Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a affirmé que le texte de loi relatif à la protection de l'enfant visait à «asseoir les règles et les mécanismes de protection de l'enfant» en adaptant la législation nationale aux conventions internationales adoptées par l'Algérie, a indiqué hier un communiqué du Conseil de la nation. Dans un exposé sur le texte de loi relatif à la protection de l'enfant devant la commission des affaires juridiques et administratives et des droits de l'homme du Conseil de la nation, Louh a souligné que cette loi permettra aussi la mise en place d'un cadre juridique global pour une protection sociale et juridique de deux catégories d'enfants, à savoir «les enfants en détresse et les jeunes délinquants». Le représentant du gouvernement a par ailleurs évoqué les différentes dispositions que prévoit cette loi, précise la même source.