Lorsque les nazis ukrainiens sponsorisés par des milliardaires juifs, soutenus par des provocateurs sionistes et aidés par des mercenaires israéliens, massacrent plus de 40 Russes à Odessa, ce sont les Juifs qui sont « menacés ». Si 40 Juifs avaient été tués, les médias sionisés auraient parlé de pogrome et d'holocauste pendant des mois et des mois (en accusant Poutine). Rien de tel, bien sûr, dans le cas de vulgaires « goyim »... A Odessa, au lieu de prendre parti pour les Russes opprimés et contre les fascistes de Kiev, les leaders de la communauté juive préfèrent rester « neutres » et se planquer (ils ne veulent pas perdre l'appui de leurs oligarques). Comme ils l'admettent eux-mêmes, aucun Juif d'Ukraine n'a été affecté par les événements des six derniers mois (les seuls blessés juifs sont des mercenaires israéliens combattant pour les nazis du Maïdan ). selon certains medias sionisés, 25.000 à 34.000 Juifs d'Odessa ont été massacrés par les nazis allemands et roumains à partir de 1941 (et jusqu'à la libération de 1944, commémorée récemment par les russophones d'Odessa). Toutefois, ceux-ci oublient tout simplement de dire combien de non-Juifs ont péri de la même façon. Probablement cinq fois plus, comme dans l'ensemble de l'Europe et pour toute la durée de la guerre (30 millions de goyim contre 6 millions de Juifs, chiffre d'ailleurs assez douteux). Mais en URSS, personne ne décomptait séparément les morts juifs et les morts non-juifs. Cette aberration, revendiquée par les sionistes dès les années 1950, fut alors rejetée par Moscou mais imposée plus tard (Soljenitsyne en parle dans son livre Deux siècles ensemble ). L'URSS n'a jamais considéré que les victimes juives du fascisme étaient « différentes » de toutes les autres, et encore moins qu'elles méritaient des mémoriaux distincts, des temples de l'Holocauste. D'ailleurs le mot n'a été inventé qu'en 1978...Comme les sionistes d'aujourd'hui, ceux des années 1941-44 ne faisaient strictement rien contre le fascisme - contrairement à la plupart des Juifs d'Odessa et du reste de l'Union soviétique, qui eux n'étaient pas sionistes. Pour ce qui est de la profanation du mémorial juif d'Odessa, dont parlent les médias sionisés, nul ne sait qui en est l'auteur ; pas les fascistes du Pravy Sektor en tout cas (le fascisme de 2014 est judéo-compatible et israélophile). En cherchant bien on aurait peut-être des surprises (voir la provocation du cimetière juif de Carpentras et ces quelques autres affaires montées de toutes pièces par le lobby innommable). D'après La Voix de la Russie, Oleg Tsariov (ancien responsable du Parti des régions de Ianoukovitch) estime que plus de 100 personnes - dont des enfants - ont péri dans l'incendie criminel d'Odessa. « Précédemment le député du conseil régional Vadim Savenko avait déclaré que les affrontements à Odessa avaient fait 116 morts. Selon lui, les autorités ukrainiennes ont reçu l'ordre de taire l'envergure de la tragédie pour cacher à l'opinion mondiale le fait d'avoir organisé à Odessa une opération punitive contre les habitants pro-russes. » (à suivre)