Dans l'oraison funèbre qu'il a prononcée, Dhimi Lakhdar, sous-directeur à la direction des unités républicaines d'intervention, a mis l'accent sur les qualités du défunt, mais aussi sur la détermination avec laquelle il a combattu les criminels et a tenu mordicus à la modernisation et la professionnalisation de la Sûreté nationale. Dans l'oraison funèbre qu'il a prononcée, Dhimi Lakhdar, sous-directeur à la direction des unités républicaines d'intervention, a mis l'accent sur les qualités du défunt, mais aussi sur la détermination avec laquelle il a combattu les criminels et a tenu mordicus à la modernisation et la professionnalisation de la Sûreté nationale. Le cimetière El-Alia était noir de monde, hier, pour l'inhumation du Directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, mort tragiquement, jeudi dernier dans son bureau. Des centaines de personnes ont tenu, en effet, à rendre un dernier hommage et accompagner à sa dernière demeure celui qui fut, depuis 1994, le patron de la Sûreté nationale. La foule, déjà nombreuse avant 14 h, ne cessait de grandir au fil des minutes. Les mines tristes, les présents attendaient l'arrivée de la dépouille mortelle. Presque tous les hauts responsables de l'Etat, à l'exception du président de l'APN, Abdelaziz Ziari, étaient présents au sein de cette dense foule. Il en est ainsi des membres du gouvernement où l'on a noté la présence de Mourad Medelci, Abdelmalek Sellal, Djamal Ould Abbès, Bouabdallah Ghlamallah, El Hadi Khaldi, El Hachemi Djiar… D'ex-ministres, à l'image de Abderrachid Boukerzaza, ex- ministre de la Communication, Nadir H'mimid et Abdelakder Bounekraf, tous deux ex-ministres de l'Habitat, Mouldi Aïssaoui, ex-ministre des Sports ainsi que l'ex-ministre de l'Energie, Amar Mekhloufi. Redha Malek, Belaïd Abdessalam, Ahmed Benbitour et Mouloud Hamrouche, qui ont assumé par le passé les charges de chef de gouvernement, ont marqué de leur présence cet enterrement. Les deux frères du président de la République, Saïd et Mustapha, ont tenu, eux aussi, à rendre un dernier hommage au défunt. Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN et Bouguerra Soltani, président du MSP, étaient les personnalités partisanes les plus en vue. Des compagnons de lutte de la Guerre de libération nationale du défunt étaient également présents en grand nombre comme c'est le cas du colonel Youcef El Khatib, chef de la Wilaya IV historique. Le chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée Gaïd Salah, ainsi que des officiers supérieurs de l'ANP à la retraite étaient eux aussi présents au cimetière. Il en est ainsi de Khaled Nezzar, Mohamed Atailia et le général Touati. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le président du conseil constitutionnel, Boualem Bessaieh, ainsi que le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, attendaient devant l'entrée principale du cimetière l'arrivée du corps. Ce n'est que vers 14h17 que la camionnette de la Sûreté nationale, transportant le corps du défunt, arrive enfin au cimetière. Un détachement des éléments de la DGSN ont aussitôt présenté les armes. Dans son oraison funèbre Dhimi Lakhdar, sous-directeur à la direction des unités républicaines d'intervention, a mis l'accent sur les qualités du défunt en indiquant que Ali Tounsi a combattu sans répit les criminels et a tout donné pour la modernisation et la professionnalisation de la Sûreté nationale. Il a rappelé à l'assistance que le défunt a mis en valeur le principe selon lequel l'Etat de droit commence d'abord par la Police, tout en n'omettant pas de souligner tous les efforts déployés par le disparu pour promouvoir la police de proximité. Le colonel Lakhdar Lehbiri, directeur général de la Protection civile, qui a bien connu le défunt, dira : «Ali Tounsi est mort dans son bureau et non sur un lit d'hôpital». K. H. Le cimetière El-Alia était noir de monde, hier, pour l'inhumation du Directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, mort tragiquement, jeudi dernier dans son bureau. Des centaines de personnes ont tenu, en effet, à rendre un dernier hommage et accompagner à sa dernière demeure celui qui fut, depuis 1994, le patron de la Sûreté nationale. La foule, déjà nombreuse avant 14 h, ne cessait de grandir au fil des minutes. Les mines tristes, les présents attendaient l'arrivée de la dépouille mortelle. Presque tous les hauts responsables de l'Etat, à l'exception du président de l'APN, Abdelaziz Ziari, étaient présents au sein de cette dense foule. Il en est ainsi des membres du gouvernement où l'on a noté la présence de Mourad Medelci, Abdelmalek Sellal, Djamal Ould Abbès, Bouabdallah Ghlamallah, El Hadi Khaldi, El Hachemi Djiar… D'ex-ministres, à l'image de Abderrachid Boukerzaza, ex- ministre de la Communication, Nadir H'mimid et Abdelakder Bounekraf, tous deux ex-ministres de l'Habitat, Mouldi Aïssaoui, ex-ministre des Sports ainsi que l'ex-ministre de l'Energie, Amar Mekhloufi. Redha Malek, Belaïd Abdessalam, Ahmed Benbitour et Mouloud Hamrouche, qui ont assumé par le passé les charges de chef de gouvernement, ont marqué de leur présence cet enterrement. Les deux frères du président de la République, Saïd et Mustapha, ont tenu, eux aussi, à rendre un dernier hommage au défunt. Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN et Bouguerra Soltani, président du MSP, étaient les personnalités partisanes les plus en vue. Des compagnons de lutte de la Guerre de libération nationale du défunt étaient également présents en grand nombre comme c'est le cas du colonel Youcef El Khatib, chef de la Wilaya IV historique. Le chef d'état-major de l'ANP, le général de corps d'armée Gaïd Salah, ainsi que des officiers supérieurs de l'ANP à la retraite étaient eux aussi présents au cimetière. Il en est ainsi de Khaled Nezzar, Mohamed Atailia et le général Touati. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le président du conseil constitutionnel, Boualem Bessaieh, ainsi que le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, attendaient devant l'entrée principale du cimetière l'arrivée du corps. Ce n'est que vers 14h17 que la camionnette de la Sûreté nationale, transportant le corps du défunt, arrive enfin au cimetière. Un détachement des éléments de la DGSN ont aussitôt présenté les armes. Dans son oraison funèbre Dhimi Lakhdar, sous-directeur à la direction des unités républicaines d'intervention, a mis l'accent sur les qualités du défunt en indiquant que Ali Tounsi a combattu sans répit les criminels et a tout donné pour la modernisation et la professionnalisation de la Sûreté nationale. Il a rappelé à l'assistance que le défunt a mis en valeur le principe selon lequel l'Etat de droit commence d'abord par la Police, tout en n'omettant pas de souligner tous les efforts déployés par le disparu pour promouvoir la police de proximité. Le colonel Lakhdar Lehbiri, directeur général de la Protection civile, qui a bien connu le défunt, dira : «Ali Tounsi est mort dans son bureau et non sur un lit d'hôpital». K. H.
