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Djelloul Baghli : un bâtisseur au service du pays
Publié dans Le Soir d'Algérie le 14 - 12 - 2020


Par Pr Chems Eddine Chitour
Ecole polytechnique, Alger
«Un homme politique pense aux prochaines élections, un homme d'Etat pense aux prochaines générations»
(citation)
Cette année 2020 se caractérise par une moisson funèbre des compétences algériennes dans tous les milieux et notamment dans le milieu pétrolier. Ces hautes personnalités ravies à notre amitié, El Hadj Fechkeur, Nazim Zouiouèche, Allah leur accorde Sa Miséricorde. Je veux citer dans cette contribution le parcours d'un autre pionnier de l'industrie pétrolière Djelloul Baghli, paix à son âme. L'Algérie perd en la personne de Djelloul Baghli un digne fils, celui d'une Algérie profonde de cette ville d'art et d'histoire, d'une illustre famille qui a tant donné de compétences au pays.
Qui est Djelloul Baghli
Le communiqué de l'APS, bien que sobre, contient, cependant, l'essentiel des étapes qui ont jalonné l'itinéraire iconoclaste de Djelloul Baghli. Nous lisons : «Djelloul Baghli est né le 12 novembre 1929 à Tlemcen. Son parcours scolaire le mènera jusqu'à l'université après l'obtention de son baccalauréat au début des années 1950. Après le déclenchement de la glorieuse Révolution de Novembre 1954, Djelloul Baghli rejoint l'Organisation civile du Front de libération nationale (OCFLN) en 1955 avant de devenir membre fondateur de l'Union générale des étudiants musulmans algériens (Ugema) de juillet 1955 à 1962 et vice-président de son comité exécutif en 1960.
Le défunt occupa également plusieurs postes dans le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), notamment chef de service culturel du GPRA à Tunis de mai 1961 à mars 1962, date du cessez-le-feu. Au lendemain de l'indépendance, le moudjahid Djelloul Baghli participa à la reconstruction en occupant plusieurs postes, dont celui de directeur de cabinet du délégué aux Affaires culturelles de l'exécutif provisoire à Rocher-Noir (Boumerdès) en avril 1962, chef de cabinet du ministre de l'Education nationale de septembre 1962 à novembre 1963, assistant à la Faculté des sciences d'Alger d'avril 1964 à août 1965, directeur général de l'Institut algérien du pétrole (IAP) de septembre 1965 à décembre 1984. Il fut également secrétaire général du ministère de la Santé publique de janvier 1985 à mai 1988, chargé de mission auprès du chef du gouvernement de mars à juillet 1992, ministre de la Formation professionnelle de juillet 1992 à septembre 1993 et président du Comité provisoire de direction du Croissant-Rouge algérien (C-RA) de 2005 à 2006, à titre bénévole.
Djelloul Baghli est mort dans un relatif anonymat si ce n'est le minimum syndical représenté par le communiqué traditionnel du ministère des Moudjahidine qui lui a rendu hommage. Rien d'autre à l'horizon pour ce bâtisseur de l'Algérie. Voilà pour l'officiel ; 20 lignes pour résumer soixante-dix ans de fidélité à une certaine idée de l'Algérie. Celle de commis de l'Etat qui font avec abnégation leur part sans m'as-tu-vu avec une élégance dans le verbe et le paraître sans nul doute à cette éducation transmise depuis plus d'un millénaire dans la bonne ville de Tlemcen et que l'on ne trouve surtout pas dans l'éducation.
