À la veille de la rentrée sociale et scolaire, les services techniques de l'APC de Guelma sont à pied d'œuvre au niveau du centre-ville et autres sites afin de mettre en place des feux tricolores visant à améliorer la circulation des véhicules. En effet, ce phénomène décrié, depuis des années, par les automobilistes et la population, est pris en charge, ces dernières semaines, par les élus locaux, enfin à l'écoute des attentes des citoyens. Des techniciens s'attellent à installer ces feux de signalisation aux intersections des artères urbaines enregistrant un important flux de véhicules, en l'occurrence, les boulevards Souidani-Boudjemaâ, 1er-Novembre, avenues Ali-Chorfi, Boumaza-Saïd et Oumeddour- Azzedine, et ce, à la grande satisfaction des riverains. Le vice-président de l'APC, Rabah Dali, confie à Liberté : "Nous connaissons les points noirs qui empoisonnent la vie des automobilistes. Ils sont recensés par nos services qui ont programmé la pose de feux tricolores au niveau des ronds-points de la cité Champ-de- manœuvres, aux abords du lycée Benmahmoud, de la place du 19-Mars et de la place des Martyrs". Des citoyens ont exprimé leur satisfaction et d'autres ont émis des suggestions. "Nos élus doivent établir un diagnostic sincère de la circulation urbaine et il est impératif d'installer d'autres feux de signalisation dans des ronds-points stratégiques, à l'image de ceux du boulevard du Volontariat, de l'hôtel de ville, de la mosquée El- Qods, de la Grande-Poste, du faubourg de la gare et de la Cour de justice. Guelma est un important carrefour qui nécessite des mesures concrètes pour fluidifier et canaliser la circulation intra-muros de milliers de véhicules".