Le président du Snapo (Syndicat national des pharmaciens d'officine) laisse sournoisement entendre que l'Algérie risque de perdre sa place de membre si l'Agence du médicament est mise sous tutelle du ministère de l'Industrie pharmaceutique. Rien que ça ! La démarche de ce syndicat, censé défendre les intérêts des pharmaciens d'officine, se retrouve, depuis quelques jours, à travers ses déclarations publiques, dans une position d'opposant à un organigramme décidé par les hautes autorités du pays. Pourquoi a-t-il dévié de sa mission ? On ne connaît pas encore le manque à gagner de ce syndicat au cas où l'Agence est mise sous tutelle du ministère de l'Industrie pharmaceutique.