Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) a décidé de maintenir la grève pour aujourd'hui, à l'issue de son conseil national tenu, vendredi dernier, refusant de la sorte de parapher le procès-verbal signé par les autres syndicats autonomes du secteur de l'Education nationale. Selon un communiqué parvenu à notre rédaction, le Snapest «constate avec amertume que les primes de nos camarades enseignants du Sud sont toujours calculées par rapport à l'ancien salaire de base ; les rappels de la correction apportée aux primes seront versés après 18 mois et le revirement dans les décisions de notre tutelle» concernant les œuvres sociales. Ainsi, le conseil national du Snapest a décidé de reconduire sa grève pour aujourd'hui, avec la tenue des assemblées générales dans les différents établissements, et ce, en perspective de la réunion du bureau national qui va entériner les décisions de ces AG. «Le syndicat Snapest est conscient qu'aucune amélioration durable et stratégique des conditions de vie des travailleurs ne peut survenir tant que le poids de l'intégrisme, l'impérialisme et le système bureaucratique corrompu s'exercent sur l'état et la société», lit-on encore dans le même communiqué signé par son coordinateur national, Mériane Méziane. Et de rappeler les priorités de ce syndicat autonome de l'Education nationale, à savoir la lutte contre les dilapidations des richesses nationales, la corruption et toutes formes de bureaucratie. «Il faut arriver à une transformation radicale capable d'arracher le système économique de la bureaucratie, de la spéculation de la corruption, du gaspillage, du parasitage pour le faire basculer dans une économie productive de richesse durable», souligne le Snapest dans le même communiqué, pour dire que les revendications ne se limitent pas seulement à l'aspect socioprofessionnel. Le Snapest a rappelé, par ailleurs, ses «repères revendicatifs» tracés depuis 2003, à savoir un salaire digne, que les dernières augmentations acquises ont vite été rattrapées par cette inflation, une retraite à 25 ans, que les conditions de travail ont rendue nécessaire et un statut pour le corps de l'Education et l'amélioration de la médecine du travail. Le logement, les primes des travailleurs du Sud, la préservation de l'enseignement technique, l'avancement du plan de carrière sont d'autres revendications émises par le Snapest. A rappeler que les autres syndicats grévistes ont décidé de suspendre leur grève suite à une rencontre avec le ministère de tutelle. Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) a décidé de maintenir la grève pour aujourd'hui, à l'issue de son conseil national tenu, vendredi dernier, refusant de la sorte de parapher le procès-verbal signé par les autres syndicats autonomes du secteur de l'Education nationale. Selon un communiqué parvenu à notre rédaction, le Snapest «constate avec amertume que les primes de nos camarades enseignants du Sud sont toujours calculées par rapport à l'ancien salaire de base ; les rappels de la correction apportée aux primes seront versés après 18 mois et le revirement dans les décisions de notre tutelle» concernant les œuvres sociales. Ainsi, le conseil national du Snapest a décidé de reconduire sa grève pour aujourd'hui, avec la tenue des assemblées générales dans les différents établissements, et ce, en perspective de la réunion du bureau national qui va entériner les décisions de ces AG. «Le syndicat Snapest est conscient qu'aucune amélioration durable et stratégique des conditions de vie des travailleurs ne peut survenir tant que le poids de l'intégrisme, l'impérialisme et le système bureaucratique corrompu s'exercent sur l'état et la société», lit-on encore dans le même communiqué signé par son coordinateur national, Mériane Méziane. Et de rappeler les priorités de ce syndicat autonome de l'Education nationale, à savoir la lutte contre les dilapidations des richesses nationales, la corruption et toutes formes de bureaucratie. «Il faut arriver à une transformation radicale capable d'arracher le système économique de la bureaucratie, de la spéculation de la corruption, du gaspillage, du parasitage pour le faire basculer dans une économie productive de richesse durable», souligne le Snapest dans le même communiqué, pour dire que les revendications ne se limitent pas seulement à l'aspect socioprofessionnel. Le Snapest a rappelé, par ailleurs, ses «repères revendicatifs» tracés depuis 2003, à savoir un salaire digne, que les dernières augmentations acquises ont vite été rattrapées par cette inflation, une retraite à 25 ans, que les conditions de travail ont rendue nécessaire et un statut pour le corps de l'Education et l'amélioration de la médecine du travail. Le logement, les primes des travailleurs du Sud, la préservation de l'enseignement technique, l'avancement du plan de carrière sont d'autres revendications émises par le Snapest. A rappeler que les autres syndicats grévistes ont décidé de suspendre leur grève suite à une rencontre avec le ministère de tutelle.