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Trêve de démagogie
N Sebti
Publié dans
Liberté
le 01 - 06 - 2004
Au lieu de cloner la médiocrité, qui est, aujourd’hui, la seule performance pédagogique de notre système, en mettant au pas les écoles privées, qui peuvent, au contraire, servir de locomotive à une amélioration de l’école publique, le ministère de l’éducation serait bien inspiré de travailler dans le sens des propositions faites par la commission de réforme.
Le ministre de l’éducation a fait part, hier, de son intention de mettre de “l’ordre� dans les écoles privées, en les soumettant, à partir de septembre 2005, à un cahier des charges. Dans l’absolu, on ne peut qu’approuver le projet de Benbouzid, surtout que dans ce secteur, particulièrement sensible, la vigilance doit être de mise.
En revanche, il y a lieu de s’interroger, voire de s’inquiéter, sur le contenu de ce cahier des charges. Car s’il s’agit d’aligner les écoles privées sur les écoles publiques, le pari relève à la fois de l’impossible et de l’absurde. Si des centaines, voire des milliers de parents, souvent en se saignant aux quatre veines, décident de mettre leurs enfants dans des écoles privées, c’est qu’ils ont de bonnes raisons de le faire. Ils ne sont pas satisfaits du système éducatif qui, tout en bénéficiant de la plus grosse enveloppe budgétaire de l’État n’en produit pas moins l’échec et la médiocrité.
Le constat a été établi par tous, dont la commission présidée par le professeur Benzaghou. Au lieu de cloner la médiocrité, qui est, aujourd’hui, la seule performance pédagogique de notre système, en mettant au pas les écoles privées, qui peuvent, au contraire, servir de locomotive à une amélioration de l’école publique, le ministère de l’éducation serait bien inspiré de travailler dans le sens des propositions faites par la commission de réforme. Notamment l’enseignement des matières scientifiques en français. Ce que font précisément les écoles privées. C’est une question de pragmatisme et d’efficacité.
La politique d’arabisation des enseignements scientifiques dans nos universités, on en connaît aujourd’hui le résultat : un vrai massacre. Trêve de démagogie donc. Il reste néanmoins entendu que pour leurs programmes, les écoles privées doivent s’ancrer dans la réalité algérienne. C’est la pire des aberrations, pour ne pas dire des aliénations culturelles que d’enseigner à un Algérien, l’histoire de la
France
ou encore la Marseillaise. En fait, le problème se pose en terme d’équilibre qu’il s’agit de trouver entre l’obligation d’efficacité, qui nous est dictée par cette nouvelle religion qu’est la globalisation et le souci de rester soi-même, pour ne pas tomber dans le complexe de la décalcomanie, pour reprendre un mot cher à Frantz Fanon.
N. S.
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