Comme tout algérien, éduqué et reconnaissant, Aissa Mandi, n'oublie les parents et particulièrement sa maman Houria qui lui a inculqué les bonnes valeurs. Pour Aissa, sans sa chère mère, jamais il n'aurait pu passer les obstacles franchis jusque là. Mandi loue aussi le mérite de ses anciens entraineurs en jeune : « Mes entraineurs avec qui j'ai travaillé dans les catégories inférieures, m'ont beaucoup aidé, mais la personne qui m'a le plus aidé, c'est ma mère, sans elle je ne serai jamais arrivé là. »