L'engagement dans la Révolution
Comme toute la jeunesse universitaire de l'époque, Djelloul Baghli, imprégné des idées d'indépendance des partis PPA/MTLD, se jeta à corps perdu dans la Révolution. Il sera ainsi membre fondateur de l'Ugema. C'est Mohamed Seddik Benyahia qui, au cours des vacances de pâques, devait entreprendre une tournée à travers les universités de France pour convaincre les étudiants de diverses sensibilités à se rallier aux thèses de l'Ugema. L'apport d'étudiants d'obédience PPA/MTLD tels Rédha Malek, Abdelmalek Benhabylès, Mohamed Harbi, Messaoud Aït Chaâlal, Tahar Hamdi, Mohamed Khemisti, Mahmoud Mentouri, Mahmoud Benhabylès, Mohamed Abada, Saïd Chibane, Mohamed Toumi, Mustapha Laliam, Rachid et Tahar Maïza, Mohamed Radjam, Nordine Delci, était déterminant pour le lancement et la constitution de l'Ugema.(1)
La part des intellectuels dans le mouvement de libération
C'est un fait, la part des intellectuels algériens dans la réussite a été longtemps minorée. Sans aller dans le fond du débat, il nous faut affirmer haut et fort que les moudjahidine de la plume ont mené un combat aussi respectable que les autres combattants car à côté des maquisards, il y eut dans une même abnégation les intellectuels, l'équipe du théâtre du FLN, le corps médical, l'équipe de foot du FLN et tant et tant d'anonymes qui ont fait leur devoir sans rien demander en échange. Dans ce sens, Abderazak Merad rapporte une rencontre qui eut lieu à Tlemcen.
Ce colloque international dont la richesse des intervenants, algériens et étrangers, ne manquera sûrement pas de fournir de précieux éléments de réflexion pour l'écriture de l'histoire aura été somme toute une opportunité inespérée pour «réhabiliter» en quelque sorte le rôle joué par l'intelligentsia nationale dans le processus du mouvement de libération nationale. (...) Des témoignages émouvants sur l'action des universitaires à travers le monde qui avaient, à l'époque, manifesté leur solidarité avec la cause algérienne, (...) il y eut donc un très large échange intellectuel pour montrer toute la dynamique du mouvement estudiantin dans ses positions politiques contre le colonialisme, l'injustice et les atteintes aux libertés fondamentales dans le monde. Les intervenants algériens, quant à eux, à l'instar de Aït Chaâlal, Abdelaoui Ali, Lamine Khène, Bouabdellah, Djelloul Baghli, Dahou Ould Kablia, Belaïd Abdeslem et Rédha Malek, ont centré leurs communications sur le long et difficile parcours de l'Ugema depuis sa création. Tous ont contribué à faire valoir la noble et glorieuse contribution de l'élite algérienne à l'élargissement du mouvement de libération nationale.(2)
Le grand djihad de Djelloul Baghli pour la formation
De quel côté que l'on se retourne, on trouve l'homme engagé, discret à l'extrême mais ferme dans ses convictions. Je veux décrire le combat de l'homme contre d'abord le colonisateur. Le premier djihad fut celui de s'instruire malgré toutes les vicissitudes de l'époque. Ce n'était pas évident de choisir une discipline scientifique et réussir en décrochant une licence de chimie.
Son deuxième djihad fut de mettre sa compétence au service de la Révolution. Il sera membre fondateur de l'Ugema. Et à ce titre, il sera de tous les combats pour organiser et structurer le mouvement. Sur instruction des structures dirigeantes du parti du FLN, il sera l'un des artisans de l'élite algérienne qui devait prendre en charge le destin du pays. C'est ainsi que des centaines de jeunes universitaires furent envoyés dans les pays d'Europe et au Moyen-Orient. Malgré les faibles moyens, ces élites purent se former et une grande partie d'entre elles prendra en charge le fonctionnement du jeune Etat indépendant.
Djelloul Baghli, qui aura à travailler avec le président du GPRA Ferhat Abbas, nous a informé lors d'une rencontre qu'en cinq ans, le FLN a formé plus d'un millier de cadres pour le pays. Ce chiffre est à mettre en comparaison avec ce qu'a permis le pouvoir colonial en 132 ans : à peine un millier de cadres formés principalement de médecins pharmaciens et avocats, naturellement les quelques ingénieurs se comptent sur les doigt d'une main.
