Abdelaziz Bouteflika a mis en exergue l'impératif de mettre en œuvre des actions mieux ciblées et ce, notamment, «à la lumière des enseignements du Recensement général de la population et de l'habitat (RGPH 2008), des enseignements tirés de l'évaluation continue de l'action publique territoriale. Abdelaziz Bouteflika a mis en exergue l'impératif de mettre en œuvre des actions mieux ciblées et ce, notamment, «à la lumière des enseignements du Recensement général de la population et de l'habitat (RGPH 2008), des enseignements tirés de l'évaluation continue de l'action publique territoriale. Il est désormais clair qu'un aménagement harmonieux du territoire est un facteur fondamental dans le développement économique, et c'est forte de cette évidence que l'Algérie a entamé, depuis des années, un effort colossal à travers la mise en place d'un schéma national d'amendement du territoire (Snat), jusqu'à l'horizon 2025. Pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, «le Schéma national d'aménagement du territoire, qui a défini les principes de développement des différentes composantes et d'utilisation des espaces divers qui composent le territoire national, doit trouver son prolongement au niveau des échelons locaux de la planification stratégique dans la wilaya et la commune afin de mieux associer celle-ci à l'œuvre de rénovation nationale». C'est pourquoi Abdelaziz Bouteflika, qui a présidé une réunion d'évaluation consacrée au secteur de l'Aménagement du territoire, a mis en exergue l'impératif de mettre en œuvre des actions mieux ciblées et ce, notamment, «à la lumière des enseignements du Recensement général de la population et de l'habitat (RGPH 2008), des enseignements tirés de l'évaluation continue de l'action publique territoriale, et des possibilités financières futures du pays, pour une répartition mieux organisée et mieux distribuée des activités économiques, notamment par des localisations plus judicieuses des investissements publics ou privés. L'objectif visé reste le développement territorial équilibré à même de garantir les conditions de vie les meilleures pour tous les citoyens, là ou ils se trouvent et en direction, notamment, de la jeunesse». Aussi il en appelle au bon sens de tous afin que le territoire soit utilisé avec «avec respect et économie, avec intelligence et raison, dans la stricte observance des impératifs nationaux». Bouteflika, qui a mis en avant l'importance qu'il n'a eu de cesse d'accorder au secteur du tourisme de par le rôle qu'il peut avoir dans la croissance economique du pays et partant la création de dizaines de milliers d'emplois, a affirmé que «toutes ces actions, engagées dans le cadre de la relance de l'investissement, sont soutenues, désormais, par un train de mesures financières et fiscales, et ce, afin de stimuler et de soutenir le tourisme national». Cette évaluation d'un secteur en plein renouveau et qui a porté sur les perspectives de développement à moyen terme (2010-2014) a permis de dresser un bilan et faire nombre de constats. Ainsi pour mieux valoriser la destination Algérie, les pouvoirs publics ont réactivé les offices locaux de tourisme et le lancement d'un partenariat associant les tours operators et les agences algériennes de tourisme. Ce vaste programme porte aussi sur la modernisation de 65 établissements relevant du secteur public et la mise en place d'un Plan qualité de tourisme (PQT). Le département de Chérif Rahmani a mis aussi en place un programme de formation s'étalant sur deux années (2007-2009) et destiné à 11.000 professionnels. Le constat semble être positif puisque, dans le domaine des investissements, il a été noté le lancement de 342 projets totalisant 34.000 lits. Les pouvoirs publics ont également procédé à la délimitation de 47 zones d'extension touristiques. Les pouvoirs publics n'ont pas omis, dans le cadre de leur quête de promouvoir le tourisme balnéaire, de préserver la mise en valeur de 56% du linéaire côtier qui ont été cadastrés ainsi que des plans d'aménagement pour 14 wilayas côtières. Il est désormais clair qu'un aménagement harmonieux du territoire est un facteur fondamental dans le développement économique, et c'est forte de cette évidence que l'Algérie a entamé, depuis des années, un effort colossal à travers la mise en place d'un schéma national d'amendement du territoire (Snat), jusqu'à l'horizon 2025. Pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, «le Schéma national d'aménagement du territoire, qui a défini les principes de développement des différentes composantes et d'utilisation des espaces divers qui composent le territoire national, doit trouver son prolongement au niveau des échelons locaux de la planification stratégique dans la wilaya et la commune afin de mieux associer celle-ci à l'œuvre de rénovation nationale». C'est pourquoi Abdelaziz Bouteflika, qui a présidé une réunion d'évaluation consacrée au secteur de l'Aménagement du territoire, a mis en exergue l'impératif de mettre en œuvre des actions mieux ciblées et ce, notamment, «à la lumière des enseignements du Recensement général de la population et de l'habitat (RGPH 2008), des enseignements tirés de l'évaluation continue de l'action publique territoriale, et des possibilités financières futures du pays, pour une répartition mieux organisée et mieux distribuée des activités économiques, notamment par des localisations plus judicieuses des investissements publics ou privés. L'objectif visé reste le développement territorial équilibré à même de garantir les conditions de vie les meilleures pour tous les citoyens, là ou ils se trouvent et en direction, notamment, de la jeunesse». Aussi il en appelle au bon sens de tous afin que le territoire soit utilisé avec «avec respect et économie, avec intelligence et raison, dans la stricte observance des impératifs nationaux». Bouteflika, qui a mis en avant l'importance qu'il n'a eu de cesse d'accorder au secteur du tourisme de par le rôle qu'il peut avoir dans la croissance economique du pays et partant la création de dizaines de milliers d'emplois, a affirmé que «toutes ces actions, engagées dans le cadre de la relance de l'investissement, sont soutenues, désormais, par un train de mesures financières et fiscales, et ce, afin de stimuler et de soutenir le tourisme national». Cette évaluation d'un secteur en plein renouveau et qui a porté sur les perspectives de développement à moyen terme (2010-2014) a permis de dresser un bilan et faire nombre de constats. Ainsi pour mieux valoriser la destination Algérie, les pouvoirs publics ont réactivé les offices locaux de tourisme et le lancement d'un partenariat associant les tours operators et les agences algériennes de tourisme. Ce vaste programme porte aussi sur la modernisation de 65 établissements relevant du secteur public et la mise en place d'un Plan qualité de tourisme (PQT). Le département de Chérif Rahmani a mis aussi en place un programme de formation s'étalant sur deux années (2007-2009) et destiné à 11.000 professionnels. Le constat semble être positif puisque, dans le domaine des investissements, il a été noté le lancement de 342 projets totalisant 34.000 lits. Les pouvoirs publics ont également procédé à la délimitation de 47 zones d'extension touristiques. Les pouvoirs publics n'ont pas omis, dans le cadre de leur quête de promouvoir le tourisme balnéaire, de préserver la mise en valeur de 56% du linéaire côtier qui ont été cadastrés ainsi que des plans d'aménagement pour 14 wilayas côtières.