Saoula a pu dépasser ses contraintes financières grâce aux efforts conjugués des élus et des services des impôts. Ceci en forçant les mauvais payeurs à honorer leurs redevances. Saoula a pu dépasser ses contraintes financières grâce aux efforts conjugués des élus et des services des impôts. Ceci en forçant les mauvais payeurs à honorer leurs redevances. La commune de Saoula est l'une des plus grandes communes d'Alger, avec un nombre d'habitants de plus de 41.000. Si l'on tient compte de son importance elle mériterait une rallonge, ceci par rapport aux autres communes et en matière d'allocation de projets et d'infrastructures sociales. Invité, vendredi passé, sur les ondes de radio El Bahdja, le président de l'Assemblée populaire de Saoula, Nadir Hamdine, a fait un exposé succint de l'état des lieux au sein de sa commune. Selon ses dires Saoula aurait dépassé sa situation première qui faisait d'elle une commune pauvre. "Saoula n'est plus pauvre, désormais elle est classée parmi les communes les plus riches de la capitale", a affirmé M. Hamdine. Selon l'orateur, cela reviendrait aux efforts pertinents de l'APC qui a conjugué ses efforts avec ceux des services des impôts, pour forcer les différents commerçants et propriétaires de terrains à payer leurs redevances. L'intransigeance du P/APC face aux mauvais payeurs a permis de dépasser l'étape critique et d'accéder à la concrétisation des réalisations communales. Le réseau routier a béneficié, cette année, d'une enveloppe dépassant les 114 millions DA, les services de l'APC ont lancé dans ce sens une opération globale pour le revêtement de l'ensemble des routes de la commune. Le président a, dans ce cadre, cité pratiquement tous les quartiers de la commune, en donnant des délais approximatifs pour l'achèvement des travaux. Les résidants de Saoula, notamment les jeunes, ont souvent réclamé la réalisation d'un nouveau marché couvert, vu que le vieux marché actuel ne suffit plus à faire face au nombre important de commerçants et surtout des clients fréquentant les lieux. A ce propos M. Hamdine informera de la réhabilitation de l'ancien marché, du projet d'un nouveau marché et de l'inauguration de 100 locaux commerciaux dans les prochains mois. L'édile révélera l'existence d'une étude sur la réalisation d'un marché de gros dans la commune, cela vu que le dudit lieu est particulièrement connu pour l'intensité de son activité commerciale. Concernant l'attribution des locaux commerciaux et des étals au sein du "futur nouveau" marché, le président affirmera qu'"une commission de l'APC se chargera de cette tâche, en privilégiant les jeunes, particulièrement ceux au chomage". D'autres projets sont également inscrits dans le programme de l'Assemblée : la réalisation d'écoles primaires et de plusieurs sites d'habitations dont chacun comportera plus de 100 logements, ceci dans le cadre du LSP. M. Hamdine admettra, toutefois que le logement reste un vrai casse-tête aussi bien pour les élus que pour les citoyens. Parlant du LSP, qui avait été présenté comme la solution idéale pour les revenus moyens, M. Hamdine expliquera que cette formule avait démarré avec un apport personnel de 250.000 avant de grimper en flèche et d'atteindre un million DA, ce qui est inacceptable pour un logement censé être social. Aujourd'hui les postulants ne peuvent plus suivre, surtout que la plupart des demandeurs payent en plus un loyer chez le privé. A ce titre, le P/APC lance un appel aux autorités concernées afin de réviser ces mesures et permettre de mener à bien les projets LSP et surtout qu'ils bénéficient aux vrais nécessiteux. La commune de Saoula est l'une des plus grandes communes d'Alger, avec un nombre d'habitants de plus de 41.000. Si l'on tient compte de son importance elle mériterait une rallonge, ceci par rapport aux autres communes et en matière d'allocation de projets et d'infrastructures sociales. Invité, vendredi passé, sur les ondes de radio El Bahdja, le président de l'Assemblée populaire de Saoula, Nadir Hamdine, a fait un exposé succint de l'état des lieux au sein de sa commune. Selon ses dires Saoula aurait dépassé sa situation première qui faisait d'elle une commune pauvre. "Saoula n'est plus pauvre, désormais elle est classée parmi les communes les plus riches de la capitale", a affirmé M. Hamdine. Selon l'orateur, cela reviendrait aux efforts pertinents de l'APC qui a conjugué ses efforts avec ceux des services des impôts, pour forcer les différents commerçants et propriétaires de terrains à payer leurs redevances. L'intransigeance du P/APC face aux mauvais payeurs a permis de dépasser l'étape critique et d'accéder à la concrétisation des réalisations communales. Le réseau routier a béneficié, cette année, d'une enveloppe dépassant les 114 millions DA, les services de l'APC ont lancé dans ce sens une opération globale pour le revêtement de l'ensemble des routes de la commune. Le président a, dans ce cadre, cité pratiquement tous les quartiers de la commune, en donnant des délais approximatifs pour l'achèvement des travaux. Les résidants de Saoula, notamment les jeunes, ont souvent réclamé la réalisation d'un nouveau marché couvert, vu que le vieux marché actuel ne suffit plus à faire face au nombre important de commerçants et surtout des clients fréquentant les lieux. A ce propos M. Hamdine informera de la réhabilitation de l'ancien marché, du projet d'un nouveau marché et de l'inauguration de 100 locaux commerciaux dans les prochains mois. L'édile révélera l'existence d'une étude sur la réalisation d'un marché de gros dans la commune, cela vu que le dudit lieu est particulièrement connu pour l'intensité de son activité commerciale. Concernant l'attribution des locaux commerciaux et des étals au sein du "futur nouveau" marché, le président affirmera qu'"une commission de l'APC se chargera de cette tâche, en privilégiant les jeunes, particulièrement ceux au chomage". D'autres projets sont également inscrits dans le programme de l'Assemblée : la réalisation d'écoles primaires et de plusieurs sites d'habitations dont chacun comportera plus de 100 logements, ceci dans le cadre du LSP. M. Hamdine admettra, toutefois que le logement reste un vrai casse-tête aussi bien pour les élus que pour les citoyens. Parlant du LSP, qui avait été présenté comme la solution idéale pour les revenus moyens, M. Hamdine expliquera que cette formule avait démarré avec un apport personnel de 250.000 avant de grimper en flèche et d'atteindre un million DA, ce qui est inacceptable pour un logement censé être social. Aujourd'hui les postulants ne peuvent plus suivre, surtout que la plupart des demandeurs payent en plus un loyer chez le privé. A ce titre, le P/APC lance un appel aux autorités concernées afin de réviser ces mesures et permettre de mener à bien les projets LSP et surtout qu'ils bénéficient aux vrais nécessiteux.