Le procédé utilisé par les chauffeurs de taxi clandestins à l'aéroport international d'Alger est connu. Le chauffeur laisse sa voiture dans le parking et vient s'installer à la sortie des voyageurs en quête de clients. Certains d'entre eux ne mettent même pas la forme, puisqu'ils prennent carrément leur «proie» par la main pour ne plus la lâcher. C'est ce que vient de vivre… l'ambassadeur d'Allemagne à Alger qui n'a été «libéré» qu'à la vue de la voiture officielle qui s'arrêtait devant lui, décourageant enfin le chauffeur dont l'insistance commençait à exaspérer le diplomate.