C'est par hasard, en passant près de la place des Martyrs, que nous avons appris que le Conservatoire central de musique et de déclamation d'Alger est baptisé du nom de Amar Ezzahi. Selon le témoignage du chef d'orchestre, compositeur et maître de la musique andalouse, Smaïn Hini, le maître du chaâbi aimait la musique classique européenne dite «universelle » et écoutait, entre autres, les chansons de Dalida et la musique du guitariste Manitas de Plata. Les multiples sources d'inspiration d'Amar Ezzahi expliquent les judicieuses innovations qu'il avait apportées au chaâbi. K. B. [email protected]