Voilà pourquoi on ne trouvera pas ce passé complice, dans le beau fascicule de Chiotti, élaboré par Hacène Hirèche (Blessures et résiliences – 2022, Ed. l'Harmattan), l'indigène docteur complotiste-berbériste (depuis le complot de 1980) du terrorisme en Algérie, au service du système colonial criminel, et spécialisé dans la haine du peuple algérien. Hacène Hirèche n'a rien à envier à Jean Sévilla, le fasciste du Fiagro, celui qui avait produit « Les vérités cachées de la guerre d'Algérie – collection Tempus, Ed. Perrin-2022 » pas chères (9 €/pièce pour une deuxième édition, enrichies du « Hirak » colonial à « la banane »). Jean Sévilla, comme Hacène Hirèche, raconte le colonialisme criminel du bon côté du manche : les « bougnoules » sont des terroristes et l'armée française représente les forces de l'ordre établi. Dans un premier temps, on peut donc faire remarquer que la convocation d'Athmane Mazouz, par les « maîtres de la manette », pour présenter un énoncé « indigène » d'une colonne de « Harkis » collabora-sionistes, n'arrive certes pas par hasard. Il s'agit d'une invitation à détourner le regard des crimes de guerre et des crimes contre l'Humanité, menés par les généraux commanditaires de Tel-Aviv, contre le peuple palestinien. Il s'agit aussi de détourner le regard des multiples crises (institutionnelle, politique, sociale, économique, etc.) qui secouent leur métropole coloniale, menées par le putschiste de l'Elysée, en compagnie de la junte connu du CRIF. Athmane Azouz et ses amis, sont les bons élèves du raciste Xavier Driencourt, celui qui avait écrit à l'envers, le 9 janvier 2023 : « La France s'effondre, entraînera-t-elle l'Algérie dans sa chute ? ». N'oublions pas que Xavier Driencourt a fait le bonheur le bonheur de la chaîne TV « BRTV » du complot berbériste au moyen de la génétique. La tribune du berbériste Athmane Mazouz et de sa troupe politico-folklorique, est non seulement une revendication clairement « indigène » de « Harkas », puisqu'elle reprend les slogans creux coloniaux, mais aussi et surtout qu'elle reproduit presque entièrement les résolutions du sinistre fasciste Bruno Rotailleau, et des cruels nostalgiques de l'Algérie-Française, toujours en embuscade. Ils s'adressent au peuple algérien, en lui demandant carrément de brûler sa maison, pour sauver leur métropole d'Eric Zemmour et celle de leur maître idéologique de l'Action Française, le royaliste-fasciste Bernard Lugan, avec lequel ils partagent plus que la « fourchette de Jacques Benêt ». Ces politi-chiens indigènes au service de la France coloniale, avec des prétentions de démocrates, ce sont précisément ceux qui ont empêché violemment des patriotes algériens de s'exprimer lors de leur meeting « indigène », en date du 21 décembre 2024, à la Bourse du Travail de Paris (boulevard du Temple), interdite pour les mouvements en rupture avec le système de la colonie israélienne, qui a encerclé le peuple avec sa Gestapo sioniste. En effet, le RCD (Rouge-Chemaa-Doukhane), à qui la France coloniale a octroyé une salle de réunion à Paris (au moment même où des mouvements et des partis politiques qui dénonçaient le génocide du peuple palestinien étaient interdits d'expression publique), avait attiré une centaine de personnes, dont une bonne partie appartenait au groupe terroriste-berbériste du MAK. En plus d'avoir boycotté l'hymne national algérien (les MAKaks sont restés assis, et l'hymne national a été interrompu au deuxième couplet), ces comploteurs ont organisé une minute de silence, non pas en honneur aux résistants « Chouhadas », qui les ont libérés du joug colonial, mais aux soi-disant victimes de « la démocratie » en Algérie. La feuille de route du régime de la colonie israélienne avait été parfaitement respectée, puisque des « ratons » laveurs de Papon, triés sur le volet, étaient les seuls autorisés à s'exprimer à la tribune bancale, pour porter la parole des généraux coloniaux français, qui ont illuminé la Tour Eiffel aux couleurs de l'état génocidaire israé-Heilien. C'est ce que Athmane Mazouz, le « démoctateur » du RCD (Rouge-Chema-Doukhane), appelle la « démocratie », puisqu'il a promis de faire la guerre judiciaire au peuple algérien au niveau des instances internationales, pour blanchir les terroristes incendiaires MAKaks, et les assassins qui ont cramé Djamel Ben Smail. Durant cette séance de lapidation du peuple algérien, les invités (le PADA – parti des collabos indigènes, les MAKaks, Riposte International du fasciste Ali Aït Djoudi, les informateurs islmao-berbéristes d'Al Maghribia, Jil Jadid, la FIDH de Aïssa Rahmoune – l'agent de l'Otan et de Patrick Baudouin, etc) d'horreur du RCD de Said « Samedi » se sont succédés sur les planches politiques pourries pour injurier l'Algérie, son peuple et ses institutions, tout en faisant l'éloge du fasciste Boualem « Sent Sale », l'expert du site d'extrême-droite « Frontières » et membres actif du cercle des « algérianistes » de l'OAS. Ces serviteurs du système colonial, qui ont choisi le peuple algérien comme exutoire de leur haine « indigène » viscérale, ont appelé à la libération des terroristes islamo-berbéristes (considérés comme des détenus « d'opinions ») afin d'orchestrer une guerre civile. Ils ont aussi revendiqué l'abolition de l'article de loi 87 bis sur la lutte contre le terrorisme en Algérie (depuis le siège du régime de la colonie isra-heilienne qui légifère depuis la loi n° 86-1020 du 9 septembre 1986, et qui organise des rafles à la Papon y compris des enfants). Pour se conformer à leur lettre de mission, il s'est même trouvé un plouc « printaniste », représentant de la « Révolution du Sourire », qui avait appelé à s'associer avec Daesch d'Al-Joulani (Ahmed Al-Charaa), pour faire exploser l'Algérie. Elle est belle leur démocratie coloniale ! Cette pièce de théâtre politique des néo-Harkis, avait donc été spécialement construite par le régime du putschiste de l'Elysée, pour Athmane Mazouz, la « tête de Turc » des colons, qui l'aurait validé et qui a même applaudi les discours de la série de « pingouins » indigènes alignés dans le sens du vent du FMI (France-Maroc-Israël). Ils ont repris en chœur le travail du colon Alain Peyrrefitte (prénommé Roger Antoine à sa naissance), celui qui à côté, de François Mitterrand, préconisait de morceler l'Algérie, et qui avait même écrit : « Le département de Tizi-Ouzou doit s'administrer comme le département du Lot-et-Garonne » (Tribune libre -Ed, Plon- 1961). Pour rappel, Alain Pierrefitte était l'ami du colonel Paul Schœn, chargé des Affaires Musulmanes (des « bougnoules ») du gouverneur général colonial, et le parrain officiel de Jacques Benêt (le père de la « fourchette ») l'un des concepteurs de la stratégie de la race « berbériste ». Jacques bénêt était l'ami intime de Mohand Arav-Bessaoud, le voyou-racketteur des brasseries parisiennes, qui a participé activement à l'élaboration du complot berbériste de 1980, depuis « l'académie berbère » coloniale parisienne, haut lieu de la construction de la mythologie portant le même nom. Athmane Azouz, la « tête de pont » du parti (RCD) du commerce de Saïd « Samedi » le « biskri » (originaire de Biskra) constitue donc la 5e colonne vertébrale des colons (comme décrit par le berbérophile Charles-Robert Ageron, et Octave Depont, l'homme du système colonial) qui nous décrivaient comme des primitifs : « il y a, en effet, dans la psychologie des Berbères à la fois impulsifs et violents, arrogants et obséquieux, pillards redoutables, des contrastes et des contradictions, qui ne se révèlent partiellement qu'à ceux que de patientes observations et de profondes connaissances des dialectes mettent à même de pénétrer l'âme des Nord-Africains. ». Sinon comment comprendre que son parti est le seul à brandir publiquement la « fourchette de Jacques Bénêt » pour se démarquer du drapeau national, qu'il partage fièrement avec le fasciste-royaliste Bernard Lugan de l'Action Française ? Le RCD (Rassemblement Contre la Démocratie), crée en 1989 par Said « Samedi », le biskri-psychopathe (qui s'est glissé dans la soutane du moine Lavigerie, pour faire le « Kabyle »), en compagnie de son ami Ferhat Mehenni, le