Djelloul Baghli sera secrétaire général du ministère de la Santé et c'est à ce titre que je l'ai bien connu non en tant qu'élève de l'IAP, mais comme son vis-à-vis comme secrétaire général de l'enseignement supérieur. Je dois dire que ce fut une période privilégiée que nous vécûmes : deux secrétaires généraux qui ne transigeaient pas sur la formation des hommes concouraient ensemble à donner une visibilité scientifique à la médecine algérienne. Djelloul Baghli deviendra ensuite ministre de la Formation professionnelle en 1992 dans le gouvernement de Belaïd Abdesselam.(3) Dans une contribution récente suite au décès de Hadj Fechkeur, j'avais à juste titre parlé de djihad en parlant des pionniers de l'industrie pétrolière. J'écrivais à propos des conditions qui ont prévalu après que l'Algérie eut souverainement décidé de nationaliser ses richesses pétrolières. La plupart de ceux qui étaient sur le front du développement avaient moins de trente ans. Pour rappel, Belaïd Abdesselam raconte dans son ouvrage Le Hasard et l'Histoire les pires difficultés qu'a eues l'Algérie pour s'imposer dans le concert des nations et imprimer un développement. Quinze jours après le discours du 24 février 1971, tout ce qu'il y avait comme matière grise fut envoyé sur le front du développement. C'est ainsi qu'une centaine d'ingénieurs et de techniciens furent envoyés en renfort dans le Sud pétrolier, des ingénieurs furent envoyés sur le Barrage vert, d'autres sur la Transsaharienne, d'autres enfin sur le chantier des 1 000 villages agricoles qui devaient contribuer à reconstituer le tissu social de la paysannerie, détruit par les bombardements sauvages de l'aviation coloniale. Avec quelques autres, je fus envoyé enseigner dans un lycée militaire et contribuer ainsi à la formation des hommes, autre défi majeur de l'Algérie.(4)
Le troisième djihad de Djelloul Baghli
Ce sera sans doute le plus grand, celui de la formation des hommes à même de prendre en charge la destinée pétrolière de l'Algérie. Parmi les cadres — moins de trente ans — de l'après-nationalisation, qui ont donné un sens à cette aventure pétrolière, citons les pionniers de la formation dans le domaine pétrolier et dans le domaine académique. Djelloul Baghli fut l'artisan de la formation.
L'histoire retiendra que c'est le professeur Abdelaziz Ouabdesselam, premier recteur de l'Algérie indépendante et premier directeur de l'Ecole polytechnique, qui mit à la disposition de l'IAP naissant le hall de génie chimique de l'école pendant la première année scolaire. Parmi les milliers de pionniers sur le front pétrolier, il me plaît aussi de citer Mohamed Fechkeur, créateur de l'IAP de Hassi Messaoud (devenu Naftogaz).
l'Ecole polytechnique d'Alger a eu un rôle majeur dans la formation de l'élite républicaine du pays, elle donna au pays plus de 1 000 ingénieurs dont certains occupèrent de hauts postes (ministres, PDG, DG...). C'est Abdelaziz Ouabdesselam qui eut à ouvrir dans des conditions difficiles, en octobre 1962, l'Ecole d'ingénieurs d'Alger, qui deviendra plus tard l'Ecole polytechnique d'Alger. Elle eut d'ailleurs à héberger pendant deux ans l'IAP — cycle court — qui se déplaça plus tard à Dar-El-Beïda.
La création de l'Institut algérien du pétrole : le troisième grand djihad
La création de l'Institut algérien du pétrole doit beaucoup à Djelloul Baghli. Les accords algéro-français de juin 1965 avaient prévu la création d'un institut avec l'aide de l'Institut français du pétrole. Juillet 1965, Djelloul Baghli est reçu par le puissant ministre de l'Energie Belaïd Abdesselam qui lui demande d'ouvrir un enseignement dans le domaine du pétrole en septembre 1965, à partir pratiquement de zéro.
Pas de budget, pas de moyens humains, pas d'unité de lieu, pas de programme mais une immense détermination comme seuls peuvent le savoir ou s'en souvenir les pionniers du développement de ces années d'or où l'Algérie était un immense chantier.
Par une chance inespérée, l'Ecole d'ingénieurs d'Alger, pas encore polytechnique (Enia), était dirigée par Abdelaziz Ouabdesselam, un autre pionnier de l'université algérienne.
Il fut en effet le premier recteur de l'université algérienne de l'Algérie indépendante installée par le président Ben Bella en personne,avec quelques classes au département de génie chimique ainsi qu'un laboratoire.
