La vie dans les résidences universitaires da la wilaya de Boumerdès, est le moins que l'on puisse dire, en régression constante. Les étudiants apostrophés s'accordent tous à dire que «les conditions de vie estudiantine dans les résidences universitaire sont lamentables». En effet, des résidents de la cité des frères Gouigah de Corso, déplorent «la surcharge de leur cité U». «Ce qui influe sur les prestations de services, notamment la restauration», nous dira un étudiant en deuxième année ST. En matière d'infrastructures, de loisirs et de savoir, ladite résidence est mal lotie. «Notre résidence est dépourvue d'une bibliothèque, les responsables ont pensé à l'aménagement d'une salle en bibliothèque, mais celle-ci n'a toujours pas vu le jour», nous dira encore notre interlocuteur. Et un autre d'enchaîner : «même la salle Internet est très exigüe et ne peut plus contenir le nombre croissant d'internautes, en plus de la mauvaise qualité de la connexion, la majorité du temps faible». En outre, les résidents de la cité universitaire de 2.000 lits de Zemmouri, inaugurée l'année dernière, se plaignent de l'absence d'une bibliothèque et de l'éloignement de leur résidence du centre ville. Ils déplorent le parcours qu'ils endurent quotidienement pour rejoindre leurs lieux d'études. Tahar Ounas La vie dans les résidences universitaires da la wilaya de Boumerdès, est le moins que l'on puisse dire, en régression constante. Les étudiants apostrophés s'accordent tous à dire que «les conditions de vie estudiantine dans les résidences universitaire sont lamentables». En effet, des résidents de la cité des frères Gouigah de Corso, déplorent «la surcharge de leur cité U». «Ce qui influe sur les prestations de services, notamment la restauration», nous dira un étudiant en deuxième année ST. En matière d'infrastructures, de loisirs et de savoir, ladite résidence est mal lotie. «Notre résidence est dépourvue d'une bibliothèque, les responsables ont pensé à l'aménagement d'une salle en bibliothèque, mais celle-ci n'a toujours pas vu le jour», nous dira encore notre interlocuteur. Et un autre d'enchaîner : «même la salle Internet est très exigüe et ne peut plus contenir le nombre croissant d'internautes, en plus de la mauvaise qualité de la connexion, la majorité du temps faible». En outre, les résidents de la cité universitaire de 2.000 lits de Zemmouri, inaugurée l'année dernière, se plaignent de l'absence d'une bibliothèque et de l'éloignement de leur résidence du centre ville. Ils déplorent le parcours qu'ils endurent quotidienement pour rejoindre leurs lieux d'études. Tahar Ounas