L'ensemble des syndicats de l'éducation font part de leurs doléances qui n'ont pas trouvé encore de solutions. Ils revendiquent notamment l'institution de la médecine du travail, la protection des enseignants contre la violence de certains élèves et denoncent la surcharge des classes. L'ensemble des syndicats de l'éducation font part de leurs doléances qui n'ont pas trouvé encore de solutions. Ils revendiquent notamment l'institution de la médecine du travail, la protection des enseignants contre la violence de certains élèves et denoncent la surcharge des classes. Les 9 syndicats, que compte actuellement le monde de l'Education, ont signifié que ces questions n'ont pas trouvé de solutions. Ils brandissent la menace de grève si ces problèmes persistent au cours de l'année. En premier la « surcharge des classes où dans certaines écoles les élèves s'entassent à 40 par classe ». Une situation, qui prévaut dans les trois paliers de l'Enseignement, et pour laquelle la ministre a promis des solutions dès la rentrée scolaire. Dans une déclaration publique, la ministre de l'Education nationale a indiqué que « Le problème de la surcharge des classes touche entre 4 % et 5 % de la totalité de nos établissements scolaires. Effectivement, il y a des établissements qui sont en surcharge. Mais il s'agit de certains établissements, de certaines classes et dans certains niveaux. Devant cette situation, le recours à la double vacation s'impose à l'école primaire dans certaines villes où il y a un programme important de réalisation de zones d'habitations nouvelles ». Or deux semaines après, les représentants des enseignants découvrent que le problème empire dans certains établissements scolaires. Le manque d'écoles primaires, constaté dans certaines régions et le surplus des élèves ayant raté leur bac, ont causé un rush qui est difficile à contenir. Selon un syndicaliste du Cnapest « cet état des lieux ne fera que baisser le niveau des élèves ». Même avec le recrutement de 24.000 enseignants, la situation n'est pas près de s'améliorer. Pour ce qui est de la médecine du travail, les syndicats ont insisté sur ce point en faisant savoir dans leurs différentes déclarations que « les enseignants subissent des problèmes de santé durant l'année scolaire avec des cas de stress professionnel intenable ». D'autres maladies apparaissent après des années telles que les dépressions nerveuses et les problèmes cardiaques. Il reste que des centres de santé, spécialement dédiés à ce corps professionnel, « deviennent une urgence » pour les syndicats. L'autre question, qui commence à avoir des effets néfastes sur la scolarité, est celle de la violence que subissent certains enseignants. Des agressions sont commises à leur encontre même si elles ne constituent pas le gros lot des menaces. Les syndicats sollicitent la ministre afin de sécuriser les établissements scolaires et de faire appel aux services de l'ordre dans des localités qui n'en sont pas encore pourvues. Pour la ministre, c'est un sujet qui a été évoqué lors des rencontres avec les syndicats à la fin août. Dès la rentrée, on constate que des éléments de la DGSN sont aux alentours des établissements pour prévenir contre les éventuels risques de bagarres ou de rixe entre élèves et enseignants. Mme Benghebrit considère en effet que le prochain défi est de « réduire la déperdition scolaire et améliorer le niveau pédagogique » comme seuls Les 9 syndicats, que compte actuellement le monde de l'Education, ont signifié que ces questions n'ont pas trouvé de solutions. Ils brandissent la menace de grève si ces problèmes persistent au cours de l'année. En premier la « surcharge des classes où dans certaines écoles les élèves s'entassent à 40 par classe ». Une situation, qui prévaut dans les trois paliers de l'Enseignement, et pour laquelle la ministre a promis des solutions dès la rentrée scolaire. Dans une déclaration publique, la ministre de l'Education nationale a indiqué que « Le problème de la surcharge des classes touche entre 4 % et 5 % de la totalité de nos établissements scolaires. Effectivement, il y a des établissements qui sont en surcharge. Mais il s'agit de certains établissements, de certaines classes et dans certains niveaux. Devant cette situation, le recours à la double vacation s'impose à l'école primaire dans certaines villes où il y a un programme important de réalisation de zones d'habitations nouvelles ». Or deux semaines après, les représentants des enseignants découvrent que le problème empire dans certains établissements scolaires. Le manque d'écoles primaires, constaté dans certaines régions et le surplus des élèves ayant raté leur bac, ont causé un rush qui est difficile à contenir. Selon un syndicaliste du Cnapest « cet état des lieux ne fera que baisser le niveau des élèves ». Même avec le recrutement de 24.000 enseignants, la situation n'est pas près de s'améliorer. Pour ce qui est de la médecine du travail, les syndicats ont insisté sur ce point en faisant savoir dans leurs différentes déclarations que « les enseignants subissent des problèmes de santé durant l'année scolaire avec des cas de stress professionnel intenable ». D'autres maladies apparaissent après des années telles que les dépressions nerveuses et les problèmes cardiaques. Il reste que des centres de santé, spécialement dédiés à ce corps professionnel, « deviennent une urgence » pour les syndicats. L'autre question, qui commence à avoir des effets néfastes sur la scolarité, est celle de la violence que subissent certains enseignants. Des agressions sont commises à leur encontre même si elles ne constituent pas le gros lot des menaces. Les syndicats sollicitent la ministre afin de sécuriser les établissements scolaires et de faire appel aux services de l'ordre dans des localités qui n'en sont pas encore pourvues. Pour la ministre, c'est un sujet qui a été évoqué lors des rencontres avec les syndicats à la fin août. Dès la rentrée, on constate que des éléments de la DGSN sont aux alentours des établissements pour prévenir contre les éventuels risques de bagarres ou de rixe entre élèves et enseignants. Mme Benghebrit considère en effet que le prochain défi est de « réduire la déperdition scolaire et améliorer le niveau pédagogique » comme seuls