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La loi des ingenieurs des mines à Mostaganem !
CONTROLE TECHNIQUE DES VEHICULES : UN CALVAIRE
Publié dans Réflexion le 07 - 06 - 2012

Des contrôles techniques bâclés selon des automobilistes, par certains ingénieurs des mines qui font la pluie et le beau temps, d'où les véhicules qui ont fait leur temps et qui d'ailleurs sont encore en circulation tels que des bus et des véhicules qui datent de plus de 20 ans et qui en principe doivent être réformés. Aussi il est utile de se poser la question, comment se fait-il que de tels corbillards qui ont déjà semé la mort ont-ils été autorisés à circuler si ce n'est par le biais et l'avale de ces ingénieurs des mines.
Les automobilistes en majorité ne cessent de dénoncer le comportement de certais ingénieurs qui se placent au dessus de la loi, car selon eux le contrôle technique des véhicules est unique en son genre à Mostaganem, et pour eux ce qui se passe dans cette ville, est inacceptable. Ils dénoncent aussi, le favoritisme et le laxisme de ces ingénieurs des mines, qui s'absentent fréquemment, et qui sont toujours en retard mais lorsqu'ils se présentent ils font des contrôles techniques bâclés pour en finir avec les innombrables véhicules. Selon un citoyen : « Pour passer un contrôle technique, l'attente dure une éternité et nous sommes parqués comme des animaux, d'ailleurs il n'y a qu'à venir voir la façon dont on est traité, par ces ingénieurs qui n'ont aucun respect pour personnes et qui ne sont là que pour se remplir les poches au détriment des honnêtes gens qui rencontrent des difficultés, la preuve il y a des véhicules qui doivent être retirés de la circulation du fait de leur vétusté mais nos ingénieurs les autorisent à circuler Voire tuer ». Ils dénoncent aussi les conditions et l'absence d'infrastructures pour le contrôle technique qui se déroule sur un chemin communal entre la commune de Mazagran et de Hassi Mamèche et ce depuis des années, il est vrai que l'on assiste à une file de voitures interminable et ce dès quatre heures du matin dans l'attente du bon vouloir de l'ingénieur des mines. « Parfois les automobilistes repartent bredouilles, car celui-ci s'est absenté et tous les mardis et mercredi, c'est la galère. Lorsque ce dernier vient enfin et qu'on lui pose la question la réponse est toute trouvée: « les automobilistes n'auraient pas dû attendre la dernière minute pour venir passer le contrôle et je ne suis au service de personne », affichant son arrogance pour vous regarder de haut. Dans ces chaines interminables, nous avons constaté que plusieurs automobilistes venant d'autres wilayas attendaient dont certains ont du passer la nuit pour un contrôle, si ce n'est que ces gens venus d'aussi loin, sont obligés de rester pour le lendemain prenant leur mal en patience. « Ce qui est grave c'est qu'il y a des personnes qui viennent de wilayas éloignées, car après achat d'un véhicule hors wilaya et lors de la demande d'une carte grise par le nouveau propriétaire d'une voiture il est nécessaire de présenter un document attestant du contrôle technique, aussi doivent-ils attendre des jours pour passer le contrôle». « Depuis des années, que cela dure, nous en avons plus qu'assez, nous dira un homme âgé, on vient de très bonheur pour effectuer un contrôle et l'on se retrouve toute une journée à poireauter, sans compter les désagréments du stationnement imposé par des agents de l'APC de Hassi Mamèche qui exigent que l'on paye le droit de place. Je ne sais si vous avez vu ce qui se trame mais je peux vous dire que c'est avilissant de voir ces ingénieurs des mines qui travaillent en pleine campagne et qui nous soumettent à des chantages sans précédent ». Selon d'autres témoins : « l'argent prime sur tout ici à Mostaganem nous confieront-ils et cette ville regorge de prédateurs et d'escrocs ». Un autre citoyen en colère, nous dira : « On n'a pas encore fini avec la magouille, et les trafics croyez moi et de poursuivre : Est-ce logique qu'une ville comme Mostaganem n'a même pas d'infrastructures, voyez comme elle est devenue le théâtre de toutes les opérations et transactions douteuses et le carrefour de tous les rebus et les ramassis qui viennent d'on ne sait d'où, portant atteinte à ses habitants pour se demander jusqu'à quand le mostaganémois se laissera-t-il faire. Pour conclure notre enquête, un autre automobiliste d'Alger nous dira : « Presque toutes les grandes villes en Algérie sont dotées d'un parking pour ces opérations et les visites techniques sont assurées par des personnes qualifiées en tous point de vue et à l'issue du contrôle technique, on vous établi un procès-verbal dont un exemplaire doit être remis au propriétaire de la voiture. Ce procès-verbal mentionne la date du contrôle, l'identité du propriétaire, le kilométrage, les défauts constatés... La visite pour le contrôle technique porte sur 10 fonctions mécaniques déclinées en 116 points de contrôle dont 66 d'entre eux peut entraîner une contre-visite obligatoire, ce qui ne se fait pas chez nous contrairement à d'autres pays, mais que voulez vous Hadi Hiya Bladna ».

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