gourou terroriste du MAK, a une longue histoire de complots « indigènes », pour servir le système du FMI (France-Maroc-Israël). Il a été désigné explicitement par Si L'Hafid (Yaha Abdelhafid), comme étant la mule des bobines de billets de banque, provenant du royaume du cannabis, pour financer le complot « berbériste » de 1980 (appelé printemps « berbère »). Selon un légume d'avocat (Aït Larbi), qui portait fièrement la banane coloniale durant la phase de sa déambulation révolutionnaire en 2019, membre créateur de cette organisation des guets-apens politiques, son parti pris (Rassemblement Contre la Démocratie) brassait des sacs (Chkara) d'argent dont l'origine est restée inconnue jusqu'à nos jours. Ils moissonnent « le blé » dans les champs noirs de l'histoire, ajouté au fait que le « pathétique » successeur de « Saïd Samedi » à la tête de ce serpent social vénéneux, ne nous dira sans doute jamais l'origine de l'édifice de son parti, à l'angle de la rue Mohamed Chaabane et du chemin Youcef Taïbi, arraché à l'enfance algérienne, puisqu'ils ont du cœur, pour organiser la lapidation de la jeunesse. D'ailleurs, ils sont tellement inquiets du sort réservé à la jeunesse algérienne, qu'ils n'hésitent pas à la pousser à l'exil, pour nourrir le fantasme du « grand remplacement » d'Eric Zemmour. Crée en France, le 21 juin 2002, ce parti (RCD= Rouge-Chemaa-Doukhane) du commerce de la politique maudite de la « Race », est officiellement domicilié chez Sadi Hocine (100 Boulevard de Belleville – 75020 Paris), le frangin (Hend pour les intimes) de Said Sadi « Samedi » mais surtout ancien membre du cabinet du « sinistre » Jack l'éventreur d'enfants de Marrakech. Hend Sadi, est le producteur d'éloges à l'égard de l'aspirant de l'armée coloniale française et fournisseur officiel des buchettes de Jacques Bénet. Le RCD, dont l'ancien porte-parole dans la colonie israélienne, n'est autre que Sadi Junior (Ameziane, le fils de son père Saïd « Samedi »), est dirigé par Ilyas Lahouazi, un fugitif condamné en Algérie à un an de prison, en 2020, pour ses complots à la banane contre le peuple algérien. On retrouve ce représentant du parti « franchisé » officiel du colonialisme français, en compagnie de toute la toile politique néo-indigène hébergée douillettement à Paris, et revendiquant l'abattage du peuple algérien. Ces invertébrés au service de l'impérialisme, touchés par la dégénérescence tribale, qui ne connaissent même pas leurs propres géniteurs, construisent politiquement des galeries ethniques souterraines pour les lombrics, au laboratoire colonial installé au royaume du cannabis d'André Azoulay, un arbre généalogique mythologique pour tout un peuple sur plus de 20 siècles. Cherchons maintenant l'erreur historique en politique de ces reptiles dont le fond de commerce est leur « Race » maudite vendue au rabais, depuis les laboratoires du Makhzen, par des centaines de milliers de mouches électroniques sur les réseaux sociaux coloniaux, et chez Hamou Merzouk l'animateur de cette mythologie « berbériste », dans la boîte à images –BRTV- de Mohame Sadi. La mission de cette secte politique « indigène », aux multiples facettes (folklore et terrorisme du MAK), a pour mission de maintenir le peuple algérien dans la préhistoire coloniale, en effacement son identité sociale au profit de l'identité mythologique « berbériste » tribale construite par Napoléon 3, sous la direction de René Basset. Si Athmane Mazouz souhaite plus d'enseignements sur les galeries ethniques du « Berberistan », qu'il creuse avec sa fourchette de Jacques Bénet, il peut s'adresser à sa partenaire généalogique Linda Asmani, la brillante élève du sioniste-fasciste Jacques Kepfer, géniteur de l'avocate génocidaire Nili Kupfer-Naouri qui attaque les camions de l'aide humanitaire à Gaza. Linda Asmani, qui se présente sur le même échiquier de la politique maudite de leur « Race » génétique, a maintenant beaucoup de temps à lui consacrer, puisqu'elle a raté sa désignation à la présidence de la multinationale « Wizo » des femmes sionistes génocidaires. (Suite et fin)