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Une particularité signée ONCI
Festival de Timgad
Publié dans Le Midi Libre le 11 - 07 - 2010

Chaque année, les Batnéens attendent avec beaucoup d'impatience un festival qui rend hommage à leur ville mythique, Timgad. Et pour cause ce festival international organisé par l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) est une véritable occasion de faire connaître durant près de dix jours une ville antique, historiquement, culturellement et touristiquement envoutante.
Chaque année, les Batnéens attendent avec beaucoup d'impatience un festival qui rend hommage à leur ville mythique, Timgad. Et pour cause ce festival international organisé par l'Office national de la culture et de l'information (ONCI) est une véritable occasion de faire connaître durant près de dix jours une ville antique, historiquement, culturellement et touristiquement envoutante.
La première édition du Festival remonte à l'année 1967, à l'initiative de la population de la région dans une perspective de valorisation du patrimoine culturel et touristique de la région, et en particulier son célèbre théâtre romain. Le festival a connu plusieurs stations depuis sa création en 1969. D'abord il fut baptisé Festival méditerranéen, avant de devenir en 1973 Festival des arts populaires.A ce titre, il acquerra ses lettres de noblesses dopé par un enchaînement de succès sans précédent grâce, notamment, à la participation qualitative de nombreux pays frères et amis. Depuis, c'est devenu un festival culturel annuel incontournable se déroulant chaque mois de juillet de chaque année. Le festival connaîtra son ascension à partir de 1998 - après une pause de 1986 à 1996 -, et deviendra la destination de prédilection de nombreuses stars de dimension internationale, telles Sabah Fekhri, Medjda Eroumi, Ahlem, Anouchka, Kadhem Saher, Nedjoua Karam, Assi El Djillani, Abdelouahab Edoukali, Asala Nasri, le groupe Kool & the Gang, des troupes artistique d'Inde, d'Indonésie, le ballet Karkala du Liban, etc. Aujourd'hui, l'Algérie,particulièrement le ministère de la Culture classe le festival de Timgad parmi les rendez-vous culturels et artistiques de première catégorie, et à ce titre, elle continuera vaille que vaille à les organiser consciente de leurs mission et contribution au rayonnement culturel et artistique du pays. Le premier responsable de cette manifestation ne cesse de réitérer que : «Le festival international de Timgad doit pouvoir créer, dans son sillage, une dynamique culturelle pluridisciplinaire qui profiterait à toute la région». Encore une fois, cette année, les organisateurs n'ont pas failli à la tradition en concoctant un programme riche. Ainsi l'ouverture a eu lieu dans une ambiance familiale au sein du tout nouveau théâtre de verdure, réalisé non loin du site archéologique. La soirée inaugurale a été l'occasion pour rendre hommage à plusieurs artistes algériens ayant marqué l'histoire culturelle du pays à l'instar de Saliha El Saghira, d'Otmane Bali, d'El Hadj M'Hamed El Anka, de Sabah El Saghira, d'El Hachemi Guerouabi, d'Abdelkrim Dali, d'El Cheikh El Hasnaoui, de Fadila Dziria, d'Abdelhamid Ababssa, de Mohamed Rachdi, d'Aissa El Jarmouni, d'Hassen El Annabi, de Nadia Taissir, d'Ahmed Wahbi, d'Ourad Boumediene, de Katchou et bien entendu d'Ali Maâchi. Pour cette nouvelle édition, la 32e, verra une mosaïque d'artistes algériens qui feront les belles nuits de Tamugadi comme la voix puissante de Houria Aichi ou encore la poésie enchanteresse, venue des montagnes de Djurdjura, du chantre de la poésie kabyle, Lounis Ait Menguellet. Plusieurs pays seront au rendez-vous pour marquer cette édition à l'instar de l'artiste George Wassuf (Syrie), de l'artiste Lotfi Bouchnak (Tunisie), de l'ensemble Ouighour du Xinjiang (Chine), Daoudia (Maroc), de l'artiste Vitaa (France), de la troupe Algereno (France) la troupe Asere Band (Cuba), de la troupe Tres Coronas (Amérique Latine), ou encore de la diva du tarab el arabi, la Libanaise Medjda Eroumi.
La première édition du Festival remonte à l'année 1967, à l'initiative de la population de la région dans une perspective de valorisation du patrimoine culturel et touristique de la région, et en particulier son célèbre théâtre romain. Le festival a connu plusieurs stations depuis sa création en 1969. D'abord il fut baptisé Festival méditerranéen, avant de devenir en 1973 Festival des arts populaires.A ce titre, il acquerra ses lettres de noblesses dopé par un enchaînement de succès sans précédent grâce, notamment, à la participation qualitative de nombreux pays frères et amis. Depuis, c'est devenu un festival culturel annuel incontournable se déroulant chaque mois de juillet de chaque année. Le festival connaîtra son ascension à partir de 1998 - après une pause de 1986 à 1996 -, et deviendra la destination de prédilection de nombreuses stars de dimension internationale, telles Sabah Fekhri, Medjda Eroumi, Ahlem, Anouchka, Kadhem Saher, Nedjoua Karam, Assi El Djillani, Abdelouahab Edoukali, Asala Nasri, le groupe Kool & the Gang, des troupes artistique d'Inde, d'Indonésie, le ballet Karkala du Liban, etc. Aujourd'hui, l'Algérie,particulièrement le ministère de la Culture classe le festival de Timgad parmi les rendez-vous culturels et artistiques de première catégorie, et à ce titre, elle continuera vaille que vaille à les organiser consciente de leurs mission et contribution au rayonnement culturel et artistique du pays. Le premier responsable de cette manifestation ne cesse de réitérer que : «Le festival international de Timgad doit pouvoir créer, dans son sillage, une dynamique culturelle pluridisciplinaire qui profiterait à toute la région». Encore une fois, cette année, les organisateurs n'ont pas failli à la tradition en concoctant un programme riche. Ainsi l'ouverture a eu lieu dans une ambiance familiale au sein du tout nouveau théâtre de verdure, réalisé non loin du site archéologique. La soirée inaugurale a été l'occasion pour rendre hommage à plusieurs artistes algériens ayant marqué l'histoire culturelle du pays à l'instar de Saliha El Saghira, d'Otmane Bali, d'El Hadj M'Hamed El Anka, de Sabah El Saghira, d'El Hachemi Guerouabi, d'Abdelkrim Dali, d'El Cheikh El Hasnaoui, de Fadila Dziria, d'Abdelhamid Ababssa, de Mohamed Rachdi, d'Aissa El Jarmouni, d'Hassen El Annabi, de Nadia Taissir, d'Ahmed Wahbi, d'Ourad Boumediene, de Katchou et bien entendu d'Ali Maâchi. Pour cette nouvelle édition, la 32e, verra une mosaïque d'artistes algériens qui feront les belles nuits de Tamugadi comme la voix puissante de Houria Aichi ou encore la poésie enchanteresse, venue des montagnes de Djurdjura, du chantre de la poésie kabyle, Lounis Ait Menguellet. Plusieurs pays seront au rendez-vous pour marquer cette édition à l'instar de l'artiste George Wassuf (Syrie), de l'artiste Lotfi Bouchnak (Tunisie), de l'ensemble Ouighour du Xinjiang (Chine), Daoudia (Maroc), de l'artiste Vitaa (France), de la troupe Algereno (France) la troupe Asere Band (Cuba), de la troupe Tres Coronas (Amérique Latine), ou encore de la diva du tarab el arabi, la Libanaise Medjda Eroumi.


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