L'état dans lequel se trouve les parties communes des 500 logements AADL de Sétif, attribués, il y a à peine quelques mois, laisse croire que ladite cité date de plusieurs années, voire plusieurs décennies. Selon des locataires qui ont pris attache avec notre journal, la cause n'est autre que l'incivisme de certains occupants et le laisser-aller des responsables de la gestion des lieux. Pourtant, le siège de la direction régionale de la gestion immobilière des cités AADL est installé à l'intérieur de la même cité. Les terrasses, normalement, inaccessibles ont été utilisées pour le placement d'antennes paraboliques et de citernes, en dépit de la disponibilité d'une bâche à eau collective de 500 m3. Les habitants qui nous ont contactés interpellent les responsables pour mettre un terme à ces pratiques.