale pouvant toucher notre pays», le comité a pris, sur la base du principe de précaution, un certain nombre de mesures urgentes. Même si aucun détail n'est fourni quant à la nature de ces mesures, la missive relève toutefois que celles-ci, sont globalement relatives à «la surveillance épidémiologique et la préparation à la mobilisation si nécessaire». Et ce, «en fonction de l'évolution épidémiologique internationale».-L'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'est, rappelons-le, mise en alerte suite à plusieurs cas d'infection humaine de la grippe porcine ayant entraîné la mort de plus de 150 personnes au Mexique. Depuis son apparition mi-mars dans ce pays, l'épidémie s'est étendue aux Etats-Unis, au Canada, à la Grande-Bretagne et en Espagne, suscitant l'inquiétude quant à une pandémie d'ampleur mondiale. Le virus de la grippe dénommé H1N1 est, chez le porc, responsable d'une maladie respiratoire aiguë très contagieuse, à l'origine d'une morbidité élevée. Ce virus peut être transmis à l'homme en cas de contact étroit avec les porcins. Toutefois, la distribution géographique de cette grippe n'est pas connue avec exactitude, dans la mesure où la maladie n'est pas soumise à une déclaration obligatoire. La grippe porcine est considérée endémique aux Etats-Unis et des épidémies sont régulièrement signalées à travers les cinq continents. Les signes cliniques sont ceux d'une grippe saisonnière banale, mais il existe aussi des formes asymptomatiques et des pneumopathies pouvant se solder par un décès dans certains cas. Les moyens de protection contre le virus consistent à respecter les règles d'hygiène élémentaires comme le lavage des mains et éviter les personnes présentant des signes respiratoires, grippaux, ou de fièvre. Hier encore, de nombreux pays ont pris des mesures de prévention. Une situation face à laquelle l'OMS a été contrainte d'élever son niveau d'alerte de 3 à 4 sur une échelle qui en compte 6, signifiant ainsi une «montée en puissance significative» du risque de pandémie.