C'est ainsi que la première promotion sortira en 1965 et comprendra quatre ingénieurs. Rapidement, comme il nous l'a un jour raconté, il a fait le tour des structures vides pour abriter le futur institut. Il jeta son dévolu sur un bâtiment neuf, à Dar-El-Beïda, la sous-préfecture de Maison-Blanche, terminée, non occupée.
Rapidement, il sollicita le wali qui mis cette structure à sa disposition. C'est ainsi qu'une dizaine de promotions sortirent de l'IAP Dar-El-Beïda, puis ce sera le cycle long à Boumerdès, et cela est une autre histoire.
En 2015 fut célébré le cinquantenaire de la création de l'IAP par le décret n°65-259 du 29 novembre 1965. À cette commémoration, M. Djelloul Baghli a retracé l'évolution de l'institut de 1965 jusqu'à son départ en 1984. L'Institut algérien de pétrole a été créé du fait que l'université traditionnelle ne pouvait pas répondre quantitativement à la demande de l'industrie. Plusieurs instituts virent le jour à Boumerdès, mais l'IAP avait une spécificité quand il était à Dar-El-Beïda. C'était la formation de spécialistes (une sorte de postgraduation).
Il a ajouté que cet institut a vu sa mission étendue par le décret du 25-2-1973, qui lui a fait prendre la dénomination de l'Institut algérien du pétrole, de gaz, de chimie, de pétrochimie, des matières plastiques et des moteurs. Les objectifs de l'IAP de Boumerdès consistaient en la formation d'ingénieurs, de techniciens et techniciens supérieurs dans le domaine des hydrocarbures, la promotion du personnel en activité dans le secteur par le recyclage, le perfectionnement et le développement de recherches scientifiques et techniques dans le domaine des hydrocarbures.
Les différents directeurs qui se sont succédé à la tête de l'IAP ont géré à leur corps défendant un corps sans âme.
Le feu sacré qui animait les pionniers a disparu du fait de la banalisation de la formation. Ce fut le début du déclin à partir du moment où pour les gouvernants la formation n'était plus une priorité.
C'est d'ailleurs le sort de tous les instituts hors enseignement supérieur. Nous n'avons pas su tous autant que nous sommes protéger la formation IAP. Le ministère de l'Enseignement supérieur n'a fait que récupérer une coquille vide, ne souhaitant plus prendre en charge les étudiants de l'IAP ni leurs stages pratiques. En juillet 1999, l'IAP a été intégré à Sonatrach, puis s'est détaché d'elle en 2004 pour s'intégrer au Groupement d'intérêt commun qui comptait Sonatrach et Sonelgaz.
En 2006, l'IAP est devenu une société commerciale IAP Spa, réintégré en tant qu'IAP Corporate University, puis est revenue au sein de la DCG Ressources humaines de Sonatrach, où il tourne à un rythme très faible de ses capacités potentielles.
L'histoire retiendra que même à la retraite, Monsieur Baghli était tourmenté par le sort de l'IAP et ne perdait aucune occasion d'appeler à une renaissance de cette institution. Il serait de mon point de vue un juste hommage à lui rendre pour reposer encore une fois les conditions d'un nouveau cap qui peut être très bien envisagé comme par exemple IAP Energies Nouvelles (Iapen) pour marquer le tournant de Sonatrach vers le futur de plus en plus vert. Il faudra accepter naturellement une tutelle pédagogique du MERS mais en donnant de nouveaux challenges à cette institution. Bâtisseur hors pair soucieux des générations futures, sans conteste, l'IAP gagnerait à prendre le nom respectable de Si Djelloul Baghli. Que Dieu lui fasse miséricorde.
Amen..
C. E. C.
1. http://www.babal web.net/info/ 167431-journee-nationale-de-l-rsquo-etudiant-la-revolution-des-lumieres-l-rsquo-intelligentsia-dans-les-maquis.html
2https://www.elwatan.com/archives/histoire-archives/la-part-des-intellectuels-dans-le-mouvement-de-liberation-13-07-2005
3. https://fr.qaz.wiki/ wiki/ Djelloul_Baghli
4.https://blogs.mediapart.fr/semcheddine/blog/100620/el-hadj-mohamed-fechkeur-nous-quitte-un-pionnier-de-l-industrie-petroliere.


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