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Pourquoi l'occident se prend-il pour le précurseur des droits de la femme ?
Publié dans Réflexion le 04 - 10 - 2011

L'occident du monde moderne, par sa pensée irrationnelle et impartiale, pointe souvent du doigt l'islam d'être la cause inique de tous les malheurs ayant poussé à la ségrégation de la femme, alors qu'en réalité, elle est la seule immunité qui l'a protégée des affres de la décrépitude.
Les pays dit « démocratiques » se font passer aujourd'hui comme les « gardes fous » voire les sauveurs des droits de la femme, alors qu'il devrait revisiter son passé concernant la gente féminine pendant l'inquisition. Aussi de quel droit ose-t-il faire la leçon aux pays musulmans et à la religion qui a été la libératrice inconditionnelle de la femme.
L'exemple de l'Arabie Saoudite, ne peut qu'affirmer cette libération
L'exemple de l'Arabie Saoudite, ne peut qu'affirmer cette libération, du moment que le roi de ce pays ait pris l'initiative d'annoncer l'ouverture du champ politique devant la femme saoudienne, afin qu'elle puisse pleinement participer aux élections, de jouir enfin de ses droits et de se porter candidate afin de prendre son destin en main. Cette ouverture, est prise à controverse par les occidentaux, qui appellent à plus d'ouverture pour la femme afin qu'elle obtienne l'égalité vis-à-vis des hommes et oublient que c'est un pas de géant dans cette société ultra-conservatrice. Il est à rappeler dans ce contexte que des militantes des droits de l'homme réclament depuis plusieurs années le droit de vote pour les femmes dans le royaume. Le monde occidental a saisi cette opportunité afin de pouvoir s'immiscer et s'introduire dans les affaires de ce pays qui est régis par des traditions millénaires que ni les américains ni le européens ne puissent en comprendre le sens. Ce genre de comportement et d'immixtion injustifiée de la part des occidentaux, exhorte la femme dans ce pays à la révolte et à l'adoption de comportement irresponsable notamment après la grande polémique concernant une femme qui a bravé l'interdit pour conduire une voiture. Car depuis le lancement de la campagne » femmes au volant », beaucoup de saoudiennes ont osé défier quotidiennement l'interdiction de conduire et dont plusieurs d'entre elles ont été interpellées par la police pour conduite illégale. Les sociétés occidentales ne font guère la différence entre les pays conservateurs et les leurs où la femme est devenue qu'un objet vénale, voire une marchandise qui s'achète et qui se revend.
La femme et l'islam
Quant à la femme musulmane quoique qu'elle apparaisse aux yeux des occidentaux soumise, et dépendante, des hommes, il y a lieu de mettre en relief toute l'importance des droits de la femme musulmane, qui aux yeux de l'homme et depuis la venue du prophète QSSSL est devenue le symbole de la cellule familiale du point de vue honneur, droit de cité, héritage, pivot de la société devenant le complément de l'homme, d'où sa considération à part entière. « La femme dans l'Islam n'est ni supérieure, ni inférieure, ni égale à l'homme, elle égale à soi même, un être sensible qui aspire à une vie saine avec l'homme qui elle partagera sa vie. C'est toute une vision élémentaire de l'Islam qui a semé ces graines de prospérités ancrées dans les sociétés que lient les traditions à l'héritage culturel pour les rendre plus ouverts sur elle-même, et sur l'essence même du respect et de la justesse qu'aura apporté la religion. L'occident n'a pas intérêt à l'épanouissement de la femme musulmane et se fourvoie dans l'interprétation des préceptes de la religion et qui d'aucun ne peut relier à la dépravation qui fait partie des mœurs modernes d'une civilisation à l'apogée de son déclin. Grand est le fossé qui sépare la religion musulmane à qui on veut coller toutes les insuffisances pour rabaisser la femme musulmane. La femme musulmane depuis plus de quatorze siècles, la religion lui a enseigné la décence et le savoir vivre dans son quotidien de tous les jours avec honneur, dans la foi de part sa présence , elle a toujours été un rempart protecteur de la cellule familiale donnant ainsi une image pure de par la pudeur dont elle s'est toujours drapée au nom de l'islam et du nom qu'elle porte d'où cette fierté malgré les vicissitudes de la vie. L'occident l'a juge souvent que par son aspect extérieur qui se personnalise par le port du foulard ce qui exhorte à penser faussement d'elle et la traite de sous développée, et de soumise à l'homme, alors qu'elle totalement libre de ses actes et des ses pensées.
Aujourd'hui le monde change, et la femme également, en s'introduisant prudemment dans toutes les sphères de la société sans omettre le moindre domaine de la vie, mais cette démarche reste aux yeux des occidentaux timide et insuffisante, comparable à la femme occidentale qui donne l'aspect d'avoir obtenue tous les droits, seulement à quel prix du fait qu'elle ait totalement perdu sa féminité. Elle est devenue qu'un simple objet charnel, une page de publicité, exposant sa nudité qui aux yeux du musulman est sacré.
La femme occidentale a percé un monde chimérique, où le plus souvent la célébrité n'est qu'un passage tumultueux qui se termine par une fin tragique et douloureuse.


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