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Samia Lokmane Khelil
Publié dans
Liberté
le 08 - 06 - 2004
M. Handala considère qu’il existe un certain double langage du ministère qui, d’un côté, “réduit la marge de manœuvre des gérants de ces écoles, tout en les autorisant, d’un autre, à concocter des programmes optionnels�.
M. Handala est directeur d’une école privée Ã
Tizi Ouzou
. Du nom d’Assanas, son établissement fait partie d’un réseau d’une vingtaine d’autres institutions éducatives, préscolaire et scolaire dont il est le président. Lundi dernier, M. Handala était Ã
Alger
pour assister au séminaire d’information sur le devenir des écoles privées, organisé par le ministre de l’Éducation nationale.
Comme nombre de gérants, il a pris connaissance du délai fixé par la tutelle — septembre 2005 —, pour adapter le fonctionnement et l’organisation pédagogiques de ce type d’établissement avec le nouveau décret exécutif modifiant l’ordonnance de 1976 et levant le monopole de l’État sur le secteur de l’enseignement ainsi que le projet d’un cahier des charges.
Très restrictif, le document en question fait mention de l’obligation pour les établissements privés d’adapter leur programme au secteur public. Il impose par ailleurs, l’arabe comme la langue d’enseignement. “Il était du devoir de l’État de légaliser les écoles privées. Mais ces textes doivent libérer les énergies, pas les étouffer�, souligne M. Handala.
Contestant les contraintes de la tutelle, il évoque une certaine “duplicité� dans le sens où le département de Benbouzid réduit d’un côté la marge de manœuvre des gérants de ces écoles et les autorise d’un autre à concocter des programmes optionnels. “Il y a un large spectre où chacun peut se retrouver�, observe notre interlocuteur. En effet, comment concilier les exigences du gouvernement avec les ambitions des directeurs d’écoles privées.
Si l’arabe pose problème pour Benbouzid, ce n’en est pas un aux yeux de M. Handala. “Nous n’avons rien contre l’arabe. Dans certaines classes, le volume horaire accordé à l’enseignement de cette langue est très important. Les Algériens doivent apprendre l’arabe et le tamazigh pour construire leur personnalité�, stipule-t-il. Cependant, l’anglais et le français demeurent, selon lui, les langues d’accès direct à la science et à la technologie.
Le président du réseau de
Tizi Ouzou
fait référence à un document du ministère qui assigne deux objectifs à l’enseignement des langues étrangères, à savoir l’ouverture au savoir universel ainsi que l’articulation des filières du secondaire et du supérieur.
À ce propos, notre interlocuteur rappelle les recommandations de la Commission de la réforme du système éducatif. “Nous considérons que nous sommes dans la légalité. La seule voie qui permettra à ces enfants de construire l’élite de demain est celle que nous suivons�, martèle-t-il. Parti de ce principe, M. Handala n’entend rien changer dans les méthodes d’enseignement appliquées dans son établissement. “Dans plusieurs matières, notamment littéraires, l’histoire-géographie, etc. nous utilisons les manuels de l’école publique�, argue-t-il comme preuve de sa bonne volonté.
En revanche, il souhaite que les pouvoirs publics fassent preuve de souplesse. Il espère notamment que les élèves, des écoles privées, arrivés au bac puissent avoir la possibilité de passer cet examen et qu’il soit reconnu. Actuellement, ces lycéens bilingues passent le bac français. Propriétaire d’un établissement ouvert, en 1999, scolarisant près de 200 enfants de la maternelle au collège, M. Handala n’est pas confronté à ce dilemme. Pour autant, il s’inquiète de l’attitude des pouvoirs publics. Afin d’y faire face et plaider la cause des établissements privés, l’existence d’un réseau constitue un grand atout pour M. Handala.
À l’origine, le but était de mutualiser les moyens matériels et didactiques de ces écoles. À l’arrivée, ce cadre est devenu un forum de solidarité. Â
S. L.
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