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Un ultimatum pour les écoles privées
Elles doivent se conformer à une nouvelle législation d'ici à Septembre 2005
Samia Lokmane Khelil
Publié dans
Liberté
le 01 - 06 - 2004
Elles ont deux choix : s’aligner sur le système d’enseignement public ou disparaître.
Les écoles privées ont jusqu’à septembre 2005 pour se conformer avec la nouvelle législation de codification, la première du genre mise en place par les pouvoirs publics. D’ici là , elles devront impérativement adapter leur programme d’enseignement — les modules fondamentaux en tout cas —, avec celui prodigué dans les établissements publics. En intervenant, hier, au cours d’un séminaire d’information tenu à l’Institut technologique de l’éducation (ITE) à Ben Aknoun, Boubeker Benbouzid a survolé les principaux critères d’homologation, contenus dans l’esquisse du cahier des charges présenté aux concernés pour consultation.
Conviés à la rencontre, de nombreux responsables d’écoles privées devaient prendre connaissance du document et du temps qui leur est imparti, 15 mois, pour y souscrire. “Je ne peux pas arrêter les gens maintenant. Mais en septembre 2005, la loi sera appliquée�, a prévenu le ministre de l’Éducation nationale. En clair, les gérants de ces écoles ont deux choix, s’aligner sur le système public ou disparaître. Le cahier des charges concocté par la tutelle définit leur marge de manœuvre en conformité avec certains principes dont le paramètre linguistique. “Je ne suis pas contre les langues étrangères mais la langue d’enseignement est l’arabe. L’Algérien qui ne maîtrise pas l’arabe est un élément perdu pour la société�, a souligné le ministre en arguant que l’arabe constitue “un élément de la cohésion sociale�. Au chapitre des programmes, l’enseignement d’autres matières que celles comprises dans la nomenclature officielle sera soumise à l’accord du ministre de l’Éducation. Une exigence identique prévaut dans le recrutement des formateurs. “Tout sera contrôlé par les inspecteurs de l’éducation�, a averti le représentant du gouvernement dans une énième instruction.
Si la vigilance est de mise, surtout quand il s’agit d’un domaine aussi sensible que l’enseignement, les balises mises en place seront perçues assurément comme des restrictions, à la fois par les gérants des écoles privées et les parents dont les enfants sont inscrits dans ces établissements. “C’est l’école publique bis�, s’est emporté un des responsables à l’écoute du discours du ministre. Une autre voie s’est élevée contre le fait que le département de l’éducation ait laissé faire durant des années et n’intervienne qu’aujourd’hui, au risque de compromettre l’existence de ces écoles et l’avenir de milliers d’élèves.
Dix ans d’existence hors des lois
Les établissements de l’enseignement privé ont pignon sur rue depuis près d’une décennie. Personne ne connaît leur nombre, pas même le ministre de l’Éducation. Sans aucune assise légale, ils ont instauré leurs propres règles. D’où les dérapages signalés çà et là comme l’enseignement de l’histoire de
France
ou l’occultation de la langue arabe… Mais, ces quelques dérives ne rendent pas compte de l’apport global de ces écoles et de leur réputation. Même le ministre reconnaît leur mérite. Il constate aussi leurs défaillances, des “tares�, a-t-il précisé. Pour autant, jusque- là , ses services se sont abstenus d’intervenir pour y mettre de l’ordre. “Elles ne sont pas légales mais nous les tolérons�, ressassait Benbouzid auparavant, à l’évocation du statut des écoles privées. Il a fallu attendre mars 2004 pour qu’un décret exécutif soit signé amendant l’une des dispositions de l’ordonnance de 1976 sur l’enseignement public exclusif. “Aujourd’hui dans le monde, deux pays seulement,
Cuba
et la Corée du Nord sont contre l’ouverture d’écoles privées�, a noté M. Benbouzid. Figurer aux côtés de deux régimes communistes très contreversés ne fait évidemment pas bonne impression. Pousser la porte du progrès en s’accrochant à de vieux réflexes n’est pas plus flatteur. En effet, à quoi sert-il d’autoriser l’ouverture d’écoles privées, des sortes de clones, si le but est de reproduire un système public tant décrié ? Il y va du devenir de 25 000 élèves. Une information statistique, l’unique détenue par le département de l’éducation sur les établissements privés.
S. L.
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